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  • J.F.KENNEDY :LA GRANDE (DES)ILLUSION

     

    Depuis l’été dernier, l’on ne s’est guère arrêtés de commémorer.

    Pêle-mêle, 14-18, Oradour sur Glane, les Twin towers, l’affaire Mehra, les Français d’Algérie, enfin, il y a quelques jours, la mort de JFK. La mémoire qui s’émousse a grand besoin de commémorer.

    JFK, il y a 50 ans.

    Je me souviens des réactions à chaud, immédiates, démesurées : les Américains étaient tétanisés. C’était le chef de famille qui disparaissait.

    L’Amérique était effondrée, mais aussi l’Europe, le monde entier, mais les Etats-Unis surtout, et pour cause.

    Pour une grande part de la population, John Kennedy était plus qu’un président.

    La jeunesse l’avait quasi divinisé. L’esprit de la (vraie ?) démocratie était foulé au pied.

    Les jeunes et surtout peut-être, les africains américains pour qui il représentait les droits civiques et le droit de vote, enfin, un siècle après la soi disant disparition de la discrimination, en fait de l’esclavage.

    Aujourd’hui, un demi-siècle plus tard, sa mort ne cesse d’être évoquée depuis quelques jours et à tout instant dans les journaux, une infinité de livres, à la radio, et surtout à télévision. Ad nauseam à la fin, diront certains..

    Sa mort évoquée mais, surtout, les circonstances bizarres, c’est peu dire, qui l’ont entourée, rendues plus bizarres encore du fait des invraisemblances relevées dans le rapport final de la fameuse commission d’enquête.

     

    Pour tout le monde, désormais, ces invraisemblances, défiant on ne peut plus le bon sens, font partie d’un des plus grands mystères de la vie politique du XX° siècle.

    Grand mystère, c’est du moins l’expression la plus claire, si l’on peut dire, que les médias utilisent généralement en conclusion et au gré d’enquêtes, d’éditos et de bouquins prétendant ‘’’lever le voile’’ sur les non-dits de cet évènement unique en son genre…n’était l’assassinat du président Lincoln un siècle avant la mort de JFK.

    EXPLICATION DANS 20 ANS ?

    Truffé d’invraisemblances, de mensonges, de faux semblants et d’oublis miraculeux, le rapport de la commission Warren, sur la mort de Kennedy ne pourra, paraît-il, être totalement accessible au public, sinon clairement expliqué, que dans une vingtaine d’années au mieux.

    Le temps pour tous les protagonistes et, peut-être bien, les vrais bénéficiaires sinon directement  commanditaires de l’assassinat et leurs amis, de disparaître d’une manière ou d’une autre, ‘’effacés’’, mystérieusement aussi, comme une bonne partie des témoins de l’époque, ou morts de leur ‘’belle’’ mort ?

    Avant quoi, la mort du président de la première et plus grande puissance mondiale qu’il y ait jamais eu sur la Terre, restera inexpliquée.

    Voire…

    En effet, en toute modestie et en dépit du fait que nous ne sachions ici strictement rien d’autre que ce que les médias nous en ont raconté, nous ne pouvons pas nous empêcher de penser qu’il est tout de même invraisemblable que le président du plus  fantastique empire ayant jamais régné sur le monde, ait été assassiné par un timbré falot, tireur fabuleux il est vrai ( ?), qui, tout seul comme un grand a fait vaciller la planète, et que cela n’ait bénéficié à…personne d’autres qu’à lui seul.

    CHERCHEZ LE(S) PROFITEUR(S)

    Car la police américaine, comme toutes les polices du monde, n’est pas constituée

    de ballots, de niais et, de plus, dispose des moyens les plus extraordinaires en matière d’investigations.

    Elle est aussi dotée, comme toutes les polices du monde d’un  solide bon sens et le met en œuvre, dès le départ d’une affaire de ce genre en se posant en premier l’éternelle question : ‘’A qui le crime profite?’’.

    Eh oui, qui dit vol, mensonge ou crime, pousse, d’évidence, à commencer par chercher et/ou à suspecter, en premier lieu, celui qui tire profit du méfait,LE, ou les, profiteur(s).

