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actualités - Page 31

  • Caricatures: et les sectes?

    Encore les caricatures ?

    Au fait, c’est religieux cette histoire non ?

    Bon, pas bon, bonne ou pas, tout le monde clame désormais bien haut qu’il est des choses auxquelles il ne faut pas toucher.

    Et nous en sommes bien d’accord.

    Comme disait Desproges, ‘’On peut se moquer de tout mais pas avec n’importe qui’’.

    Il est des valeurs qui n’ont plus cours et des principes qui ont disparu mais que ceux qui les mettent encore en pratique en ont bien le droit.

    Le modernisme, la mode et ‘’l’évolution’’ de la morale ne sont pas aussi obligatoires que les medias veulent nous les imposer.

    Aussi, il est des choses que le pouvoir des crétins ignore et méprise mais qui n’en ont pas moins le droit à l‘existence.

    C’EST BON COCO !

    Ainsi, parlez à un journaliste, parlé, écrit, télévisé ou dessiné, du sens du sacré, et il vous répondra avec ses pieds.

    Pour la simple raison que nos plumitifs de toutes obédiences sont, tout prosaïquement, achetés par le système qu’ils servent.

    Lequel n’a besoin du sacré que pour vendre son spectacle et ses contes de fée.

    Le sens du sacré c’est, il est vrai, excellent, mais pour célébrer Notre Saint Père Le Pape (n’oubliez pas les majuscules) surtout quand il défuncte, les communions dans les chroniques de villages et les Journées Mondiales de la Jeunesse, subventionnées par l’Europe laïque au niveau d’un million et demi d’euros, dont on ne parle surtout pas.

    De même pour le Bouddhisme. Et tout ce qui est un peu à la fois vaguement religieux et exotique. C’est bon tout ça coco, ça fait vendre.

    Autrement, le sacré, ils s’en foutent…sacrément.

    Cela dit, comme ils sont, tout de même, loin de la Mecque et même des banlieues chaudes, ils peuvent sans trop de risques, se fendre d’une relative unanimité de défense du droit d’expression et d’opinion d’autant plus, et c’est tellement important, que l’opinion, qu’ils fabriquent, est carrément pour.

    Et qu’attiser la trouille, justifiée d’ailleurs, des fondus de Dieu, est très concrète.

    Donc, coco, c’est bon pour le tirage et l’Audimat !

    UN BEMOL

    Néanmoins, pas mal de personnalités, ont, elles aussi, condamné, assez haut et défendu les choses sacrées.

    Ma non troppo tout de même.

    Inquiètes, il est vrai, de la température des banlieues, des relations internationales…et des scores électoraux de l’an prochain, il ne faut rien négliger.

    Ce qui donne, une opinion moyenne, sinon publique du moins de nos élites, favorable à un bémol à la moquerie, à inclure dans les interviewes.

    En oubliant, tout de même et c’est là le problème, de réclamer une même mesure pour le traitement des autres religions. Celles qui se disent chrétiennes entre autres.

    Voire, et pourquoi pas, pour les nouvelles religions, celles que l’on appelle du si commode nom de sssectes.

    Commode en effet l’appellation.

    Fort utile à ceux qui sont en mal d’arguments et préfèrent mettre des étiquettes plutôt que de se fatiguer à chercher à savoir.

    Comme cet évêque à qui l’on reprochait de se servir largement du rôti qui trônait sur la table de son hôte un vendredi, et qui n’hésita pas à user de son pouvoir miraculeux, in peto, en baptisant le rôti poisson…

    Il suffit d’appeler sectes, tout ce qui n'est pas religions, même si c'est religieux.

    Si l'Etat, laïque, ne reconnaît pas votre groupe comme une religion, vous êtes une secte.

    Avec toute l'ignominie qui est attachée au terme, autant auprès de certains parlementaires que des medias qui suivent...ou précèdent.

    Fastoche non?

    En oubliant au passage que ce n’est pas aux députés, laïques par essence, de définir ce qui est ou n’est pas une religion.

    Et moins encore aux Renseignements Généraux créés pour enquêter sur les secrets et détaillés dérapages graveleux, magouillards, financiers et...politiques.

