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environnement

  • Eau: c'est ainsi qu'Hulot est grand!

    De l’eau pure et gazeuse au robinet !

    C’est le plaisir et l’avantage qu’ont, depuis hier, des habitants de l’Est de la France, dont les élus ont œuvré afin que ce qui sort du robinet puisse être bu quotidiennement plutôt que de l’eau minérale en bouteilles vingt fois plus chère.

    Et pas meilleure.

    Certes, il fallait, au préalable, épurer, affiner, et veiller à ce que l’eau distribuée soit rigoureusement inattaquable du point de vue du goût et de la pureté aux plans chimique et bactériologique.

    C’est chose faite.

    Tour de force ?

    Quasiment.

    Il est vrai qu’en un temps où l’on expédie des véhicules télécommandés sur la planète Mars et où l’on se permet de se rendre à un rendez-vous, à la minute et au mètre près avec une comète venue du fin fond du système solaire, une opération de ce calibre ressemblerait, plutôt, à un petit tour de magie sorti de la panoplie du génial petit chimiste.

    Mais il ne faut pas minimiser le geste d’élus qui ont su réaliser une espèce d’impossible, certes relatif, mais digne d’éloges.

    Un petit exploit à mettre en parallèle, pour leur faire honte, à celui que pourraient accomplir d’autres élus à qui les administrés réclament, à cor et à cris, de rendre l’eau du robinet moins calcaire, compte tenu des dégâts que représentent les concrétions qui s’accumulent dans les conduits et les appareils, et des frais démesurés qui résultent des travaux à entreprendre pour apporter remède à cet état de choses qui ne fait qu’empirer dans une bonne moitié de la France.

    Tiens au fait!

    La Fondation pour la Nature et pour l’Homme, du distingué Nicolas Hulot n’a pas pensé à çà !

    Ou plutôt s’est bien gardé d’évoquer le problème.

    Bien qu’il représente des milliards d’Euros en gaspillage d’argent et de dégâts à l’environnement immédiat des foyers français.

    Il est vrai, aussi, qu’il faudrait alerter les Pouvoirs Publics et ce cher Nicolas ne veut pas être accusé de ‘’faire de la politique’’.

    Il lui est plus commode de culpabiliser le citoyen lambda en le persuadant que c’est à lui, et à lui seul, de faire des efforts car c’est lui, lui seul, ce pelé, ce galeux, qui est responsable de la destruction de notre Environnement.

    Et c’est ainsi qu’Hulot est grand !

     

  • Roulez doucement, sauvez la Planète!

    Génial !

    Miracolo !

    Pour économiser l’essence, en fait pour calmer un tantinet la colère montante des automobilistes, un mirifique et ingénieux conseil vient de nous être donné par un digne représentant de la France d’en-haut qui bénéficie de voitures de fonction dont il ne paye ni le carburant, ni l’achat et moins encore le fonctionnement !

    Le conseil ?

    ’’Roulez moins vite !’’.

    Pour une trouvaille c’est une trouvaille !

    Roulez alegro…ma non troppo.

    Conseil fort judicieux.

    Du niveau de tous ceux dont notre distingué écologiste en chef, Nicolas Hulot, guide et phare du vain peuple qui n’y connaît paraît-il rien en la matière, nous abreuve au quotidien :

    -N’utilisez plus de sacs de plastique…alors que les supermarchés ne nous en fournissent plus, ‘’oubliant’’ d’ailleurs au passage de diminuer les prix des produits qui continueront donc à inclure le prix des sacs disparus mais qui ne vous étaient pas donnés en cadeau ;

    -Faites coulez moins fort le robinet…comme si la facture croissante nous incitait à ignorer la mesure propice à la stabiliser faute de mieux ;

    -Utilisez moins votre voiture…comme si, dans les villes où il n’y a pas de transports en commun, l’on avait le bonheur de disposer d’une flotte de cyclistes bénévoles, proposant gratis de faire les courses en ville à tous les plus de 50 ans qui s’esquinteraient la santé s’ils n’avaient pas de bagnole ;

    -Achetez de préférence les produits bio…comme si les producteurs et les contrôles étaient d’une fiabilité virginale, et comme si les prix pratiqués étaient accessibles au plus grand nombre ;

    -Achetez un véhicule fonctionnant au carburant vert...sauf qu'il n'y a, à notre connaissance, que les bus et pas dans toutes les villes, qui peuvent le faire et qu'aucun fabricant de bagnoles ne s'y est mis...Se méfiant, d'ailleurs, des pétroliers qui voient la chose d'un très mauvais oeil... 

