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  • DISPARITION DU CESU : LA MENACE FANTÔME… ?

     Bon…je m’y mets. Pas à parler politique, ne m’attendez pas sur ce terrain là, mais à dire combien les relations petit-peuple-dirigeants demeurent toujours aussi consternantes…voire inexistantes.

     Ainsi du CESU.

     CESU : SILENCE COMPLET

     Hier matin, monsieur Xavier Bertrand, ancien ministre de Nicolas Sarkozy est venu dire, sur les ondes de France-Info, que certaines questions avaient été pieusement évitées dans le discours de politique générale de monsieur Jean-Marc AYRAULT.

     Dont l’avenir du CESU.

     ‘’Pourquoi, a-t-il dit, en substance, un silence complet a-t-il été observé dans ce discours, sur la réduction voire la disparition de l’aide au CESU, supprimant ainsi des dizaines de milliers d’emplois ainsi que l’aide à autant de familles considérées, à tort et de beaucoup, comme nanties et auxquelles on va faire rendre gorge ?’’

     Rappelons que l’ancien ministre UMP, a fait partie d’un gouvernement qui avait commencé à diminuer un tantinet, en douce, les subventions accordées à cette aide à l’emploi et à la moralisation du système (si tant est…) en diminuant les avantages somptuaires (dixit à l’époque l’ex-gouvernement) consacrés à l’aide aux familles genre classe moyenne… inférieure que d’aucuns considèrent, aujourd’hui surtout, comme une catégorie de riches privilégiés.

     SOUTIEN SCOLAIRE, PERSONNES AGEES, MALADES.

     Alors qu’auparavant, un dégrèvement d’impôts de 50% autorisait de nombreuses familles à employer à domicile des intervenants dans de nombreux domaines : soutien scolaire, aide aux personnes âgées, entretien d’habitat, de jardins, etc, les gouvernements Sarkozy avaient diminué en partie cette assistance, créant ainsi, une gêne supplémentaire aux familles des petits employeurs occasionnels ainsi qu’aux employés à qui cette mesure permettait de vivre à peu près décemment.

     Vivre décemment ? Vous n'y pensez pas ! Ce privilège n’étant réservé qu’aux vrais riches, allez hop ! Fini cette aide à une foule de fainéants et de nantis en attendant de la supprimer complètement…..

     …parce que vous le saviez donc pas : l’UMP en a rêvé…? le PS l’a fait…paraît-il…

     En tous cas aux dires de monsieur Xavier Bertrand qui, tout bonnement vient de nous affirmer que le premier ministre actuel, sous couvert d’économies à faire sur le dos de ces riches et super riches, insolents et provocateurs, aurait décidé de supprimer totalement ou peu s’en faut, cette aide qui permettait aux (très petits) employeurs de défalquer en fin d’année 50% des charges sociales, générées par les CESU, de leurs impôts.

     Qu’en était-il, d’ailleurs, de ces catégories de honteux profiteurs ?

     ET HONNÊTES EN PLUS…

     Selon les experts, crânes d’oeuf et autres énarques qui calculent tout au poil près, ces employeurs occasionnels ne sont que des riches qui, vivant dans le luxe, peuvent bien se payer tous les services possibles sans profiter de l’aide d’un état en faillite et qui, en bon socialiste ou socialisant, n‘a en tête, que l’aide aux plus nécessiteux en la matière.

     Or, sur le terrain, et là c’est mon boulot de journaliste (1), qu’en est-il ?

     Eh bien sur le terrain les personnes bénéficiant de ces somptuaires largesses de l’état-providence sont, pour la plupart, des familles de couples travaillant, souvent à deux, avec des revenus tournant autour de 2.000 à  4.000 euros (vous voyez la richesse…) et qui, compte tenu de leur ‘’fortune’’, qui leur mange pas mal de temps, sont contraints et arrivent à consacrer entre 150 à 250 euros par mois, qui pour des cours à domicile (en travaillant tous deux, maman et papa ont bien besoin d’une aide de ce type), qui pour l’entretien de la maison, qui pour l’aide à des parents ou à des personnes seules, âgées et/ou malades, pour qui la survie tient à leur maintien à domicile si possible parmi les leurs…moyennant quoi, au passage, cette ‘’largesse’’ représente, tout de même, une confortable économie pour un état qui peut ainsi diminuer ses dépenses de santé sur le dos du secteur hospitalier.

