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  • Environnement: FOU-TUS

    Pourquoi?

    Sommes-nous pessimistes ?

    Pire ?

    Défaitistes ?

    Que non.

    Il nous est apparu, néanmoins, compte tenu de quelques constats et personnels, et de nos mandants à travers nos villes respectives, que la lutte contre la dégradation de l’environnement était vouée, à terme, à l’échec.

    Et qu’en fait, le retour ‘’à la lampe à huile’’, argument favori des modernistes à l’encontre des demeurés amoureux de la Nature que nous sommes, était, toutes choses égales par ailleurs, la seule solution envisageable.

    Déjà parce que la seule énergie propre existant sur la Terre était l’énergie…musculaire.

    En effet, pour se reconstituer, elle est seule à ne pas boulotter outre mesure l’environnement vu qu’on n’a qu’un seul estomac et que ce ne sont pas les boulimiques qui vont faire disparaître les réserves alimentaires de la planète.

    Secundo, parce que plus on s’en sert de cette énergie propre, meilleure est la santé.

    Tertio, parce qu’elle ne demande aucun adjuvant, aucun appareil, aucun complément pour être mise en œuvre.

    Ceci dit, nous nous sommes rendus compte que toutes les mesures prises pour sauver la Terre - et que redécouvre Nicolas Hulot et son équipe de super athlètes qui ne se déplacent qu’à pied y compris pour faire Paris Marseille et ne s’habillent qu’en coton payé très cher aux Chinois qui s’enrichissent, - toutes ces mesures donc engendrent, au-to-ma-ti-que-ment des effets pervers que les laudateurs du sauvetage en question évitent soigneusement d’étudier et, évidemment, de diffuser.

    Ainsi dans le très simple.

    Voire le vulgaire.

    Les sacs poubelles.

    Les moins chers sont les moins polluants : dégradables, à peu près, mais moins féroces consommateurs de pétrole que les plus chers, avec liens, fermetures automatiques, voire répondeur pour dire quand ils sont pleins.

    Sauf que…les pas chers sont donc plus fins.

    Ils crèvent une fois sur deux.

    Pour remédier : on les charge moins.

    Donc on en consomme deux fois plus.

    Aïe !

    Ou alors, on entoure le crevé avec un autre sac et le résultat est le même.

    Re-aïe !

    Ou encore, on met le sac dans le container individuel qu’il faudra ensuite laver car le jus d’ordures et de cacas divers aura coulé.

    Donc, dépense supplémentaire de flotte (au jet une vingtaine de litres minimum), perte de temps, bref...erreur de trajectoire.

    Re-re aïe !

    Au fait, puisque nous avons tous, ou presque, des containers individuels dans mon lotissement, nous avons dépensé en argent et en plastique, 50 fois plus qu’au temps des containers collectifs qui réunissaient chacun les déchets d’environ, 20 personnes.

    Because les gens sont des cochons et y jetaient tout en vrac.

    Re-re-re-aïe !

    Là on commence à avoir mal au crâne, pas vous ?

    Autre exemple de mesure qui génère etc etc.

    Les copains d’Hulot nous couinent, ‘’ne vous servez pas de votre clim en voiture’’.

    Résultat si personne ne s’en sert, on supprime des emplois et on, a dépensé de l’argent pour rien...et on va occasionner des dépenses supplémentaires pour que les constructeurs modifient, même un peu, leurs bagnoles.

    Aïe !

    Et si les personnes âgées, demandeuses on se doute pourquoi, de ce rafraîchissement en voiture surtout, ne s’en servent pas, problèmes de santé à brève échéance.

    Re-aïe !

    Quelquefois même…couic !

    Re-re-aïe !

    Avec tout l’argent dépensé pour les obsèques, le transport, l’incinération…

    Re-re-re-aïe !

    Certes, on fera l’économie des retraites à payer comme l’avait si élégamment remarquer un aimable député.

    Néanmoins, comme les plus fragiles de ces retraités ne sont pas ceux, et de loin, qui ont les plus grosses, le différentiel d’équilibre profitable, comme disent les énarques, n’est pas évident.

    Plus pire que pire.