    Des conseils comme ceux-là, on en a des tonnes à vous offrir. Ca ne mange pas de pain et vous permet de vous donner une image de défenseur intelligent et dynamique de la planète, laquelle n’attendait d’ailleurs plus que ces zigs et leurs suggestions pour enfin espérer survivre à l’envahissement de la maladie que vous savez : l’Humanité elle-même.

    Mais cette fois, la génialité, si l’on ose, passe les bornes.

    Roulez moins vite et vous dépenserez moins !

    On en est béats d’admiration !

    De ce conseil bien compris, on en a fait, en bon citoyen tâchant d’anticiper sur les lumineuses recommandations de ses maîtres, la déduction suivante.

    Pour dépenser moins encore, au lieu de rouler à 115, on roulera à 100.

    Puis à 90.

    Puis à 70.

    Puis à 60

    Puis à 50, comme en ville.

    Puis…

    Bon. Assez finassé, nous vous donnerons en exclusivité ce conseil que la rédaction de votre journal favori vous fournit donc gratuitement :

    Pour économiser un max, NE-ROU-LEZ-PLUS-DU-TOUT !

    Quoi on rigole ?

    Essayez, mais essayez donc avant de critiquer quoi !

    Tiens, tout cette pantalonnade nous rappelle que récemment, nous avons été nous baguenauder sur le site de la Fondation Hulot et nous avons suggéré aux ‘’spécialistes’’ l’animant, quelques pistes que nous pensons utiles à nos contemporains.

    Ainsi, nous leur avons rappelé qu’au lieu de s’en prendre aux 4X4 - qu’ils incitent leurs fidèles lecteurs à accuser de tous les maux, voire à leur crever les pneus, tout cela sans y connaître que pouic -, ils devraient se renseigner. d'abord

    Eh oui. C’est le boulot premier de qui pense être journaliste.

    En l’occurrence et on le rappelle, question place, émanations de CO2 et consommation, les crânes d’œuf écolos feraient mieux de consulter toutes les revues techniques automobiles. Ils se rendraient ainsi compte qu’ils parlent sans savoir. Les revues en question, on les trouve chez tous les marchands de journaux. Vulgarisation scientifique au coin de la rue.

    Parler sans savoir est le propre des prétentieux stupides. Excusez le terme mais c’est très exactement la définition que l’on peut donner des individus qui prétendent savoir et juger sans argument aucun si ce n’est ceux qu’ils inventent.

    Réponse des intéressés à notre remarque sur la nécessité d’y aller mollo sur ce genre de choses: ‘’Nous conseillons l’ensemble de la société afin d’apporter des éléments de réflexion (sic) que chacun est, ensuite, à même de gérer comme il l’entend’’.

    Autrement dit, en manque (une fois de plus) d’arguments, on botte en touche, histoire de dire poliment tout juste, allez vous faire voir ailleurs.

    Sans nous décourager, nous avons réitéré nos conseils.

    Et avons proposé, cette fois, à nos distingués conseilleurs, qui ne sont pas que l’on sache les payeurs, d’inciter les humains à manger un maximum de chose crues, fruits, légumes, voire protéines diverses animales ou végétales.

    Pourquoi ?

    Eh bien sans chercher à faire de la retape pour ces adeptes de ce mode de nutrition, il nous paraît, le mode, aborder les vrais problèmes c’est-à-dire, in fine, aller vers la bonne solution.

    En effet, développer le manger cru offre une foultitude d’avantages évidents et absolument sans équivalents ni contradictions possibles.