     Autre avantage du CESU, les employés.

     Ces futurs sacrifiés concernés, qui tiennent, obstinément, à travailler…honnêtement (ça existe…) en respectant les lois, n’alimentent pas le secteur du travail au noir (lesquelles pertes du fisc, à la louche et pour cause du ‘’black’’ coûtent entre 3 et 4 milliards d’euros annuels).

     De plus, étant, de façon assez évidente, plus honnêtes que les fraudeurs, ils évitent un surcroît de travail aux service contrôleurs, si tant est, bien sûr, que l’état ait bien  l’intention de pourchasser les fraudeurs grands et petits.

     Par ailleurs, ces employés plutôt modèles, sont généralement, mais très précisément, plus compétents et efficaces.

     Enfin, se prenant ainsi en main, ils acceptent volontairement le risque de la précarité et n’encombrent pas les salles d’attente de l’ANPE…

     Mieux encore, en n’acceptant que de travailler en CESU, ils rappellent utilement aux employeurs occasionnels, qui leur offrent du travail au noir, quelques règles élémentaires de vie en société dont un minimum d’honnêteté.

     En fait, véritables auxiliaires de l’état en matière de moralisation sociale et fiscale, ils participent donc à la lutte contre la fraude en demandant le respect de ces règles à leurs employeurs éventuels.

    Et honnêtes en plus…

     Trop honnêtes ces travailleurs en CESU ?

     Très probablement car dans un système pervers, leur disparition signifie, à court terme, des effets pervers quasi immédiats : disparition de la ‘’clientèle’’ des employeurs concernée qui préfèrera des employés au noir, augmentation consécutive de la fraude (la morale ne résiste pas toujours aux pressions économiques), croissance du chômage et des indemnités y afférant, baisse des rentrées fiscales, déplorable exemple social difficile à justifier, en particulier auprès des élèves qui sont parmi les premiers bénéficiaires en matières d’enseignement (2) et…probable retour du bâton face aux prochaines échéances électorales d’une classe moyenne qui arrivait tout juste à s’assurer une vie relativement supportable par ce moyen.

     Au passage, considérer comme riches les membres de cette classe relève d’une analyse consternante. Les vrais de vrais riches n’ont aucun besoin de travailleurs en CESU. Ils n’ont aucun avantage à finasser dans ces eaux-là. Ils peuvent payer tout et le reste…au noir y compris.

     Seuls les membres de la classe moyenne, encore dépositaires d’une certaine morale, agissent en conformité avec des principes ‘’d’avant’’ et ont un véritable avantage à la fois de disposer d’une aide décente et ce de façon absolument légale...et de contruibuer activement à la créatio,n d'emplois et aux économies bien utiles dans un état où les gaspillages sont aussi nombreux que bien cachés et...très inégalitairement répartis...

     L’UMP EN A REVE ?

     Mais bon, dès lors, et avec tous ces avantages que représente la méthode à quoi servirait-il donc de faire disparaître le CESU ?

     Le système néo-libéral, voire social-démocrate, envahissant le monde en général et la France en particulier, et considérant depuis toujours que les efforts d’économie doivent être faits en priorité par les membres de la classe moyenne, la plus représentée (donc la plus rentable fiscalement), c’est donc dans ces poches-là qu’il faut puiser. CQFD.

     Disparition du CESU la menace fantôme ?

     L’état UMP en a rêvé ? Et l’état PS l’a fait… ?

     …on peut le croire si monsieur Xavier Bertrand a dit vrai…et si le nouveau gouvernement est bien décidé à agir dans ce sens…et à oser nous le révéler.

     Toute chicanerie politique mise à part, ceci étant la dernière de nos préoccupations.

     Maurice CARON

      (1)Au fait, les gazettes ont-elles évoqué ce problème ? Que nenni. Silence radio, télévisuel ou écrit total, y compris au ‘’Canard enchaîné’’ qui ne cause que de ce qui l’intéresse vraiment…et puis pourquoi donc voulez vous que des journalistes aux salaires allant de 3 à 6, 10 ou 15.000 euros voire quatre ou cinq fois plus par mois, tirent quelque profit à s’intéresser à ces gagne petits qui s’engraissent insolemment et voluptueusement avec des 1.000 à 1.500 euros mensuels ?

