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Homoparentalité: une question...

Eh oh !

N’attendez pas de nous que nous y allions de nos habituels commentaires ironiques, moqueurs vis-à-vis d’un mode de vie, désormais d’une véritable institution, qu’il est interdit de critiquer sous peine de se retrouver en correctionnelle.

Pas fous hein? 

Nous ne suivrons pas, non plus, les traces de cet élu qui, plutôt inconnu, semble avoir trouvé, à cette occasion, le possibilité d’accéder enfin à son quart d’heure de gloire ou de gloriole.

Notre propos n’est pas de démolir mais simplement de questionner.

Pour comprendre, construire en quelque sorte.

Pour réfléchir quelque peu sur les éléments de réponses à donner aux enfants, puisque c’est d’eux qu'il s’agit et qui se trouvent être de véritables machines à questionner durant au moins 5 à 10 de leurs jeunes années.

Ce qui n’est pas rien. Croyez moi, j’en ai eu trois et ça va comme ça.

Or donc, les premières graves, très graves questions auxquelles les parents sont sommés, illico, de répondre, sont de l’ordre très philosophique de la reproduction.

Par conséquent, comment donc expliquer aux mouflets aux grands yeux éblouis, le mystère de la petite graine nouveau ou  nouvelle mode?

Hmmm ?

Avant, on pouvait dire, montrer, avec soin évidemment, ce qui se passait dans le règne animal.

On puisait dans les exemples donnés par les insectes, les fleurs, tout plein de choses jolies, illustratives et pas trop explicites pour ne pas choquer.

Y compris, dans le genre un chouia bébête, de la rose et du chou-fleur, de l’abeille et de la cigogne.

Désormais, comment faire ?

Adoption ? Donc principes quasi philosophiques à expliquer ? Dur dur.

Naissance assistée ? In vitro ? In vivo ? Mère porteuse ? Insémination artificielle de toutes manières ? Notions de biologie, de chimie, de génétique ? Encore plus dur. Hors d’âge pour tout dire.

Et si l’on s’en tenait à de simples notions de Nature, de lois bêtement naturelles dont nous sommes tous imprégnés sui generis, surtout dans la petite enfance ?

FAMILLE

Pour un enfant, la famille c’est papa, maman et moi l’enfant, point.

Désormais, comment faire comprendre que ce peut être maman maman, papa papa, voire papamaman et mamanpapa.

Plus dur que dur non ?

D’autant que ces notions-là vont de pair, dans la vie de tous les jours, avec monsieur et madame.

Et qu’il va falloir, aussi, tout faire coller ensemble.

L'indivieul, le colectif, le culturel, le naturel, le choisi, l'accepté, le bien ou mal vu selon le milieu, l'environnement et l'époque

Si possible de manière logique, naturelle pour dire le mot.

D’autant que pour faire entrer tout ça dans le cadre de l’Environnement végétal et animal planétaire, construit lui sur une tout autre logique…

Pffffouououououiii !

Bon !

Si vous avez la solution hein ?

Quant à l’élu susnommé, s’il nous est absolument impossible de le suivre sur le chemin de l’accusation gratuite voire de l’injure, par contre, lorsqu’il a avancé que l’homoparentalité conduisait vers l’extinction de la race, il nous semble bien qu’au plan purement arithmétique, il est très difficile de trouver une faille dans son raisonnement.

En effet, le principe poussé à l’extrême conduit mathématiquement à la disparition de la reproduction naturelle.

Il suffit de compter.

Donc…

Simple affaire de soustraction.

Certes, cela relève du raisonnement poussé à l’absurde.

Mais, dans cette affaire, vu les controverses engendrées et la diversité des avis, on pourrait se demander où cet absurde-là va bien pouvoir se nicher.

De toutes manières, il n’y avait, d’ailleurs, pas lieu d’en faire tout un plat.

Rien à voir avec les caricatures?

Si.

Là aussi, à partir d'une simple question de point de vue, on en arrive aujourd'hui à un véritable casus belli.

La cannonière et les casques bleus qui suivront, c'est pour bientôt? 

 

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