    Supposons, pure hypothèse d’école, que le monde entier s’y mette.

    Cette manière de faire permet, déjà, d’économiser sur tous les types de combustibles et d’énergies : gaz, fuel, électricité nucléaire ou hydraulique voire solaire.

    Et ce non seulement au niveau de l’utilisation directe pour faire cuire, mais également pour le transport et l’utilisation desdites énergies. Mesurez et vous verrez l’ampleur qui va la trouver saumâtre...mais pour le plus grand bonheur de notre atmopshère..

    En premier lieu, les fournisseurs et utilisateurs de premier niveau, de ces énergies.

    Suivez mon regard : des pétroliers à ITER, en, passant par EdF, GdF voire même les marchands de bois et charbons.

    Mais aussi les fabricants de camions pour le transport, de voitures pour tous les personnels, les sociétés d’autoroutes, les garagistes, les compagnies d’assurances et, en ribambelles par effets domino, tous les secteurs concernés de près ou de loin.

    Mais cela ne s’arrête pas là.

    Les agriculteurs locaux seraient évidemment intéressés au premier chef puisque les produits fruitiers et légumiers en question sont d’autant plus utiles que leur fraîcheur est garantie.

    Donc, minimum de transports. On consomme sur place, dans les villes et leurs proches secteurs.

    Et, tant qu’à faire, en produisant, VRAIMENT bio, les engrais et produits de traitement, issus du pétrole, seraient, eux aussi, mis au rancart.

    Quant à tous les produits transformés possibles et imaginables, pensez donc à la tête des patrons de supermarchés au fur et à mesure de la mise en place d’un tel système pour le moins nouveau. Manger nature, et s'abstenir de tout ce qui est vendu en pots, en boîtes, en conserves, en sachets, surgelés ou pas, bref, tout ce qui est travaillé, trituré, aromatisé, homopgénisé, aromatisé, pasteurisé, en un mot comme en cent, tous les produits qui ne sont plus dans le même état que celui des origines.

    Le Système entier remis en cause.

    Cul par-dessus tête. 

    La grôôôsse cagastrôôfe comme on dit chez moi. 

    On voit d'ici la tête des fabricants, producteurs et autres transformeurs. 

    Et on ne vous parle pas des patrons, des hommes politiques, des medias, des experts, des syndicats, bref, de tous ceux ( y compris vous et moi) que les idées nouvelles dérangent parce qu’elle les contraint à faire travailler leur cervelle en s’apercevant qu’ils ne sont pas aussi merveilleux qu’ils se l’imaginent. D’autant qu’un tel système, cautionné par 5 ou 6.000 ans de ‘’civilisation’’…cuite, cela vous façonne plutôt les gênes et le cerveau…

    Ca vous paraît dingue tout ça?

    Utopiste ?

    Dites voir, qu’est-ce que l’Utopie ?

    C’est s’imaginer que la société humaine va fonctionner très bien alors qu’elle est sous-tendue par des lois du marché totalement invraisemblables, au risque, évident, de voir bientôt la machine s’enrayer ?

    Ou bien est-ce revenir à des conceptions et à des pratiques proches de la Nature…à l’opposé, bien sûr, de celles que avons tous aujourd’hui et, semble-t-il, depuis bougrement longtemps et pour pas mal de temps encore ?

    Pratiques proches de la Nature ?

    Mais oui, vous savez bien…Cette Nature que, justement, toutes les législations et règles de Progrès, les manières de faire modernes, mettent à mal suscitant, pour tenter de trouver des solutions, des conseils stupides tels que ceux dont nos guides suprêmes nous abrutissent.

    Le cru sauvant la Planète ?

    Ne rêvons pas mais entre nous, n’est-ce pas vers ce genre de pratique que nous poussent même les pouvoirs publics avec leur pub : ‘’Mangez cinq ou six fruits et légumes tous les jours’’…et avec les mises en gardes répétées contre les dangers générés par les, de plus en plus louches, manipulations des produits alimentaires.