    Foprts de ces précieux ''renseignements'', les parlementaires, laïques, mais pas gênés du tout de jouer aux théologiens voire aux inquisiteurs. Ce n'est pas incompatible, au contraire.

    Quant aux journalistes, qui les suivent fidèlement, ils ont, ces jours derniers, totalement oublié, ou pas voulu voir, que la cour d’appel administrative de Paris avait donné raison aux…Témoins de Jéhovah ( encore eux…) qui ont pu, après une dizaine d’années de vaines demandes, avoir communication des extraordinaires et terribles ‘’documents’’ qui avaient servi aux RG pour les classer parmi les sectes. Dangereuses de surcroît.

    Vous savez ce que contenaient ces documents ?

    Non ?

    Ben nous si.

    Il suffit d’aller demander au Tribunal Administratif de Paris, tout le monde peut le faire.

    Mais nous, on vous le donne en confidence, sur ces fameux et effroyables documents il y avait…rien du tout.

    Et même rien de rien de rien.

    Genre Outreau ?

    Encore mieux.

    Mais ça n’a jamais empêché les journalistes (genre JP. Pernaut et consors) certains hommes politiques (genre JP. Brard) et les éternels responsables cathos des associations insecticides, de baver à l’envi sur ces gens-là et sur d’autres, en peaufinant leur argumentation perverse totalement inventée.

    En les salissant, il est vrai, on ne risque pas les voitures brûlées et les cocktails Molotov sur le palier.

    Alors, le respect pour la chose sacrée, là-dedans…

    Certes, en se prononçant pour le respect du droit d’opinion et d’expression, nos scribouillards bien au chaud se permettent, on vous le concède, quelques téméraires échappées vers d’éphémères espaces de liberté.

    Mais sans prise de risque, tout de même.

    La laisse est courte et le collier bien serré.

    Depuis quand faudrait-il qu’un journaliste risque sa place, voire sa tête pour le ‘’simple’’ devoir de dire la Vérité ?

    Vous avez dit devoir ?

    Certes, la Vérité est censée être un des piliers sur lesquels est censée être bâtie notre société mais c'est tellement peu vendeur.

    Le mensonge, la diabolisation, la peur, rapportent tellement plus.

    La sacro sainte mission d’informer vous connaissez ?

     

  • Outreau: à quand le prochain?

    Bon…

    On ne va pas passer l’hiver là-dessus.

    Avec tout ce qui a été dit et redit…

    Néanmoins, nous avons noté quelques trucs assez ébouriffants qui découlent, en ligne directe, des déclarations diverses et réjouissantes entendues lors du grand schproum juridico-judiciaires-franco-français.

    Ainsi, du ‘’petit juge’’ qui, après avoir affirmé, droit dans ses bottes, qu’il avait son devoir, -au fait, qu’est-ce que faire son devoir de nos jours… ?- a affirmé bis mais mezzo vocce cette fois :

    ‘’J’étais inexpérimenté…’’

    ‘’J’étais seul…’’

    ‘’J’étais soumis à la pression médiatique…’’

    On invente ? On hallucine ?

    Pas du tout. C’est absolument vrai, sinon à la lettre et à la virgule près, du moins à l’esprit de celui qui les a proférées ces estimations pro domo. Il a expliqué ainsi pourquoi, comment, bref, en vertu de quoi tout ça a fini par arriver. A la catastrophe. Pour les victimes s’entend.

    Tout çà ?

    14 vies brisées, un suicide, des années de taule pour rien avec, pour en finir, une Justice (ça s’appelle toujours comme ça) dont certains représentants ont osé dire qu’au fond, cette non culpabilité n’est pas encore très claire…

    Là, on hallucine encore plus.

    LA PROCHAINE ERREUR JUDICIAIRE ?

    Primo : la justice se goure dans les grandes largeurs, condamne, ô combien, des innocents qui ne cessent de hurler, arguments costauds à l’appui, sans que personne ne moufte du bas en haut de l’échelle judiciaire.

    Secundo, après moult algarades, cavalcades, appels au peuple, articles et émissions, appels, renvois, bref, après deux, trois, quatre ans de taule, de pressions, d’humiliation, de vie foutues mais aussi de travaux d’Hercule pour faire bouger l’ignominie massive, retour à la case départ pour s’entendre dire que ok, c’est vrai, on s’est un peu mis le doigt dans l’œil mais c’est le Système que voulez-vous, on n’y peut rien.