    Un seul tireur, pour une raison totalement inconnue, nous paraissant carrément irréaliste, deux ou trois commanditaires, voire quelques uns de plus, pensez-vous que ce serait tout à fait exagéré ?

    En effet, un énervé, un ‘’vengeur’’, un redresseur de torts, un illuminé tuant le président des États-Unis pour la seule ‘’satisfaction’’ de le voir disparaître pour, la simple raison qu’il le hait - et encore.. -, paraît un peu court tout de même.

    D’ailleurs, les bénéficiaires, possibles voire vraisemblables de cet assassinat, n’ont-ils pas été largement, au moins sous entendus sinon franchement évoqués par tous les medias ?

    La Mafia qui aurait ‘’aidé’’ à l’élection de Kennedy et n’aurait pas été payée de retour ?

    Ou, peut-être, les Cubains de Floride qui se seraient vengés du désastre de la baie des Cochons…voire, dans l’autre sens, Castro lui-même, désireux de rendre aux USA la monnaie de leur pièce après cette aventure guerrière, même foireuse ?

    Ou encore, les Russes, tout simplement, bien que ce genre de méfaits était et reste faiblement plausible, vu la conjoncture de l’époque certes, mais absolument contraire aux règles régissant les relations entre chefs d’états fussent-ils fâchés à mort comme ils l’ont été un temps ?

    Voire, enfin, le complexe militaro-industriel dont Eisenhower conseillait vivement aux Américains de se défier et qui brûlait d’accroître son pouvoir dans les affaires et la politique américaines?

    Et pourquoi pas, la CIA ou/et le FBI dont JFK et surtout Bob Kennedy voulaient limiter les pouvoirs …et les agissements de plus en plus menaçants, y compris pour l’exécutif lui-même en se substituant au leadership fonctionnel du président ?

    RENTABLE FONDS DE COMMERCE

    Les bénéficiaires possibles sont nombreux mais dire qui ils sont vraiment....

    D’autant que tous ces éventuels suspects auraient pu joindre leurs moyens pour compromettre le plus de responsables possibles en vue de brouiller les pistes,

    Reste, pour le moment, complètement illusoire…et absolument inutile, une foule de suppositions mais rien de précis, rien de satisfaisant, rien de clair en tous cas.

    La mort de Kennedy va donc continuer à alimenter les discussions, débats, enquêtes, éditoriaux, livres et autres ouvrages qui, s’ils n’apporteront pas grand-chose de plus à l’explication du…mystère, n’en rempliront pas moins l’escarcelle de tous les bavasseux et scribouillards pour qui l’énigme Kennedy va constituer, encore trente ans au moins, un très confortable fonds de commerce.

    Tout cela nous incite à croire que si le gouvernement mais aussi les gouvernements américains successifs, dotés de fantastique moyens, quasi illimités, d’investigation, n’ont pas réussi à trouver le ou les vrais commanditaires, qu'il nous soit permis de penser qu'il serait du dernier improbable et surréaliste, que personne, vraiment personne, ne sache quelque chose...et garde un silence absolu évidemment.

    TU DIS CA A UN CHEVAL DE BOIS…

    Nous, adeptes du complot direz-vous ?

    Vos rigolez non ?

    A qui voulez vous faire croire qu’un système capable de savoir TOUT ce qui se dit et s,écrit sur la planète entière, USA en tête, et cela sur tout le monde, est dans l’incapacité de connaître la vérité sur la mort de son chef suprême ?

    Comme dit souvent mon voisin marseillais qui aime les histoires mais pas qu’on lui en raconte en le prenant pour un âne : ‘’Tu dis ça à un cheval de bois et il te file un coup de pied…’’.

    Alors ? pauvre président et puis fini tout ça?

    Oui et non.

    Oui car cette mort est bien pitoyable qui restera, pour toujours, et comme toutes les morts, une négation de toute humanité dans les relations des hommes entre eux.

    Une veuve, deux orphelins de père.