    Püisque, quelque part, ce mode d'alimentation là, titille nos penseurs et décideurs mais que les intérêts pour ne pas s'y convertir sont vraiment trops gros à avaler, difficile d'en faire la promo d'un seul coup d'un seul n'est-ce pas? 

    Au fait, nous avons, modestement, suggéré tout ça à la Fondation qui va sauver la planète.

    Vous savez quoi ?

    On attend encore la réponse.

    C’est sûr, que si on ne se contente pas de replâtrer mais qu’on remet tout le Système en question…

    C’est pour ça qu’il ne faut pas rêver.

  • Agribio: des promesses...

    L’agriculture biologique, prônée par tous les individus conscients des dangers des pratiques agricoles, y compris ‘’raisonnées’’, usant ou abusant des engrais, insecticides et pesticides chimiques, est, chiffres en main, la seule pratique pouvant nous permettre d'espérer que sa généralisation contrubuera à une diminution des pollutions diverses et du réchauffement du climat par accumulation de CO2 en particulier.

    En foi de quoi, les experts de bonne foi, et des plus fiables, nous disent qu’il vaudrait mieux ne pas tarder et retarder la conversion massive de l’agriculture, des agricultures, fut-elle progressive, à ce mode de production de fruits, légumes et produits animaux.

    En foi de quoi l’on pourrait s’attendre à une diminution, contrainte par un durcissement des lois et règlements en vigueur, des nuisances de l’agriculture dite, à tort, traditionnelle - sauf à entendre par là que les nuisances chimiques le sont…- et à une aide accrue au développement de l’agriculture biologique.

    En foi de quoi, lesdites lois renforcent de bien curieuse manière…lesdites nuisances, notamment en Bretagne, aux sols et aux eaux déjà nitratés à mort, en facilitant, entre autres pratiques, les élevages de plus en plus importants de volailles et de porcins. Et en supprimant, la plupart des barrières administratives limlitant, jusque là et tant bien que mal, les nuisances susdites.

    En foi de quoi, deux agriculteurs de la région parisienne, vont perdre leur agrément biologique, pour cause de pollution…obligatoire de leur propriété, vu que diverses infestations des terres environnantes, pas bio pour un sou évidemment, ont nécessité des pulvérisations massives de produits de traitements…chimiques sur un large secteur…dans lequel ils se trouvent malheureusement englobés...

    Si l’on pouvait,, à ,la rigueur, concevoir l’urgente nécessité de sauver des cultures, mises en péril par une menace impossible à juguler autrement, on ne comprend plus du tout le fait que les malheureux ne pourront espérer aucune indemnisation pour la perte de leur outil de travail durant un nombre d’années indéterminé.

    En effet, si la pureté et la propreté de l’air et des sols ne sont pas contagieuses, la pollution, elle, l’est bel et bien.

    Tout autant que le nuage de Tchernobyl.

    Et nos agriculteurs bio devront attendre pas mal de temps avant que leurs terres se nettoient.

    On s’attend à ce que les promesses écologiques, tararatsointsoin, reprises par les gazettes et les discours officiels, soient suivies par des actes.

    On attend aussi que les medias fassent leur boulot.

    On attend…

  • Environnement: FOU-TUS

    Pourquoi?

    Sommes-nous pessimistes ?

    Pire ?

    Défaitistes ?

    Que non.

    Il nous est apparu, néanmoins, compte tenu de quelques constats et personnels, et de nos mandants à travers nos villes respectives, que la lutte contre la dégradation de l’environnement était vouée, à terme, à l’échec.

    Et qu’en fait, le retour ‘’à la lampe à huile’’, argument favori des modernistes à l’encontre des demeurés amoureux de la Nature que nous sommes, était, toutes choses égales par ailleurs, la seule solution envisageable.

    Déjà parce que la seule énergie propre existant sur la Terre était l’énergie…musculaire.

    En effet, pour se reconstituer, elle est seule à ne pas boulotter outre mesure l’environnement vu qu’on n’a qu’un seul estomac et que ce ne sont pas les boulimiques qui vont faire disparaître les réserves alimentaires de la planète.