    Enfin si, on va essayer d’y faire quelque chose. ‘’On’’ (qui c’est au fait ?) on va donc s’y mettre pour qu’après Outreau, ‘’rien ne soit plus comme avant’’.

    Elle est si usée cette belle phrase qu’on a honte de l’employer encore de peur qu’elle ne se brise toute seule.

    Secundo donc, la justice se prend à réfléchir un chouia tout en se prenant les pieds dans le tapis des déclarations ampoulées et embrouillées qu’un juge de quartier te vous enverrait tout ça au gnouf s’il les entendait de la bouche d’un voleur de poules.

    On a entendu des machins à faire dresser les cheveux sur la tête d’un greffier d’avant 14.

    Du genre, ‘’Vous savez, je ne suis pas seul à porter les responsabilités.’’

    Bel argument non ?

    Et qui sent bon l’homme responsable devant lui-même et la société non ?

    Et qui est d’une haute valeur morale en plus.

    Dites voir. Si un seul magistrat au monde, entendant cela, accepte l’argutie et innocente le coupable, vous viendrez nous le dire.

    Notre si intègre, si brave et si humain petit juge était un peu responsable mais comme il n’était pas seul, il n’est donc pas coupable. Les vrais coupables, ce sont les autres.

    Dans la cour de récré on dit ‘’C’est pas moi m’sieur c’est l’autre’’…

    Essayez donc la combine avec votre pervenche ou votre CRS favori et vous verrez si la contredanse va au panier parce que vous n’étiez pas seul à stationner du mauvais côté ou parce que vous étiez prisonnier de la horde de 25 furieux qui déboulaient à 150 sur l’autoroute.

    Certes, ce qui s’est passé n’est défini et sanctionné ni dans le Code Pénal ni dans le Civil.

    Mais c’est aussi dommage que curieux.

    Parce que, tout de même, après liberté il y a Egalité non ?

    Et, surtout, égalité de tous devant la Loi.

    Ben il faut croire que non. 

    Après toute cette histoire, il n’y aura pas de sanction.

    On oubliait, c’est vrai.

    Les sanctions sont pour les justiciables.

    Pas pour les juges.

    CQFD.

    Et le tertio ?

    Eh bien le tertio c’est quelques phrases plus ou moins grommelées, susurrées voire subliminalisées.

    Du genre : ‘’Oui, mais aux yeux de la justice, il risquera encore et tout de même, de rester certains doutes…’’.

    Tel que…

    Pas suffisantes toutes ces horreurs vécues par des innocents, de vrais innocents puisque reconnus tels par…des juges tout de même ?

    Pas de sanctions, donc récidive assurée. Le premier juge venu vous le dira.

    Il ne reste donc plus qu’à se poser la question :’’A quand la prochaine erreur majuscule ?’’

  • J.O: 2 milliards de bourricots?

    J.O de Turin : Deux milliards de téléspectateurs !

    Deux milliards de bourricots ?

    Probablement pas, mais pas mal tout de même.

    Certes, il peut paraître légitime lorsqu’on aime la neige, ou l’effort ou le dépassement de soi, ou toutes ces notions à la fois et les actes qui vont avec, d’apprécier par le son et l’image, les ‘’exploits’’ des glisseurs, pirouetteurs et autres acrobates pas très amateurs, il faut bien l’avouer.

    Mais, justement, c’est bien là que le bât blesse.

    Entre ces spécialistes de l’esbroufe physiologique et le show business effréné matraqué par les télévisions du monde entier, il n’y a aucune différence.

    Seule subsiste cette illusion, savamment entretenue par les promoteurs du spectacle, que ces sports, sur le tapis immaculé de la neige fraîchement crachée par les canons ad hoc, ne sont que pureté, grâce et intégrité.

    Sauf que dès la première sonnerie de trompette de la renommée, une demi-douzaine de champions immaculés eux aussi, ne l’étaient plus autant vu qu’on avait détecté pas mal d’adjuvants illégaux dans leurs humeurs sanguines ou aqueuses.

    C’est la preuve, direz-vous, que les JO sont purs de purs ?

    Ben voyons.