    Quel avantage supérieur aux résultats qu’aurait pu générer une discussion en cas d’incompréhensions, de dissensions avec des opposants quels qu’ils fussent, aura été obtenu par un minable assassinat ?

    Aucun.

    Et puis, très sincèrement, quand bien même la Vérité finirait par faire surface, et par causer une pagaille noire où plus personne n'y comprendrait goutte, qu'est-ce que la société, les citoyens, l'idée qu'ils se font de la justice pourraient bien y gagner?

    Pas grand chose en fait. Et  cette vérité là finirait par tomber, très vite, dans les oubliettes de l'Histoire pas très propre du genre humain, sans autres bénéfices que ceux engrangés par les medias, toujours eux, et tous ceux qui font commerce de l'information, ou, plutôt, de la désinformation.

    Que restera-t-il de cet assassinat qui, selon, on le suppose, leurs auteurs, aurait pu améliorer la marche en avant des Etats-Unis, ou alors était-il sans ''intérêt(s)'' aucun ?

    Rien, sinon que les USA ont continué, comme avant, à dominer la planète.

    Peut-être, d’ailleurs, est-ce cette domination, ce pouvoir sans limites, pour le moment, que les commanditaires voulaient pérenniser, et/ou s’accaparer.

    Illusion.

    On voit aujourd’hui la dégringolade annoncée de la domination étasunienne au profit des puissances émergentes Chine en tête.

    Illusion aussi, la grande, celle qu’un président, fut-il américain et fut-il plein de promesses d’un monde meilleur parce que démocratique, ah le joli mot !, allait réussir à atteindre ce but.

    Tout ça (pour ça) restera pour toujours un rêve, a dream comme l’a dit Martin Luther King.

    Et puis, illusion enfin, ce président lui-même, qu’on a paré de toutes les vertus de bon mari et de bon père, les medias nous l'ont révélé, après sa mort, comme ayant été un pas très joli cavaleur, trompant sa femme avec des maîtresses, qu’il partageait avec son frère, connu lui pour sa vertueuse catholicité.

    Les deux belles-sœurs en auront vu de drôles ?

    Et les enfants auront souffert de blessures irréparables de ces exemples pas très nets ?

    Il y a de quoi le penser.

    Mais bon, les responsables de ce joli conte mal fini, ne sont-ils pas aussi tous ceux qui, leur faisant confiance (illusion ?), ont élu ces hommes qui, soit victimes, soit coupables, ne resteront que des acteurs, plus ou moins crédibles, de la pitoyable Comédie Humaine, américaine mais pas seulement.

    La nôtre, et celles du monde entier, lui rassemblent trait pour trait : même promesses rarement tenues, mêmes vertus affichées, démenties par des scandales un jour révélés, mêmes abus, mêmes reniements, mêmes mensonges, mêmes profiteurs, mêmes enrichissements : mêmes méthodes, mêmes issues.

    Et la démocratie là-dedans ?

    Pour quels résultats ?

    La démocratie rend vrais, libres, égaux et fraternels ?

    Certes, certes mais certains plus que d’autres.

    Maurice CARON

     

  • 14-18 : UNE GUERRE DE(S) RELIGION(S)

     11 novembre, dépôts de gerbe, discours patriotiques, souvenirs- souvenirs, épanchements médiatiques, livres historiques, compilations diverses et nombreuses : la commémoration de l’évènement a pour objectif premier et entre autres, de contribuer à une pacification des rapports entre les peuples.

    Personne ne s’en plaindra et c’est un bien.

    Néanmoins, force est de constater que, en partie tout de même, un des buts, pas avoué sinon bien avouable, a été, plus encore que les années précédentes, de profiter de l’occasion pour monter quelques opérations pas mal lucratives.

    En effet, le souvenir de la mort de près de 15 millions d’être humains (SOS statistiques!) a permis de vendre à tour de bras livres, émissions radio et télévisées, débats et conférences en tous genres, vente de souvenirs d’époque ou réinventés (Made in China ?(1) )

    Excellente occasion donc, pour un certain nombre, pour vendre leur soupe, mais aussi, tout de même, pour quelques meneurs d’opinion, de surfer sur l’intérêt des populations pour ce souvenir du plus grand massacre et de la plus grande honte d’une Histoire moderne qui n’en a pas vraiment été avare.