     A ce propos, puisqu’on parle de journalisme et de ‘’niches fiscales’’ des plus nantis : avez-vous vu, lu ou entendu dire que les…journalistes bénéficiaient d’abattement d’impôts de…30% pour frais professionnels ? Alors qu’ils profitent, aussi, de remboursements de notes de frais sur lesquelles figurent à peu près tout ce qu’ils veulent… J’en ai vu beaucoup multiplier les frais en question et même un se faire rembourser un…smoking pour frais professionnels en vue de soirées à l’opéra ! ! !

     Et puis, en cas de licenciements, il leur est généralement accordé un mois de salaire brut par année de présence…

     Pourquoi n'est-il pas question de supprimer cet abattement ? Et ces avantages plus que coquets sans contreparties fiscales le plus souvent…

     Réponse simple : soigner l’amitié des journalistes n’est-elle pas bien utile à tous les pouvoirs ?

     2 : A noter que les associations proposant beaucoup de services d’aides à domicile exploitent carrément leurs employés, des femmes à 95%, au mirifique taux horaire de…8 euros de l’heure ! Concernant les intervenants scolaires, les employés en CESU travaillent…aux résultats, quasiment à l’heure, ce qui donne toutes les garanties de qualité aux employeurs, alors que les associations ou sociétés obligent les parents à souscrire des contrats d’au moins 3 à 6 mois…sans garantie de résultats alors que les précaires sont obligés d’être efficaces le plus vite possible...sous peine de perdre rapidement vite leur boulot. Une précarité qui profite aux parents mais surtout aux élèves eux-mêmes.

    Et puis des femmes, dites donc, notre équipe en place serait-elle machiste? Impossible voyons! Bien que, ceest vrai et pour reprendre les gazettes, pas mal d'éléphants se soient escrimés à savonner la planche à Ségolène Royal..;et continuent à le faire non?

     

     

     

  • Voilà, voilà, j'arrive!