    Secundo, parce que plus on s’en sert de cette énergie propre, meilleure est la santé.

    Tertio, parce qu’elle ne demande aucun adjuvant, aucun appareil, aucun complément pour être mise en œuvre.

    Ceci dit, nous nous sommes rendus compte que toutes les mesures prises pour sauver la Terre - et que redécouvre Nicolas Hulot et son équipe de super athlètes qui ne se déplacent qu’à pied y compris pour faire Paris Marseille et ne s’habillent qu’en coton payé très cher aux Chinois qui s’enrichissent, - toutes ces mesures donc engendrent, au-to-ma-ti-que-ment des effets pervers que les laudateurs du sauvetage en question évitent soigneusement d’étudier et, évidemment, de diffuser.

    Ainsi dans le très simple.

    Voire le vulgaire.

    Les sacs poubelles.

    Les moins chers sont les moins polluants : dégradables, à peu près, mais moins féroces consommateurs de pétrole que les plus chers, avec liens, fermetures automatiques, voire répondeur pour dire quand ils sont pleins.

    Sauf que…les pas chers sont donc plus fins.

    Ils crèvent une fois sur deux.

    Pour remédier : on les charge moins.

    Donc on en consomme deux fois plus.

    Aïe !

    Ou alors, on entoure le crevé avec un autre sac et le résultat est le même.

    Re-aïe !

    Ou encore, on met le sac dans le container individuel qu’il faudra ensuite laver car le jus d’ordures et de cacas divers aura coulé.

    Donc, dépense supplémentaire de flotte (au jet une vingtaine de litres minimum), perte de temps, bref...erreur de trajectoire.

    Re-re aïe !

    Au fait, puisque nous avons tous, ou presque, des containers individuels dans mon lotissement, nous avons dépensé en argent et en plastique, 50 fois plus qu’au temps des containers collectifs qui réunissaient chacun les déchets d’environ, 20 personnes.

    Because les gens sont des cochons et y jetaient tout en vrac.

    Re-re-re-aïe !

    Là on commence à avoir mal au crâne, pas vous ?

    Autre exemple de mesure qui génère etc etc.

    Les copains d’Hulot nous couinent, ‘’ne vous servez pas de votre clim en voiture’’.

    Résultat si personne ne s’en sert, on supprime des emplois et on, a dépensé de l’argent pour rien...et on va occasionner des dépenses supplémentaires pour que les constructeurs modifient, même un peu, leurs bagnoles.

    Aïe !

    Et si les personnes âgées, demandeuses on se doute pourquoi, de ce rafraîchissement en voiture surtout, ne s’en servent pas, problèmes de santé à brève échéance.

    Re-aïe !

    Quelquefois même…couic !

    Re-re-aïe !

    Avec tout l’argent dépensé pour les obsèques, le transport, l’incinération…

    Re-re-re-aïe !

    Certes, on fera l’économie des retraites à payer comme l’avait si élégamment remarquer un aimable député.

    Néanmoins, comme les plus fragiles de ces retraités ne sont pas ceux, et de loin, qui ont les plus grosses, le différentiel d’équilibre profitable, comme disent les énarques, n’est pas évident.

    Plus pire que pire.

    Les facho et autres nazillons écolos de service qui appellent à la destruction des 4X4 et pas à celle des cars de CRS ni des berlines de ministres (ni même de leurs propres bagnoles qui polluent aussi même un peu) vont désormais être tout contents.

    En effet, pour faire voir que si l’on veut on peut, les Japonais de Toyota ont fabriqué quoi ?

    On vous le donne Emile !

    un 4X4….PROPRE !

    Voui voui !

    Lexus 400 et quelque chose il s’appelle.

    Il timbre plus de deux tonnes sur la bascule et près de 300 CV à l’applaudimètre.

    Et seulement 195 et quelques grammes de CO2 au kilomètre.

    Pas beau çà ?

    Seul ombre au tableau.

    Mais de taille.