    Les facho et autres nazillons écolos de service qui appellent à la destruction des 4X4 et pas à celle des cars de CRS ni des berlines de ministres (ni même de leurs propres bagnoles qui polluent aussi même un peu) vont désormais être tout contents.

    En effet, pour faire voir que si l’on veut on peut, les Japonais de Toyota ont fabriqué quoi ?

    On vous le donne Emile !

    un 4X4….PROPRE !

    Voui voui !

    Lexus 400 et quelque chose il s’appelle.

    Il timbre plus de deux tonnes sur la bascule et près de 300 CV à l’applaudimètre.

    Et seulement 195 et quelques grammes de CO2 au kilomètre.

    Pas beau çà ?

    Seul ombre au tableau.

    Mais de taille.

    Il coûte dans les 60.000 euros !

    40 briques juste pour le plaisir de ne pas polluer.

    Ce qui fait, au bas mot, 20 briques de matériaux tirés de l’environnement, avec tous les dégâts que l’on imagine.

    Mais qui permettra, lui et ses petits et grands frères qui vont aussi arriver sur le marché, de faire une bien belle conscience aux riches et super riches qui seront les seuls à pouvoir dire qui eux, au moins, ils ne polluent pas.

    Et de faire en sorte que les bagarres contre les pollueurs se passent désormais entre pauvres. Plus propre ça aussi non ?

    Cela a, d’ailleurs, déjà pas mal commencé.

    On le voit avec le haro sur ceux-ci, haro sur ceux-là. Bref, diviser pour régner vous connaissez ?

    Avec l’appui de tous les forcenés qui s’obstinent à ne pas vouloir voir UNE, que les vrais responsables de la pollution ne seront jamais, jamais, inquiétés.

    DEUX, que, de toutes manières, nous sommes cuits aux patates.

    FOUS et TU, égale FOUTUS !

    Est-ce à dire qu’il ne faut rien faire ?

    Surtout pas !

    Toutefois, le sauvetage de la planète commence par d’autres choses plus infimes, moins spectaculaires…moins populaires aussi...et moins faciles !

    Exemples : aider nos semblables à s’éclairer mieux l’intérieur de la cervelle en les informant, personnellement, tout simplement.

    Ne jamais cesser de nous informer nous-mêmes, sur tous les sujets, pour ne pas risquer de ne garder que nos idées, vous savez, celles dont on n’aime pas changer.

    Savoir aussi la fermer pour éviter de dire des âneries.

    Ecouter aussi.

    Si on a deux oreille et une bouche c’est parce qu’il faut écouter deux fois plus qu’on ne parle.

    Et puis, tout plein de mesures très simples : ne plus fumer, moins manger, s’habituer à ne boire que de la flotte.

    Pourquoi?

    Vous avez trouvé mieux pour se désaltérer ?

    Privilégier fruits et légumes et crus si possible : économies d’énergie non ?

    Les bons petits plats, même bios, bien mitonnés, c’est énergivore vous n’imaginez pas !

    Et puis apprendre à dire, tout le temps, ces petites choses qui améliorent tellement les relations entre les hommes : bonjour, au revoir, s’il vous plaît, merci, pardon, je vous en prie…

    Avec les coups de main, et pas de pieds, qui vont avec.

    On est loin du sauvetage de la planète ?.

    Parce que vous croyez que la vraie maladie dont souffre la Terre est une question technique, voire de techniques ?

    Nous on croyait que ce qui manquait à l’Humanité c’était non pas l’intelligence (de ça on en a à revendre) mais l’amour mutuel, tout simplement.

    Les grands mots pour soigner les grands maux ?

    On y croit toujours : des crânes d’œuf, tous les régimes, toutes les dictatures, de l’élite du prolétariat ou du capital, en avaient et en ont plein leurs bureaux.

    Par contre, des braves gens prêts à tout donner, à se sacrifier pour leurs semblables, à privilégier les valeurs non marchandes, ceux là, bigre, on les cherche.

    Et on va en trouver de moins en moins.

    Des élites prêtes au bénévolat, des dirigeants soucieux des intérêts de leurs administrés comme des leurs propres, on cherche…

    De quoi souffre-t-elle l’Humanité ?