    Chose promise, chose dûe. (Avec ou sans acent circonflexe? Bon, je sais plus)
    Ah oui!
    Primo pour la sccopeuse.
    Vous la connaissez tous.
    Elle a trôné il y a quelques années dans les petites lucarnes, puis, après une légère extinction politico-professionnelle, vous savez les éclipses qui vont et viennent selon les régimes, elle retrône de nouveau. Un peu moins haut mais tout de même pas mal.
    Son nom?
    Comme disait Talleyrand: "Tout ce qui est excessif est sans importance".
    Un parce que c'est une femme et, c'est une de mes idées fixes, je pense que s'attaquer à une femme, même puissante, n'est pas digne d'un homme. Enfin, c'est comme ça qu'on m'a appris il y a...houlà! Bigre que ça fait loin. Presqu'avant la guerre, mais pas celle de 14 tout de même.
    Faut dire que j'y ai du mérite parce qu'il y en a des femmes qui m'en ont fait voir de drôles. Et même d'abominables. J'arrive tout juste à m'en remettre. Sans blague.
    Mais les cicatrices ça fait mâââle non?
    Deux: pour en revenir à la sccopeuse je préfère taire son nom par simple charité...humaine. Personne, fut-il homme, femme, voire même journaliste, ne mérite qu'on lui déverse sur la tête quelques tombereaux d'insanités, méritées faut-il le dire, ni même de simples vérités, méritées elles aussi. Dans la position que ces "gens-là" occupent, rien ne saurait les atteindre. Et surtout pas la vérité. Elle restera toujours au fond de son puits.
    De toutes manières, le sale boulot effectué au quotidien ne changera pas d'un iota, quels que soient les moyens employés, par ceux qui n'apprécient pas, pour tenter de les convaincre. Comprenez-les: ils ont TOUT à y perdre.
    Comme le disait Serge Halimi dans son bouquin "Les nouveaux chiens de garde", les personnes de cette espèce croient qu'ils sont du côté du pouvoir alors que c'est le pouvoir qui les tolère à ses côtés pour s'en servir.
    Vous vous souvenez de la fable de La Fontaine "Le chien et le loup"?
    Rappelez-vous la différence des deux: l'un était famélique, l'autre bien nourri. Mais le premier était libre, et si l'autre l'était aussi...il avait une marque autour du cou. Celle du collier fixé à une laisse de longueur juste mesurée par son maître...
    Bof!
    On en revient, si vous voulez, un petit peu à l'histoire de Hanoun-al-saadi et Florence Aubenas.
    Au passage, je préfère, une fois sur deux, mettre son nom à lui en premier.
    Un détail? Non!
    Quelque chose me gêne dans l'ordre dans lequel on les cite tous les deux. Il est révélateur de l'esprit "journalistique". Personne ne l'a dit mais dans cette histoire, c'est elle qui est toujours citée en premier. Et pourquoi donc?
    Parce qu'elle est journaliste, blanche, et femme?
    Et lui, bronzé, homme et simple chauffeur il risque pas aussi sa peau?
    En plus, sans la "gloire" de voir son nom en bas d'un papier?
    Et probablement pas assuré sur la vie ?
    De toutes manières, cette histoire est horrible. Les efforts des autres confrères et de tous ceux qui travaillent à tenter de trouver une solution sont, évidemment louables. Mais il nous paraît bien plus sain, plus logique que les collègues journalistes passent plus de temps à faire pleurer Margot sur les malheurs de habitants de notre pays que de faire de l'exotique, plus vendable et, avouons-le, moins dangereux pour leur liberté d'écrire.
    Dire que les dictateurs lointains sont des pourris condamne rarement à à l'ANPE vous savez. Alors que si on se livre à un jeu pareil chez nous...
    Par ailleurs, ça rapporte plus en tartinant sur le pape, sur les duels au pistolet à bouchon entre hommes politiques ou sur les savantes exégèses à propos des sondages européens et des chances de réussite du Bachelor.