    Il coûte dans les 60.000 euros !

    40 briques juste pour le plaisir de ne pas polluer.

    Ce qui fait, au bas mot, 20 briques de matériaux tirés de l’environnement, avec tous les dégâts que l’on imagine.

    Mais qui permettra, lui et ses petits et grands frères qui vont aussi arriver sur le marché, de faire une bien belle conscience aux riches et super riches qui seront les seuls à pouvoir dire qui eux, au moins, ils ne polluent pas.

    Et de faire en sorte que les bagarres contre les pollueurs se passent désormais entre pauvres. Plus propre ça aussi non ?

    Cela a, d’ailleurs, déjà pas mal commencé.

    On le voit avec le haro sur ceux-ci, haro sur ceux-là. Bref, diviser pour régner vous connaissez ?

    Avec l’appui de tous les forcenés qui s’obstinent à ne pas vouloir voir UNE, que les vrais responsables de la pollution ne seront jamais, jamais, inquiétés.

    DEUX, que, de toutes manières, nous sommes cuits aux patates.

    FOUS et TU, égale FOUTUS !

    Est-ce à dire qu’il ne faut rien faire ?

    Surtout pas !

    Toutefois, le sauvetage de la planète commence par d’autres choses plus infimes, moins spectaculaires…moins populaires aussi...et moins faciles !

    Exemples : aider nos semblables à s’éclairer mieux l’intérieur de la cervelle en les informant, personnellement, tout simplement.

    Ne jamais cesser de nous informer nous-mêmes, sur tous les sujets, pour ne pas risquer de ne garder que nos idées, vous savez, celles dont on n’aime pas changer.

    Savoir aussi la fermer pour éviter de dire des âneries.

    Ecouter aussi.

    Si on a deux oreille et une bouche c’est parce qu’il faut écouter deux fois plus qu’on ne parle.

    Et puis, tout plein de mesures très simples : ne plus fumer, moins manger, s’habituer à ne boire que de la flotte.

    Pourquoi?

    Vous avez trouvé mieux pour se désaltérer ?

    Privilégier fruits et légumes et crus si possible : économies d’énergie non ?

    Les bons petits plats, même bios, bien mitonnés, c’est énergivore vous n’imaginez pas !

    Et puis apprendre à dire, tout le temps, ces petites choses qui améliorent tellement les relations entre les hommes : bonjour, au revoir, s’il vous plaît, merci, pardon, je vous en prie…

    Avec les coups de main, et pas de pieds, qui vont avec.

    On est loin du sauvetage de la planète ?.

    Parce que vous croyez que la vraie maladie dont souffre la Terre est une question technique, voire de techniques ?

    Nous on croyait que ce qui manquait à l’Humanité c’était non pas l’intelligence (de ça on en a à revendre) mais l’amour mutuel, tout simplement.

    Les grands mots pour soigner les grands maux ?

    On y croit toujours : des crânes d’œuf, tous les régimes, toutes les dictatures, de l’élite du prolétariat ou du capital, en avaient et en ont plein leurs bureaux.

    Par contre, des braves gens prêts à tout donner, à se sacrifier pour leurs semblables, à privilégier les valeurs non marchandes, ceux là, bigre, on les cherche.

    Et on va en trouver de moins en moins.

    Des élites prêtes au bénévolat, des dirigeants soucieux des intérêts de leurs administrés comme des leurs propres, on cherche…

    De quoi souffre-t-elle l’Humanité ?

    Du réchauffement de la planète ou du refroidissement des sentiments?

    Ce mal là, pas possible de le guérir

    Totalement du moins.

    Parce que plus les choses iront mal, plus l’égoïsme (on l’appellera instinct de survie) dominera.

    C’est pour cela qu’on est foutus.

  • 4X4: y en a marre!