    Mais c’est la tradition : tout cadre, tout est bien réglé, tout a fonctionné conformément au plan mis en place par toutes les civilisations, la nôtre n’est pas en reste, consistant à discuter après s’être étripés mais surtout pas avant : il en va de…l’honneur et de la grandeur de la nation voyons...

    COMMENT OUI, MAIS POURQUOI ?

    Tout va bien donc ?

    Pas tout à fait.

    La télévision, en particulier, est extrêmement riche d’émissions retraçant les massacres et, en général, dans le détail.

    Petit ennui : beaucoup de réponses aux comment, mais pas grand-chose répondant aux pourquoi.

    Certes, on picore par-ci par-là des explications, d’une docte complexité du genre, problèmes économiques, besoin d’expansion, conflits historiques, incidents frontaliers, bref, sauf pour s’efforcer de vendre leurs bouquins, même les historiens ne sont pas tous d’accord sur les causes profondes de tous les conflits modernes et de celui-ci en particulier.

    Aussi nous sommes nous dit qu’il ne serait pas inutile de rappeler qu’il eut été extrêmement simple, hypothèse d’école, d’éviter ces guerres dont aujourd’hui on tente, misérablement, d’expliquer quelques causes plus ou moins vraies.

    Comment donc, tenter d’éviter la guerre de 14-18, voire celle de 39-45 qui ne le cède en rien à la première au plan de l’effroyable ?

    Sinon de ne pas la faire mais, au moins, de tout essayer de manière qu’aucune consciences, les plus hautes avant tout, ne soit frustrée de ne pas avoir tout tenté ?

    Souvenons-nous, les personnes de ma génération le savent bien : mes parents et surtout arrière grands parents nous ont tous parlé de ces sinistres évènements et du recours à la religion censée les aider à supporter l’insupportable.

    Tous ceux qui ont souffert de cette guerre ont le souvenir du ‘’réconfort’’ qu’ils trouvaient auprès des évêques, des prêtres et des aumôniers chargés de maintenir le ‘’moral des troupes’’ et de leurs familles….du pape lui-même dont, plus que de tout autre, tous espéraient un geste ou des paroles condamnant la tuerie autrement que de manière incantatoire.

    Car, de ce côté-là, les paroles des religieux n’ont pas manqué.

    Bien obligés, tout de même ces braves gens : les religions, qu’ils étaient et sont chargés d’enseigner à leurs ouailles, ne les contraignaient-elles pas à faire preuve de compassion, d’amour, envers ceux qui souffrent ?

    VOUS AVEZ DIT AMOUR ?

    Amour ?

    Le grand mot est lâché.

    Gros mot dirais-je, tant ce mot-là a été absent de ce ‘’jour du souvenir du 11 novembre’’2013.

    Comme si nos commentateurs patentés craignaient d’amener le problème là où, dit-on, sommeille la Vérité, tout au fond du puits dont, semble-t-il, personne n’a jugé bon de le faire sortir.

    Car, pour en revenir à l’attitude des religions et de leurs représentants, les nations en guerre étaient, en énorme majorité, soit catholiques, soit protestantes, soit orthodoxes mais aussi animistes, bouddhistes, musulmanes et tant d’autres encore.

    Et tous les religieux, représentants de ces multiples cultes, étaient, eux, réunis, certes dans l’ardente obligation de se montrer plein de compassion mais, surtout, de donner l’exemple en matière de promotion de la paix entre les hommes.

    En foi de quoi, tous les responsables religieux, sans distinction aucune, ont accompagné les troupes au front, leur ont assuré que Dieu était avec eux (2) qu’en cas de mort ils seraient illico envoyés dans leurs paradis respectifs mais ont estimé vital de bénir à tour de bras fusils, canons, et, pourquoi pas, les gaz de combat eux-mêmes puisqu’il s’agissait bien d’armes destinées à faire gagner un camp, celui des gentils, contre l’autre, celui des méchants, des mécréants..