    Du réchauffement de la planète ou du refroidissement des sentiments?

    Ce mal là, pas possible de le guérir

    Totalement du moins.

    Parce que plus les choses iront mal, plus l’égoïsme (on l’appellera instinct de survie) dominera.

    C’est pour cela qu’on est foutus.

  • Information, inondation

    Abasourdis !

    Inondés !

    Emberlificotés !

    Clafis d’informations, de paroles, de discours, de promesses (non tenues) et de parlotes aussi diverses que nombreuses et inutiles : voilà ce que nous sommes au siècle, dit-on, de l’information.

    Complètement emmouscaillés !

    Informés ?

    A sens unique oui.

    Etes-vous informés par la télévision à laquelle vous ne pouvez pas répondre ou contre qui rouspéter lorsqu’elle vous abreuve d’insanités ?

    Zapper ?

    Pour aller ailleurs entendre le même discours ? Les mêmes âneries ? Les mêmes propos mi-compote mi-confiture, mi-logorrhée mi-diarrhée verbale, vous offrant le choix entre Charybde et Scylla, ou glorifiant la dernière nouveauté et ressassant les dernières nouvelles sur le récent jumelage de Sodome et Gomorrhe ?

    Comment choisir ?

    Distinguer le vrai du faux là où tout est faux et rien n’est vrai ?

    Ou faux vrai quand ce n’est pas vrai faux ?

    Effets d’annonces, pensée unique, déclarations officielles, communiqués à grands renforts de trompe, politiquement correct dont tout le monde se plaint mais qui plaît à tout le monde, droit à la différence mais bien- pensance moutonnière et raisonnement dans le sens du vent même s’il tourne là où il faut diriger les oreilles.

    Le plus pire du pire, est bien que cela ne semble pas lasser : X millions de téléspectateurs, X millions d’auditeurs, chiffres d’affaires en hausse, parallèlement au prix des minutes de pub et vice-versa.

    Personne ne croit mais tout le monde pratique.

    Les sectes ? Et celle-là de secte, elle ne fait pas des ravages ? La secte des téléspectateurs-auditeurs-lecteurs ? Qui écoute des stupidités, remplacées par des cochonneries, précédées de balourdises et suivies d’insanités…et qui se fait une idée, construit sa vie et ses choix sur les paroles de ces nouveaux évangélistes ?

    Un seul espoir. Ceux qui n’écoutent pas et, plus nombreux, ceux qui zappent.

    Zapper la TV, la radio, les journaux (mais nettement plus cher).

    Mais qui donc inventera la zapette pour changer, à volonté, au-delà de leurs moyens de nous formater, de nous conditionner, tous ceux qui causent dans les postes ou écrivent dans les canards (hélas pas ‘’Enchaîné’’), définitivement aveugles et muets à ce que pourtant tous les humains désirent, et attendent en vain, la vérité ?

    Problème : leurs grandes idées sont comme tous les zèbres qui nous en font part.

    Interchangeables.

     

  • Richesse démocratique

    On y va tout droit on vous dit !

    Ben oui. A la paupérisation de la planète !

    -Comment on y est déjà ?

    -Eh oui, dear. Les statistiques ( qui les fait au fait ?) nous disent qu’il y a de plus en plus de riches…mais que les pauvres sont de plus en plus pauvres, que les classes moyennes disparaissent, certains grimpant dans le compartiment des riches qui sentent bon, la majorité des autres rejoignant, manu militari, le fourgon à bagages, celui des pauvres qui puent la sueur, en attendant de courir derrière le TGV du Progrès..

    -Ca alors ! C’est vrai ce que vous dites.

    -Eh oui. Ainsi, en Espagne, ‘’El Periodico de Catalunya’’, cité par le N° 765 de Courier International nous affirme que c’est bien ce qu’on constate dans ce pays.

    -Eh oh !

    -Si si. C’est affirmé par un super grand économiste très distingué de l’Université de Barcelone. On peut l’innocenter : il s’en inquiète.

    -Oui mais nous, ce qui nous inquiète nous ce sont deux choses.