    Tout ça pour dire qu'envoyer au charbon, pire, à la riflette, des bonnes femmes, ou des bonhommes, avec ces nouvelles médailles qu'on appelle la notoriété ou la gloire (on va, certainement, s'inventer un prix Pulitzer à la française un de ces jours), relève d'un calcul aussi mercantile que pitoyable de la part des grands décideurs de l'information. D'autant plus que, dixit Le Lay, l'information ne se justifie QUE parce qu'elle est le support du temps de cerveau mis à la disposition de Coca-Cola et de ses semblables...
    C'est le Système quoi.
    ET LE KIRGHIZTAN?
    Nous y voilà.
    Lorsque nous avons écrit Europe-Kirghizistan (Ou Kirghiztan on sait pas) même combat, l'allusion était simple.
    Il n'était évidemment pas question de discutailler sur des notions d'ordre politique, économique, religieux ou autre qui auraient sous-tendu le conflit. Récupéré, voire attisé, on le sait, par l'Oncle Sam. Tout ça, vous nous excuserez, on n'en a rien, mais alors rien à faire du tout.
    D'ailleurs, dans la présentation de notre équipe, c'était le mois dernier je crois, nous avions précisé que nous ne ferions jamais l'apologie de quelque religion, politique ou idéologie que ce soit.
    S'il nous arrive d'en parler, c'est, ou sera, uniquement à partir de faits contrôlés par nos soins, mais jamais à partir de "on-dit", rumeurs, ragots et autres papiers de confrères dont nous ne savons que trop dans quel esprit ils les écrivent.
    Pour en revenir à nos moutons kirghizes, nous disions, en fait faisions remarquer, que lorsqu'un peuple en a marre de réclamer dans le vide et de n'être jamais, mais alors jamais entendu, eh bien il n'a plus qu'un seul recours: le vote sanction...ou la sanction de la rue. C'est tout bête mais c'est ainsi depuis Adam et Eve.
    L'Histoire ne manque pas d'exemples ni de sel: depuis Spartacus jusqu'au NON européen en passant par la Hongrie (1), révolution de velours, révolution des oeillets, révolution de...1917, bien sûr, sans oublier, eh oh, 1789 hein? Il y en a à la pelle dans les brouettes et les poubelles de l'Histoire. Et pas que chez nous.
    L'Histoire ne repasse pas les plats mais se sert toujours des mêmes ingrédients.
    Et elle repasse toujours le sel.
    Et il ne nous intéresse nullement de savoir qui a fait la révolution ou qui l'a récupérée pusique de toutes manières, elles l'ont toutes été.
    Et toujours bourgeoisement par toutes les nomenklaturas de la planète.
    Non, ce que nous soulignons c'est que le Système est complètemet clos, fermé, hermétique. Entre dominants et dominés, n'existe qu'un seul langage: celui de la force. Les sentiments, les communications, les discours, les considérations, les respects et hommages mutuels, les colloques, c'est pets de lapins et roupie de sansonnet.
    Staline avait une manière bien à lui de le rappeler quand il disait :"Le Vatican? Combien de divisions?". Il se doutait pas, le pauvre, que le Vatican en avait plus que lui. Et depuis des millénaires.
    Le pouvoir, collègue, le pouvoir: c'est le seul moteur de ce Système.
    Le Pouvoir, c'est simple: comment l'obtenir et comment le garder.
    C'est tout.
    Face à ça, eh bien le peuple n'a qu'un seul moyen.
    Civilisé: on dit non, même en mélangeant tout.
    Ou alors, pas civilisé du tout...
    Mais ça c'est pas notre truc.
    Parce que toute révolution signifie la violence et que, de toutes manières, elle est récupérée un jour ou l'autre.
    Allez. Bonne nuit. J'ai les yeux qui se ferment.
    Et puis le "N" de mo clavier qui se met à e plus marcher. Je e sais pas pourquoi. Et ecore moins commet d'ailleurs.
    Je suis bon pour en acheter un autre.
    De clavier.
    Ah. Au fait. En parlant de ce machin.
    Christia Clavier, vous connaissez non? L'artisse qui a fait écrouler de rire la galaxie et même au-delà avec les moniteurs, les percuteurs, les vasouilleurs, non, les visiteurs ou quelque chose comme ça?
    Eh bien il a dit, je l'ai lu dans le journal: "J'ai deux amis, Nicolas Sarkozy et François Hollande"
    Bel effort non?.
    Allez! Quel que soit le régime, il est tranquille pour la vie celui-là.
    Bon système non?
    Tiens! Il remarche.
    A moitié.
    Mon "N".

