Oh ! Hé ! Son explication là, c’est pas comme la confiture hein ? C’est pas pur….
Et puis, de toute façon, avec tout ce fric, on voit bien qu’il s’est ….é au passage hein ?
Et quand il donnait son explication, il était doucereux, tout …. Que c’en était douteux.
-Ca y est ! C’est reparti ? Vous recommencez à délirer ?
-Mais non bourricot. Si vous voulez comprendre les phrases précédentes, il vous suffit de remplacer les points par SUCRE (oh pardon !).
Voili voilou ! C’est la manière que l’association des sucriers a mis au point pour se faire de la pub télé et radio, toute apeurée qu’elle est de voir les consommateurs se méfier de plus en plus du produit.
Pour quelle raison ?
Tout simplement parce que les autorités sanitaires mettent, désormais, en garde les Français, contre la surconsommation de sucre, voire la consommation tout court.
Car dans notre environnement originel, les sucres existent c’est vrai.
On ne va pas vous faire un cours sur les différences entre C12 H22 O11 et C6 H12 06, mais on dira plus simplement que, en dehors du miel, tout ce que la nature produit de sucré, correspond très bien à, et comble suffisamment nos besoins.
Certes, avec la betterave et la canne à sucre, voire l’aspartame et les différents et délirants édulcorants existant désormais, toutes les choses auxquelles les substances sucrées donnent encore plus de goût, voire simplement du goût, rapportent plus de pépètes qu’elles ne donnent une santé florissante aux humains.
Plus on mange sucré, moins bien on se porte.
Exemple les enfants américains, européens, et désormais chinois et indiens, enfin…les plus riches.
Obésité, diabètes, dents bousillées et tout le reste.
Sur les recommandations de l’Agence Française de Sécurité ou de Surveillance, on sait plus, Alimentaire, les distributeurs de sucreries, de cochonneries en fait, installés dans les lieux scolaires y seront, en principe, interdits.
D’où la trouille des sucriers qui, dans ces lieux comme dans bien d’autres, se sucraient (oh pardon !) largement au passage ;
Comme ils se sucrent (encore ? Eh oui !) en incitant, en forçant un chouïa même, les producteurs de toutes sortes d’aliments, à incorporer du sucre dans leurs fabrications.
On trouve du sucre dans tout ce qui a un goût sucré mais salé aussi, jambon, saucisson, pains, pâtés, etc. bref, tout simplement parce que le sucre est avide d’eau et qu’on vous vend, ainsi, de la flotte au prix du produit lui-même.
Le sel a les mêmes propriétés d’ailleurs.
De vous bousiller la santé, de pomper de l’eau, et de rapporter plein de fric à ceux qui se sucrent au passage.
Ainsi, sel ou sucre, tout le monde se…sucre.
Enfin, tout le monde…les sucriers évidemment et tous ceux qui vivent de cette méga industrie.
Sur votre dos et aux dépens de votre santé.
Comme disait ma maman qui ne jurait que par le miel :
‘’Le sucre ? C’est la bonne façon pour des petits malins de gagner de l’argent en bousillant plein de gens…en douceur.’’
Or donc, si les gens se mettent à consommer moins de douceurs, de sucre et de produits qui en contiennent, c’est la cata pour les sucriers.
D’où la campagne de pub.
La donzelle qui susurre dans le poste qu’il faut manger du sucre vous a une bien jolie phrase :
‘’Imaginez-vous un monde sans sucre ?’’
Ben nous on pense que oui.
Un monde avec du miel par exemple.
Mais sans sucre car là aussi, on peut sucrer le miel pour payer moins les abeilles.
Ou plutôt les producteurs de miel.
Qui ont, d’ailleurs, du souci à se faire, à cause du Gaucho qui leur pourrit la vie des abeilles en question, d’autant que Bayer qui fabrique ce pesticide, couine fort, scientifiques très objectifs à l’appui évidemment, que les apiculteurs c’est rien que de menteurs et que sans le pesticide en question, la planète est vouée à l’extinction par disparition des végétaux.
De ce fait, d’ailleurs, nous on se pose la question : des fois que les sucriers auraient des actions chez Bayer.
Ou inversement non ?
Bon, c’est pas tout ça. Allez, on va boire un jus(1).
Mais comme les Belges.
Les vrais connaisseurs.
Sans sucre.
(1) C’est juste pour dire car je ne bois pas de café non plus.