    Premièrement : que lui s’inquiète de la chose qu’il vient seulement de découvrir.

    Comme si, avec son expérience de super grand d’économiste distingué de l’Université de Barcelone, il lui avait fallu au minimum une trentaine, voire une quarantaine ou une cinquantaine d’années pour s’apercevoir qu’en sortant dans la rue Emuerte La vacca qui longe l’Université de Barcelone, il y avait dans l’Espagne où il vit, bien moins de riches que de pauvres, voire bien plus de pauvres que de riches.

    Deuxièmement : que dans ses cours puis ses recherches personnelles, voire dans ses stages dans d’autres Universités tout aussi prestigieuses, il n’avait pas entendu dire, voire qu’il n’avait pas fini par comprendre que les riches vivaient sur le dos des pauvres mais que, à cette situation, il ne pouvait y avoir de vice-versa.

    Cerise sur le château, les riches qui, à partir des années 1900 et surtout après 1917, ont commencé à avoir la tremblote des prolos mal lavés, ont accepté d’être ‘’vraiment humains et chrétiennement sociaux’’ jusqu’en 1989 environ.

    Et même un peu avant car ils étaient plus au courant que vous et moi du fait que l’Empire du Mal de l’époque, les ROUGES brrr !, n’en avait plus pour longtemps.

    Depuis lors, qu’est-ce que vous croyez qu’ils font les riches?

    Eh bien ils pédalent sec pour rattraper le temps perdu.

    Parce que vous croyiez, vous, que la vie de château (celui de la cerise) allait continuer encore longtemps ?

    Ou qu’on verrait un pays ou deux mettre leur point d’honneur à bravement résister pour faire triompher sinon la liberté, l’égalité et la fraternité républicaines, du moins la charité chrétienne?

    Pour des nations de tradition éponyme, c’eut été opportun non ?

    Voire que quelques états auraient eu à cœur de faire honneur à lezur image de marque qu’ils sont toujours aussi fiers d’afficher ?

    Du genre internationale socialo ou communo ?

    Pour voir on a vu.

    La social démocratie virer à la démocratie chrétienne en Allemagne. Qui va, d’ailleurs, mieux se faire comprendre encore par la grâce de la future chancelière qui cultive les vertus propres à une fille de pasteur qui vient de l’Est avec une certaine rogne à assouvir sur tout ce qui ressemble au socialisme à casquette.

    On a vu, aussi et surtout, le blairisme de gauche, virer au blairisme de droite sans même passer par le blairisme du centre façon autoproclamée troisième voie.

    Du genre voie étroite bien sûr.

    Du même genre, d’ailleurs, que notre socialisme qui n’en était pas un tout en en étant un, sans en avoir toutes les apparences en faisant, on vous jure la main sur la rose, son possible pour les avoir, et que le monde entier nous envie tant ça le fait rigoler.

    On a même vu le communisme le plus planétairement dangereux, le Chinois, continuer à adorer le drapeau rouge jusques et y compris dans des béhèmes climatisées.

    On vous passe toutes les démocraties votées des deux mains, ou des deux pieds au derrière, si belles que ceux qui n’en veulent pas vont se les prendre quand même en pleine tronche puisque Debeuliou et ses pétroliers pétroleurs l’ont décidé.

    Démocraties qui, une fois en place, n’ont rien de plus pressé qui de rejoindre les cohortes de multinationales qui savent si bien gérer les régimes en question. Surtout pour en faire des régimes minceur.

    Démocratie signifie, si vous ne l’aviez  pas compris, gouvernement du peuple pour le peuple.

    A ceci près, puisque les pauvres sont nettement plus nombreux que les riches et qu’en démocratie c’est le plus grand nombre qui gagne, que démocratie veut désormais dire gouvernement des pauvres pour les pauvres.

    Pourquoi vous riez ?

  • J.O: schizo, mégalo, magouillo

    On les aura ?

    On ne les aura pas ?

    Le suspense est terrible.

    La presse entière est en haleine.

    Parce que, affirme-t-elle, la France entière, comme une jeune épouse haletante et en attente d’être honorée, est au bord de la pamoison.