    Même les gaz, oui. Ces horreurs insidieuses que les belligérants se sont mutuellement soufflées dans les bronches, quitte, quelques années plus tard, à les interdire internationalement à Genève, tellement bien d’ailleurs qu’elles ont allègrement resservi pour la solution finale et, aujourd’hui encore, dans le conflit moyen oriental. Ils avaient dit ‘’Plus jamais çà’’ ?

    ENTRE CROYANTS

    Conclusion de l’affaire ?

    Ces religieux, du plus petit et surtout jusqu’au plus grand, chargés de promouvoir la paix, de s’évertuer  à la construire cette paix, de refuser la guerre, de la dénoncer et de la condamner ainsi que ceux qui acceptaient de la faire (et surtout de la faire faire )(3) et de tuer leurs semblables, qu’ont-ils fait ?

    Tout en prêchant Dieu, Jésus-Christ et tous les saints, ils ont fait très exactement le contraire des valeurs de paix et d’amour cités dans les évangiles qu’ils étaient chargés -mission ‘’divine’’- de diffuser, de faire connaître, de donner en exemple.

    Invoquant sans cesse la parole de Dieu qu’ils disaient avoir choisi pour maître, ils n’ont cessé de la trahir.

    14-18 et 39-45 ? Pire qu’une guerre de religions : ce furent deux guerres des religions entre elles et même en interne, entre ‘’’croyants’’(4)d’un même culte.

    Quid de tout cela dans sur les ondes de nos radios favorites de nos si belles chaînes de télévision, dans nos si objectifs livres d’Histoire, voire, sur les lèvres de nos dirigeants de tout poil ?

    Rien ou presque, sinon de convenu, de dit et redit depuis…bientôt un siècle.

    Tiens, à ce propos, d’ailleurs, juste une petite dernière entendue sur France Info.

    La ‘’journaliste’’ qui a ouvert la session du 10h-13h (la meilleure car plus d’audience et on peut se lever plus tard que les soutiers des journaux du 6-9h ou du 8-10h….)

    En démarrant le journal, elle nous a appris  fièrement: ‘’Aujourd’hui jour de la commémoration du centenaire de l’armistice de la guerre de 14-18’’…

    Cette distinguée informatrice, pas très au courant de l’Histoire de France (passée) que l’on n’enseigne pas, il est vrai, dans les écoles de journalisme, n’a pas l’air de savoir que la commémoration du centenaire se fait cent ans après l’évènement et que, donc, celle-là se fera en…2018, évidemment, Le 11 novembre c’est sûr.

    Mais bof !

    C’est ainsi que l’Histoire est grande…comme disait, presque, le très regretté Alexandre Vialatte.

    Donc, rendez-vous le 11 novembre prochain.

    Cela permettra à notre distinguée inconnue, de ne pas faire d’erreur.

    Mais, puisque les ‘’journalistes’’ ne sauraient se tromper, cette dame pourra toujours prétendre qu’en fait, il ne s’agit pas du tout d’une bourde mais bien d’une annonce faite…cinq ans avant tout le monde.

    Un scoop quoi…

    Maurice CARON

     

    (1)Meuh nooon, je blagueue…ou presque.

    (2) Pour les Anglais la devise était God save the King, les Allemands portaient Got mit uns sur leur ceinturon, les Américains avaient pour devise In God we trust et la France, la hiérarchie lui serinaient à longueur de prêches que notre pays était la fille aînée de l’Eglise.

    (3) Clemenceau, le (Le père la Victoire)’, a dit : ‘’Les guerres sont voulues par ceux qui ne les font pas et faites par ceux qui ne les veulent pas.’’

    (4)…croyants mais aussi pratiquants d’ailleurs, à ces époques où les gens l’étaient infiniment plus qu’aujourd’hui…et puis même, par…obligation. Sur les champs de bataille : un poilu disait en se souvenant de l’enfer qu’il vivait lorsque les tirs d’artillerie se déchaînaient‘’Quand les obus vous dégringolent sur la tête, personne n’est incroyant…’’