    Depuis quelques années - seulement - nombre d’individus se sont pris d’une haine toute maniaque à l’égard des 4X4 et de ce qu’ils représentent : pollution, encombrement, prix exorbitant, mais, aussi - pourquoi le cacher - de ‘’beaux’’ objets dont ils auraient peut-être passablement envie, voire peut-être aussi des moyens qui vont avec, c’est-à-dire la supposée richesse.
    A ce stade du papier, ne le balancez pas à la poubelle.
    En netsabir ne zappez pas.
    Car ce n’est pas une ode au 4X4 que j’entame ici, mais un questionnement que je propose et une invite à une saine réflexion, avec correctifs à l’appui, toutes choses qui semblent manquer à certains jugements.
    Ceci pour dire que l’avalanche d’insultes grossières et d’épithètes imbéciles qui s’abattent sur les véhicules de ce genre et sur leurs conducteurs, mérite, pour le moins, d’être corrigée.
    Primo, question pollution, les 4X4 étant, généralement, propulsés par des moteurs Diesel, polluent, à cylindrée égale, 50% de moins que les véhicules à essence. Voir, entres autres, du côté des berlines équipant les ministère, les entreprises petites et grandes et les administrations, y compris celles de nombre de mairies dont les plus écologiques.
    Vérifiez auprès de tous les concessionnaires : les taux d’émission de CO2 sont généralement mentionnés dans les pages des catalogues de modèles.
    Chez les constructeurs relativement honnêtes s’entend.
    Ou allez sur le site VCAcarfueldata.uk.org et vous verrez.
    Deusio, pour ce qui est de l’encombrement, il est égal à celui de n’importe quelle berline moyenne (autour de 4,60 X 1,75 m), voire moindre.
    Quant au prix, chacun, est-il nécessaire de la préciser, fait de ses sous ce qu’il veut non ?
    Que ce soit pour un 4X4 à 60.000 euros ou pour 4 bâtonnets d’encens (très polluants d’ailleurs) à 0 euro 50.
    Néanmoins vous pouvez aisément, en vous adressant à un mandataire, en acquérir un pour le même prix qu’une berline de moyenne catégorie.
    J’en ai fait l’expérience.
    Eh oui ! J’ai un 4X4.
    Oh pas une merveille, un Nissan Terrano, à la mécanique éprouvée depuis douze ans. La robustesse ça compte non pour la longévité ?
    Et vous savez quoi ? Un : je ne l’ai acheté qu’après être certain qu’il avait droit à la fameuse - et curieusement oubliée tiens pourquoi ? - pastille verte. Laquelle me rassurait quant aux taux de pollution qui était accepté comme honnête par toutes les autorités, environnementales et européennes comprises.
    Deux : je l’ai acheté à un prix défiant toute concurrence.
    En France bien sûr, puisque le mandataire vendait l’engin, tenez-vous bien, près de 70.000 Frs de moins qu’en France, soit environ 150.000 Frs ‘’d’avant’’, c’est-à-dire le prix d’un break Peugeot, ou Citroën, en fait de ces engins que personne de sensé n’oserait qualifier de scandaleux.
    Alors ?
    En plus, je l’ai acheté car je le savais capable de vivre une bonne dizaine d’années, voire plus.
    Tout simplement parce que à mon âge et avec mes moyens, il m’est impossible de changer de véhicule tous les 5 ans...et que j’ai besoin d’une grande capacité de charge vu que je me chauffe…au bois…et que je n’ai pas la place pour remiser une remorque.
    Ecolo non ?
    Certes, les grosses berlines allemandes sont solides - enfin généralement -, et génèrent encore moins de CO2, mais à des prix qui ne sont pas les miens.
    Alors, lorsque j’entends, ou que je lis sur le Net, des excités du bocal qui incitent carrément leurs semblables à crever les pneus des 4X4, voire à s’en prendre à leurs conducteurs, je souhaite vivement que la police leur tombe sur le râble et que la justice leur en mette plein la tête.
    Les pousse-au-crime et les va-t-en-guerre sont de la même espèce : tout dans la haine rien dans la cervelle.