    TESTS AU POINT…DANS DEUX ANS

    C’est faire litière de tous ceux qui, le projectile ayant toujours une longueur d’avance sur l’épaisseur de la cuirasse, se sont bourrés jusqu’aux yeux avec des machins tellement sophistiqués que les tests capables de les détecter seront au point dans un an ou deux…

    Juste au moment où de nouveaux produits apparaîtront.

    Et ainsi de suite.

    C‘est donc la preuve, redirez-vous obstinés que vous êtes, que les JO sont quand même bien propres sur eux puisqu’on fait une chasse éternelle aux contrevenants et autres fripouillards ?

    Ben voyons.

    C’est oublier aussi toutes les zones d’ombre et autres magouilles péninsulaires et mondiales, qui tressent sa si belle couronne au vrai vainqueur : le fric.

    Car vous ne croyez tout de même pas que ces JO et tous ceux de leur espèce, au quotidien ou à l’hebdomadaire, sont organisés, mis en place, chouchoutés, médiatisés, divinement et pieusement honorés, en vue de l’édification ou de l’amélioration d’un esprit de pureté morale censé exister dans la tête du petit peuple.

    Voyons voyons…

    Panem et circenses on vous dit et on vous le répète.

    Tout le monde le sait, ou devrait le savoir, ne serait-ce qu’en consultant les pages roses de son petit Larousse favori.

    Amuser le bon peuple servait, pour les césars, à l’empêcher de sombrer dans la morosité, de se poser trop de questions, d’occuper son temps libre et, tout en lui pompant son portefeuille au passage, de l’empêcher de remettre en cause sa condition, le régime, bref, de faire la révolution.

    Il fut un temps, très bref, où le sport de masse, même le plus cher, fut proposé au petit peuple.

    C’étaient les années 20 à 40.

    On vit même le prolo à casquette avoir les moyens de se fabriquer un Pou du Ciel, et gagner ses ailes de pilote privé à des conditions défiant celles offertes par toutes les écoles de pilotage actuelles.

    Mais c’était l’époque ou le socialisme et le communisme tenaient le capital à distance.

    L’époque du Front Popu à peu près, en France tout du moins. (1)

    Où l’on s’imaginait encore que, après la première Grande Déculottée mondiale, les humains, désormais pleins d’expérience et de sagesse, allaient se mettre à construire un monde meilleur.

    Meilleur, il l’est devenu.

    Les profits des entreprises crèvent tous les plafonds et les miséreux crèvent la faim.

    On mesure le Progrès.

    Et, pour ne pas laisser le temps aux idées de ces années-là, de refleurir quelque part, il faut, comme disait récemment le PDG de TF1, occuper le temps de cerveau disponible pour vendre du Coca.

    Voire même de la coca qui, comme le liquide du même nom, n’est, somme toutes, qu’une manière différente d’être rapidement heureux tout en étant à la mode.

    Or donc, le sport ?

    Eh bien nous, ici, on l’apprécie surtout lorsqu’on peut enfiler nos savates (2) et nos brayettes, et qu’on va cavaler un peu dans la colline.

    Pas assez souvent, hélas.

    Mais quand on peut, on vous assure Arthur, quand on a bien sué et respiré, ça vous change un peu mieux le bonhomme que de tanquer devant la télé, pieds dans les pantoufles, pizza et Kro en main, en attendant l’exploit censé faire de vous, grâce à la valeur de l’exemple, un homme meilleur sinon nouveau.

    Et puis, dites, si l’on affectait tout ce fric à l’amélioration du sport vraiment populaire, vous ne croyez pas qu’on agirait vraiment pour l’amélioration de la race humaine ?

    On le fait bien pour la race chevaline.

    C’est vrai, les canassons, eux, rapportent de l’argent.

    Alors qu’en faisant concourir les humains ça ne rapporte rien.

    Sauf aux organisateurs.

    Vous savez lire non ?

    Dans concourir il y a quoi ?

     

    (1) Eh !Oh ! Pas d’erreur hein ? On ne fait surtout pas la pub du PS ou de feu le PC.

    (2) Brayettes ou petites brailles vous pigez ? C’est aussi chic que Nike et survêts non ?

  • Emails payants, OGM, 35 H: même histoire!