    Les journalistes sont et seront décidément éternellement égaux à eux-mêmes.

    Toujours autoproclamés porte paroles de la        France entière, ils nous diront toujours ce qu’elle est censée vouloir et attendre.

    Or, un  prof de Montpellier, la ville la plus intelligente de France estimons-nous, ce qui n’est d’ailleurs pas difficile mais ça rassure, fait remarquer aux journaleux trompettistes de la renommée annoncée, qu’à Paris, une famille sur huit vit au-dessous du seuil de pauvreté.

    Et qu’avec une dépense de 20 à 30 milliards d’euros prévisible (mais pas annoncée), une municipalité aussi à gauche ferait bien de se regarder dans la glace.

    Nous ne pensons pas, d’ailleurs, que le choix de Paris soit la meilleure solution pour attirer au PS, les voix des exclus en tous genres – et qui ont voté NON pour beaucoup – en vue des élections de 2007.

    Mais l’on doit penser, chez les représentants ‘’du peuple’’, que puisque panem et circenses rime avec promesses…

    Quelques chiffres tout de même.

    Le seul service d’ordre ‘’anti-terroriste’’ a coûté, à Athènes, 1,5 milliards et demi d’euros !

    Et la quasi-totalité des installations olympiques y est là-bas, désormais, inutilisées.

    Kif-kif à Sydney d’ailleurs…

    Mais la dette est là…

    Et engage les porte-monnaie des Grecs et des Australiens, pour une bonne demi-douzaine d’années !

    Bravo les artistes hommes politiques…et journalistes et autres contempteurs des J.O, qui ont poussé à la roue.

    D’ailleurs, au sein de cette hystérie, bien de mise pour conditionner le petit peuple tout heureux de penser à autre chose qu’aux cinq si économiques paniers de la ménagère, des voix s’élèvent tout de même…de l’étranger mais pas de France, pour dire haut et fort qu’à Londres, New York et Madrid, on n’a pas tellement, voire pas du tout, envie, de balancer l’argent des contribuables par les fenêtres, ayant bien d’autres chats à fouetter mais aussi flairant les futures magouilles qui rapporteront toujours aux uns et seront payées ‘’comme d’hab’’ par les autres.

    Magouilles à l’intérieur des Comités Olympiques nationaux et International s’entend.

    Mais, n’est-ce pas, que ne serait-on capables d’accepter, de promouvoir, de donner en exemple, de choyer, puisqu’il s’agit de faire rêver le vulgum.

    Curieusement, les voix en question on ne les retrouve que dans les canards américains, espagnols et anglais dont le n°765 de Courrier International cite de larges extraits.

    Les journaux français sont bien trop occupés à faire monter la mayonnaise.

    En commençant par encenser Singapour. Cette exemplaire cité état où jeter un chewing-gum vous vaut une amende plus que dissuasive et où les coquineries sexuello-culturelles ou culturo-sexuelles, peuvent vous valoir la prison…si vous êtes pris évidemment au sein d’une système qui, l’argent y étant le dieu régnant, en sait quand même très long sur l’art et la manière de faire des lois et de les interpréter.

    Exemple : la bonne conscience, à défaut de conscience, étant le principe moral qui guide les dirigeants de la cité, la religion chinoise y est reine.

    Du genre culte des ancêtres, rites asiato-clinquants, relations d’affaires  familiales et népotismes couvrant le tout, Singapour privilégie SA conception de la religion.

    Et envoie en taule tous les représentants des cultes évidemment ‘’déviants’’, du genre, évangélistes, Témoins de Jéhovah, en fait, de  tous ceux qui prêchent que l’argent ne doit pas être le but principal de la vie des hommes.

    L’argent cloué au pilori dans le temple international du fric ?

    Horreur !

    C’est tout de même cette ville qui a été choisie pour représenter l’endroit l’idéal pour juger qui sera digne de représenter le non moins idéal olympique.

    Vous savez bien, plus haut, plus vite, plus fort ?

    Pour plus honnête et plus propre, on verra plus tard.

    Sauf pour le chewing-gum il est vrai…