    Et tant qu’à lutter contre la pollution, mieux vaudrait ne pas se tromper d’ennemi.
    Crier haro sur les 4X4 est aussi logique que brûler les voitures dans les cités.
    Il serait plus courageux, en fait moins lâche et nettement plus difficile de s’attaquer aux véhicules de police ou ministériels mais là, n’est-ce pas, les intrépides se font rares!
    (Ce n’est évidemment pas un conseil mais un simple constat.)
    Car le jour où l’on verra les cohortes de véhicules français et européens officiels ainsi que des hautes et basses administrations, remplacés par des deuches ou des 4L, ou, de nos jours, par de simples C4 ou 307, voire autre chose du même calibre, ce sera le moment de suivre l’exemple.
    Mais après, tout de même, que les stations de distribution de GN ou de GPL se soient convenablement multipliées.
    Et puis j’attends de ces pétroleurs sans risques, qu’ils prennent leur vélo et aillent véhiculer tous les plus ou moins vieux et handicapés non reconnus qui ne peuvent faire leurs courses autrement qu’en bagnoles, vu que leurs élus sont infoutus de mettre en place des réseaux de transports publics.
    Et qu’ils aillent installer chez les miséreux africains, des pompes à eau solaires.
    Mais en 4X4 bien sûr, because pas de routes carrossables.
    Et en 4X4 à pédales, à cause de la pollution.
    D’accord ?
    Et puis entre leurs 150 g/km de CO2 et mes 220 g/km de CO2, vous voyez la différence vous ?
    Certes, il y en a une mais on peut se serrer la main non ?
    Nous faisons bien tous partie de la secte la plus dangereuse du monde.
    Celle qui tue à chaque seconde.
    Celle des pollueurs.
    Tout ceci ne veut pas dire qu’il ne faille pas tout faire pour limiter les dégâts dès à présent.
    Penser global et agir local est évident.
    Néanmoins, classer les gens et les choses dans des tiroirs avec des étiquettes dessus revient à utiliser les moyens nazis et fascistes qui cataloguaient et classaient à tour de bras.
    Facile basile.
    Ca évite de réfléchir, de chercher à comprendre.
    Mais c’est ainsi que démarrent toutes les dictatures.
    C’est ce qu’on appelle la force des imbéciles.
    Ouf.
    Maintenant je vais faire faire ma vidange.
    Tous les 5.000 et pas tous les 20.000 comme le préconise le constructeur.
    C’est cher mais un moteur propre pollue moins.
    Tiens c’est curieux !
    J’ai compris ça il y a 35 ans. Quand je me suis, en même temps, arrêté de fumer et d’enfumer mes semblables.
    Et que j’ai stoppé le picrate. Et le café pas cher qui fait crever les petits producteurs. Et les fritures qui emboucanent le voisinage.
    Et que j’ai, accessoirement, créé un magasin que j’avais appelé ‘’Aux aliments biologiques naturels’’.
    Que j’ai été contraint de laisser tomber trois ans après, quand je me suis rendu compte que mon associé écolo (à l’époque cette espèce ne courait pas les rues) alimentait nos étalages avec des fruits et légumes pas très clairs une fois que j’avais le dos tourné. (1)
    J’y ai perdu jusqu’à ma culotte.
    Et une partie de ma vie.
    Exit ma bonne femme (ex) qui me trouvait cinglé et estimait - avec la belle doche bien sûr - dégradant de ‘’faire dans l’épicerie’’.
    Et exit aussi une partie de ma carrière vu que mon rédac-chef et le patron de mon canard m’ont ‘’puni de me faire de la pub’’ parce que je croyais à la bio et que j’avais le front de proposer des papiers là-dessus.
    Voilà. C’était juste pour préciser.
    J’ai encore plein de détails affriolants si vous voulez.
    Je vais demander à Lelouch de faire un truc là-dessus.
    Titre : ‘’Guignols et écolos : mode d’emploi’’.
    Ce sera un long, long, long métrage.

    (1) Depuis j’ai appris à faire le tri parmi les écolos. Les vrais (les moins nombreux), les abrutis, les politiques, les en peau de lapin (c’est souvent les mêmes) et les plus courants, les magouilleurs.