    Nous rédigeant un commentaire à propos de notre alerte ‘’emails payants’’, un internaute nous a interpellés.

    Tout d’abord, et nous n’aimons pas ça du tout, en nous tutoyant, du genre de tutoiement méprisant que les automobilistes utilisent en même temps que l’insulte, contre leurs coreligionnaires trop lents, trop prudents voire simplement imparfaits.

    Ensuite, en nous prenant vraiment pour des imbéciles puisqu’il nous a démontré, petit a petit b, que rien n’était gratuit dans notre système.

    Comme si l’on était dupes…

    Enfin, en nous prouvant par les chiffres (ah ces merveilleuses preuves chiffrées…!) que les prix s’accompagnaient toujours de services rendus.

    Une trouvaille non ?

    L’ennui est qu’il oublie, notre mathématicien économiste éminent, que derrière toute façade, derrière tout décor, se cache la réalité.

    OU EST LE PIEGE ?

    L’un d’entre nous, journaliste de la consommation durant pas mal d’années, nous le rappelait à cette occasion : ‘’Chaque fois, nous disait-il, qu’un nouveau produit ou service est ‘’offert’’ doté de beaucoup d’avantages, je me pose la question, ‘’Où est le piège ?’’. ‘’

    Car notre savantisssime inspiré oublie certaines petites choses.

    Un, que comme rien n’est gratuit dans notre monde mercantile, vénal, et à deux vitesses, tout ce qui est ou était présenté comme tel, est toujours payé par quelqu’un. Voir la pub ‘’gratuite’’ dans les boîtes à lettres. Que tous les consommateurs paient. Comme la démarque, c’est-à-dire le vol dans les grandes surfaces, et entre autres erreurs de stratégies et trous dans leurs budgets.

    Donc, que les emails et autres services, actuellement gratuits semble-t-il, sont bel et bien payés par un quelconque moyen.

    Et que s’il en est encore de gratuits, dont notre blog d’ailleurs, quelque part, nous les payons par des biais divers et obscurs pour nous.

    Exemples, par abonnement téléphonique ou à Internet, par les cartouches consommables à prix gonflés pour les imprimantes pas chères, ou, pour les portables, par une brièveté de vie qui assure de confortables marges aux fabricants et aux exploitants de réseaux.

    Partout, on le voit, le piège est évident, pour les gens qui réfléchissent un peu bien sûr. Il consiste à ligoter le client en lui faisant croire qu’il est le bénéficiaire alors qu’il est la victime.

    CHEQUES ‘’GRATUITS’’

    Autre exemple : les chèques bancaires gratuits…pour le moment.

    Ils sont ‘’gratuits’’ mais largement payés par la foultitude de ‘’services’’ que les banques vous facturent alors que les services en question sont soit bien moins chers que ce que les banques prétendent, soit qu’ils ne vous servent strictement à rien, soit qu’ils soient carrément illusoires.

    Oh certes, comme pour les emails, les services en question existent bien sur le papier mais à chaque ‘’erreur’’ ou non exécution, même partielle, du contrat, les consommateurs ont droit, au mieux, à de vagues excuses, mais jamais à des compensations financières réelles alors que les services payés, eux, sont dus en totalité sous peine de contentieux.

    Exemples : les pannes d’électricité qui vous font perdre, quelquefois, des fichiers, des programmes, ou qui vous causent, simplement, des ennuis ménagers voire, quelquefois, des accidents dont on mettra des années à se remettre et une éternité à espérer des indemnités aussi imaginaires qu’illusoires.

    Autres exemples, vécus tous les jours, les temps perdus sur Internet pour cause de problèmes d’accès, au mieux, et au pire d’escroqueries manifestes dont les dégâts ne seront jamais indemnisés.

    Voir, à cet égard, les 30.000 plaintes contre les fournisseurs que vous savez.

    Ce système du tout payant est omniprésent, omnipuissant. Notre pas très poli interlocuteur le sait, nous aussi mais ce qui nous gêne est ailleurs.

    Ce que nous stigmatisons c’est, simplement, la gratuité attrape clients ou couillons suivie du paiement pour amélioration réelles ou supposées.

    Nous comme d'autres, avons tous plus ou moins, bénéficié un jour ou l'autre de la gratuité totale dont nous avons remercié et remercions, évidemment, notre bienfaiteur.

