Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Vous avez dit séparation?

1905-2005. Il y a cent ans que le petit père Combes, aidé de pas mal de ''mangeurs de curés'' a séparé l'église de l'Etat.
Voire.
Dans une enquête parue durant le premier trimestre 2002, le journal ''Le Monde'' nous apprenait que l'Etat, mais oui, subventionnait l'Eglise catholique (mais oui bis) à hauteur de...12% de nos impôts.
Sans, bien sûr, nous demander notre avis et ce, par le biais des aides diverses et variées aux myriades d'associations confessionnelles et, fort simplement, en gérant tous les édifices du culte qui lui appartiennent depuis lors.
Alors?
Rien sinon que la séparation n'est qu'un leurre et que si nous étions allemands, au moins, nous pourrions ne plus payer d'impôts ''des religions'' en adressant, simplement, une lettre de ''démission'' à la hiérarchie écclésiale.
C'est tout.
La religion catholique est toujours religion d'Etat, contre le gré des citoyens, y compris des athées et de tous les autres fidèles d'autres cultes. D'autant plus curieux que l'Etat français, dit-on, ne reconnaît officiellement aucun culte.
Au fait, apeurer les foules en agitant le spectre des sectes est bien commode.
Pourtant, la religion catholique n'est-elle pas une secte qui a fort bien réussi?

Les commentaires sont fermés.