    (1):Au fait! Qui se souvient, aujourd'hui, de Jean-Marie Pedrazzini, déquillé d'une rafale de Kalach par un Rouski à Budapest en 1956? Ca chauffait salement. Lui, il couvrait le printemps...de la Hogrie. Il avait un télé Novoflex de 400 mm et visait les soviétiques. Il y en a un qui a pris ça pour une arme, enfin qu'il a dit.
    Pan, pan, pan, pan!
    A pu, fini l'ami Pierrot.
    Certes, il faisait son boulot. Le nôtre. Mais ça n'a pas fait avancer le smilblik plus vite. D'autant que les cocos, en France, encourageaient les Russes. Ils s'en souviennent plus très bien d'ailleurs. Et les Soviets ils ont encore duré...33 ans! Bon, bon...ça veut pas dire qu'il faut pas aller y voir. Mais pas avec ce déséquilibre entre ici et là-bas. Et pas avec de déluge de larmes dégoulinantes de ceux qui sont prêts à bigophonner au rédac-chef dès qu'un plumitif écrit une virgule à l'envers. Trop c'est trop.

  • On répond, on répond!

    Salut les gars!
    On a reçu des commentaires et ça nous fait plaisir. Pas pour notre gloriole, ça on s'en bat l'oeil, mais parce que notre job c'est de donner notre vision des choses, poser des questions que les collègues du Système ne posent pas, ou faire part d'angles de vision qui nous sont propres. Enfin, si des blogers lisent et apprécient, tant mieux. On est contents.
    Mais les commentaires, on est pas pour;
    On vous dit pourquoi.
    ON-NA-PA-LE-TANT!
    OK?
    Tout simplement parce qu'il y a les gosses, le jardin, les courses, les impôts à payer, la chambre à ranger, les papiers à chercher, - et mes clés où elles sont mes clés? -, le gas-oil a faire, l'argent à aller chercher, quand il y en a encore, s'occuper de sa femme, de son mari, des mouflets, et puis de temps à autres, mais de temps à autres seulement, - because en plus le travail, la maison, les impôts à payer, - et mes clefs alors où elles sont? -, la bouteille de gaz à changer, la poubelle à sortir, - ouf, de temps à autres seulement, on-est-pas-fous, on regarde une VHS ou un DVD mais pas la télé. Parce que la nôtre elle est spéciale. C'est du genre:
    On n'a pas d'antenne-parce-qu'on-sait-comment-sont-faites-les-infos-
    et-qu'on-veut-pas-se-pourrir-la-cervelle.
    Et-en-plus-on-paye-la-redevance.
    Bon, après avoir fait tout ça...bouououhhhh! On n'en peut plus on vous dit!
    Alors, comme on tape par-ci-par-là comme-ci, comme-ça, si en plus il faut tchatcher. C'est pas qu'on veut pas c'est, simplement, qu'on peut pas. Et puis les commentaires en appellant d'autres...qui en appellant d'autres...Vous suivez?
    On vous aime beaucoup mais qui trop embrasse manque le train comme disait le jardinier de mon père.
    Allez les gars? Ne nous en veuillez pas.
    Par contre, on va répondre dans un papier suivant aux commentaires qui ont ont été faits sur "LA" journaliste scoopeuse bien scotchée, désormais, aux cimaises de la gloire. Ainsi qu'au commentaire sur religion et corruption qui n'était, en rien, d'ailleurs, le propos de notre papier sur le Kirghiztan. Simplement parce que toutes les religions font plus ou moins partie du Système avec un grand S. Voire sont le Système. Ou le co-Système. Et que côté corruption, aucun pays, aucune religion n'est en droit de donner des leçons à qui que ce soit.
    Relisez donc le tableau récapitulatif des pays corrompus et vous y verrez qu'aucun d'eux n'échappe à cette gentille tendance qui semble aller de pair avec la gouvernance. Même les Scandinaves, meilleurs que les autres (mais qui fait les normes?) n'y échappent pas.
    OK?
    Pourquoi dans un papier et pas par mail?
    On vous le donne Emile!
    Parce qu'on n'y connait rien, ni les uns ni les autres en informatico-internet et que c'est plus facile comme ça.
    Eh oui!
    Y a encore des zèbres comme nous qui considérons qu'un ordinateur c'est rien d'autre qu'un porte-plume (un de nous a d'ailleurs commencé en écrivant...à la main! Ouaaaiii!!!!)(1) et que ce qui compte c'est ce qu'on dit, ce qu'on lit, ce qu'on apprend, (on apprend toujours toujours, des autres), et que les super-caractéristiques du porte-plume, le jour où il y a une panne de courant, on va s'apercevoir que l'important c'est de savoir se parler. On veut pas obéir à des machines inventées par des gens qui nous imposent LEUR langage, LEUR système, (toutes choses anglo-américaines par excellence n'est-il pas?) donc on s'en sert du bout des doigts. Qu'on veut pas mettre dans l'engrenage? Déja qu'on y est un peu obligés hein?
    Mieux: si on a deux oreilles et une bouche, c'est parce qu'il vaut mieux écouter deux fois plus qu'on ne l'ouvre.
    C'est pas de nous ça mais c'est assez bien trouvé.
    Ouf!Allez. Salut.
    A le revoyure.

    (1): C'est vrai. Là, c'est moi qui prend la suite en bas de page. J'écrivais comme un cochon même en m'appliquant. Comme je voulais faire mieux, un jour je me suis servi de ma propre machine, alors que tout le monde écrivait à la main, et je l'ai usée jusqu'à la corde. Sans demander quoi que ce soit au directeur. En payant de mon bien propre quoi. J'estimais que le boulot des linos, qui y voyaient déja rien à l'atelier en serait facilité. Un jour où le directeur en question m'avait demandé de venir le voir, dans la conversation, incidemment, sans avoir l'air d'y toucher, je lui ai demandé si, peut-être, des fois, un jour, il consentirait à me remplacer ma machine...voire un petit bout, parce que ça coûtait cher, une Japy à l'époque, et puis le journal aurait pu, peut-être, nous en payer des machines non? Ben! Il l'a pris de haut et m'a...mis à la porte en me disant "Je ne vous ai pas demandé de venir pour discuter de questions d'intendance!". Tel que!
    Il est mort depuis, paix à ses électrons, et je n'ai jamais su pourquoi il m'avait demandé de venir le voir. J'ai vaguement compris que c'était pour m'annoncer que j'allais avoir de l'avancement.
    J'attends encore! La machine aussi.
    Alors les ordis, vous savez, ça me fatigue. Je sais juste taper. C'est déja pas mal.