    Mais, le temps passant, de nouveaux services ont été proposés.

    Comme nous n’en avons pas besoin, nous n’y avons pas souscrit. Mais ceux qui l’ont fait bénéficient d’avantages que nous avions auparavant mais qui ont disparu. Ainsi, de la mise à jour quotidienne qui n’est faite désormais pour nous que…tous les deux jours. Avant de n’être faite que toutes les semaines ? Ou pas du tout ? Pour nous inciter gentiment à émigrer ailleurs ? Chez un autre fournisseur qui fera de même ?

    Car, que cela soit clair, il n’est pas de jugement moral là-dedans et nous n’accusons personne. Mais le système est ainsi fait que chaque entreprise DOIT impérativement, faire des profits pour durer dans un monde de vraies brutes. Sous peine de disparaître.

    Dans cette bagarre insensées, les ‘’gratuits’’ ne PEUVENT PAS exister. Même si les patrons le voulaient, ils sont poussés à avancer à la même vitesse, et si possible plus vite, que le Système entier.

    LE COUP DU VOLEUR CHINOIS

    Ce qui nous défrise c'est bien qu’à cette vitesse là, on va nécessairement soit casser la machine qui, comme toute machine a ses limites qu’on ne connaît pas, soit la précipiter, avec tous ceux qui l’habitent, dans une catastrophe du genre que celle que vivent les cancéreux de l’amiante.

    Pourquoi cet exemple ?

    Le cancer de l’amiante, n’est-ce pas, c’est rien du tout pour un quidam en bonne santé qui en lit les détails dans son journal favori en dégustant son café croissants chauds.

    Mais pour celui qui (et pour sa famille) est en phase terminale d’un maousse mésothéliome les statistiques c’est 100.000 pour cent de catastrophique.

    On est loin des emails payants ?

    Vous croyez ? C'est croire, niaisement, qu'un petit problème ici ou là ne signifie pas que la planète est en danger...

    C’est pourtant toujours la même histoire. Comme construire, détruire peut prendre pas mal de temps. Mais le résultyat est tout autant garanti.

    Le coup du voleur chinois vous connaissez ?

    C’est une histoire que les Britishs racontaient au beau temps - pour eux - de l’Empire des Indes et de la guerre des Boxers.

    Le serviteur chinois (puisque un Chinois ne pouvait être que serviteur) qui voulait voler (En plus un Chinois ne pouvait être que voleur) un objet précieux, ne s’en saisissait jamais d’un coup. Il le changeait tout doucement de place, jour après jour pour habituer le propriétaire, pardon, le Maître, à ne plus le voir exactement au même endroit.

    Ainsi, jusqu’au jour où…il le mettait dans sa poche, sans que le Maître, habitué, anesthésié, s’en soit rendu compte…

    Notre système politico-économico-médiatique est fondé sur le même principe.

    Ce qui ne peut être accepté d’un seul coup, le sera petit à petit.

    Au fait, qu'y a-t-il de plus patient et de plus malin qu’un Chinois ?

    Simple: un commerçant, un publicitaire, un patron de supermarché, un homme politique, un journaliste, un fournisseur d’accès pourquoi pas, exemple un Bill Gates qui, en plus d’être l’homme le plus riche du monde, est le plus grand bienfaiteur de l’Humanité souffrante en ponctionnant ceux qui peuvent se payer un XP familial à 2 ou 3.000 balles, alors qu’il coûte UN FRANC et 50 CENTIMES à fabriquer.

    Vendre, ponctionner n’est pas voler ?

    Redites un peu ça sans rire pour voir.

    Au passage, monsieur Gates ne prend, cela va de soi, pas un centime de marge.

    Et se fait ainsi une bien belle image de marque de capitaliste au visage enfin humain.

    Ce qui ne peut pas se prendre brutalement, se prendra graduellement. Et au final, avec les mêmes conséquences tout aussi brutales.

    L’avenir de la planète est à l’image de ce brave monsieur Gates.

    Triomphant pour les pauvres, bientôt, mais pour le fric…tout de suite.

    Et en douceur et avec de biens beaux résultats.

    Car malgré toutes ces bonnes âmes, la pauvreté galope, le chômage cavale, les délocalisations fleurissent, mais les petits Indiens ou Chinois ont toujours aussi faim.

    Le capitalisme paternaliste de papa on connaît.

    C’est même pour ça que les avancées sociales ont été les seules à contraindre le patronat à se mettre vraiment à travailler pour cause de concurrence, confortablement enlisé qu’il était depuis toujours dans les rachats multiples et les alliances de familles et de trusts.

    OGM ET DROIT A LA SANTE

    Et les emails là-dedans ?

    Et les OGM pourrait-on répondre.

    Pour ces machins censés sauver le monde de la famine, et les multinationales de la faillite, d’abord ce fut le niet européen. Ensuite le peut-être mais uniquement d’importation et en quantités limitées. L’on est passés à l’étiquetage du pourcentage. Comme si un pour cent ou 25 faisait une grosse différence de santé dans un domaine aussi opaque. Après, suivirent les manifs ‘’scientifiques’’ des pros.

    Maintenant, c’est Bruxelles et la France éternelle pays des droits de l’Homme (droit à la santé bien sûr) qui s’y mettent. Légalement mais petit à petit.

    En plus ils ne sont pas gratuits les OGM en question. Aussi chers et même plus, faut payer les études, pour pouvoir s’empoisonner. Petit à petit aussi.

    Il est vrai que la mithridatisation n’a jamais tué personne n’est-ce pas ?

    Et puis l’empoisonnement est un bien vilain mot puisque rien n’est prouvé disent certains innocents.

    Et l’amiante ? Et les vaccins à l’aluminium ? Et les médicaments tératogènes genre Thalidomide ? Et les bagnoles dangereuses ou de fiabilité fantaisiste ? Et les petites lettres en bas des pages du contrat ? Et les prix en francs qui cabriolent en passant à l’euro? Et les impôts locaux qui vont monter tout doucement sans que les nationaux baissent ? Et les promesses jamais tenues ? Et tout ça dans la joie généralisée et les medias anesthésiants chargés de vous faire rêver à un paradis à votre portée en vous offrant par abonnement un monde de paillettes et de divinités souriantes ?

    Et qui vous font prendre des vessies pour des lanternes ?

    L’homme s’habitue à tout.

    Y compris aux coups de pompes dans le train.

    Il suffit d’y aller mollo.

    En toxicologie on appelle ça l’addiction. A la drogue dans ce cas.

    On s’habitue à toutes les drogues.

    Celle-ci s’appelle du pain et des jeux.

    Sous Jules César (1) on appelait ça panem et circences

    Aujourd’hui, les gogos ont à leur disposition 200 chaînes de télé et autant de chaînes supermarchés discount ou pas, toutes choses qui leur permettent de se goinfrer à pas trop cher en écoutant des contes de fées.

    Distraire le gogo en lui faisant croire au paradis, c’est l’art et la manière de gouverner au bonneteau.

    Pendant que le client s’émerveille...et paye, l’amuseur empoche.

    ET LES 35 HEURES ALORS? 

     

    Et les lois du travail là-dedans ?

    Même histoire, même système.

    On commence par appliquer les 35 heures…sans embaucher quiconque. Comme ça, on empoche les aides et les smicards bossent deux fois plus. Et s’ils sont malades, la Sécu est là.

    De toutes manières, les immigrés attendent à la porte. Eux n’ont pas de vapeurs, et bosser pour la moitié du smic, le ventre creux avec mal au dos, ils ont l’habitude.

    Ensuite, on dit qu’on va changer cette loi infâme et on ne l’applique pas.

    Puis on fait comme on veut.

    Enfin, on gomme tout ce qui gêne dans les lois, conditions de licenciement, conditions d’embauche, statuts, etc, et, en plus, on présente toute ce galimatias comme une avancée telle que la France n’en a jamais connu auparavant. Une vraie politique de gauche, voire bolchevique, sous un gouvernement de droite.

    Une vraie de vraie innovation vous voyez et tout ce qu'il y a d'originale.

    Ne nous y trompons pas : le délai de deux, voire trois ans du CPE, ne nous gêne pas.

    Il en existe pas mal des zèbres qui font patte de velours durant 6 mois pour n’en foutre plus une rame une fois le CDI signé. Quitte à invoquer le délit de harcèlement ou de convoquer les associations anti-racistes.

    Mais, par temps de chômage comme nous le vivons, ils sont plutôt minoritaires. Avec les allocs réduites comme peau de chagrin en plus (et plutôt en moins), ce serait suicidaire.

    Non. Avec le système du voleur chinois on vous dit, on continue à nous anesthésier.

    C'est bien connu. Il est des traitements qui ne se s’administrent qu’en douceur.

    Sous peine de faire brailler ceux qui en pâtissent.

    Rien de nouveau sous le soleil quoi.

    Alors à tous les zèbres qui pensent et disent que tout travail mérite salaire, on peut simplement dire que c’est très juste ; mais uniquement pour ce qui concerne les creuseurs de tranchées et les agents spécialistes de traitement de surfaces. Les balayeurs comme on disait quand j’étais gosse.

    Vous voyez ? Même dans le langage il faut y aller en douceur.

    Mais plus c’est gros, mieux ça passe.

    Il suffit d’y mettre le temps.

     

    (1) Juvénal l’a repris dans ses Satires.

     

  • Emails payants: à l'américaine!

    Ca y est !

    On se disait aussi…

    Dans le monde actuel, l’hyper libéralisme, qui rongeait son frein depuis un petit siècle mais désormais guéri de sa trouille des rouges, ne se sent plus de joie.

    Il met les bouchées doubles.

    Manger le monde ne lui suffit plus, il veut le boulotter tout cru. Sans même le temps de le cuisiner un chouia.

    Cette frénésie hormonale échappe à tout contrôle de quelque gouvernement que ce soit, tant est grande la corruption du politique par l’économique. De l’homme, tout simplement, par le fric.

    On pensait que sur le web subsistait encore un peu la notion de gratuité.

    Paf !

    Niet !

    Fini !

    Désormais les emails seront payants. Comme les chèques bancaires.

    Pas contents ?

    Vous n’aurez qu’à vous payer un porte voix pour appeler vos correspondants.

    Vous le payerez aussi bien sûr.

    Ou alors vous n’aurez qu’à vous en fabriquer un avec une feuille de papier A 4.

    Payante elle aussi.

    OFFICIELLEMENT ET POLITIQUEMENT CORRECTS

    Oh, bien sûr, pour faire passer la pilule, on la dorera un peu. Tous les emails ne le seront pas tout de suite payants. Seuls les sécurisés, les authentifiées, les quasi recommandés avec accusé de réception. Et seuls garantis officiels par le pouvoir politique qui leur donnera sa bénédiction.

    Les officiellement et politiquement corrects.

    Comme en Chine.

    Bénédiction officielle comme pour tout le reste, d’ailleurs, puisqu’il faut bien donner aux mesures imposées une apparence de démocratie par le biais des élus de la nation.

    Elus une fois tous les 5 ou 6 ans, c’est-à-dire le temps de faire le contraire des promesses qui ont servi à l’élection…et de se préparer au prochain scrutin un an auparavant en peaufinant les mêmes promesses remises au goût du jour afin que les gogos y croient de nouveau.

    Car, après tout, les ahuris qui casquent sont bien les premiers responsables de leurs propres malheurs.

    Non ?

    Bien sûr que si !

    Imaginez un peu un moyen pour contrer les emails payants !

    Une grève généralisée et illimitée d’Internet ?

    Impossible n’est-ce !

    Imaginez une association de consommateurs en colère qui veulent dire non une fois pour toutes en boycottant, à l’unanimité, tout ce qui ne leur plaît pas !

    Impossible n’est-ce pas !

    Imaginez un syndicat, des syndicats qui se mettraient à dire ce qu’ils veulent de façon réellement ferme.

    Des syndicats dont les responsables ne soient pas vénaux évidemment. Et qu’on ne fasse pas taire à coups de faveurs, d’avancement, de petits cadeaux, et de douceurs diverses…

    Impossible évidemment…

    Ce qui nous convainc, s’il en était encore besoin, que ce ne sont pas les dictateurs qui font les esclaves mais bien les esclaves qui font les dictateurs.

    De qui cette talentueuse maxime ?

    De Jules.

    César.

    Un dictateur qui s’y connaissait en matière d’esclaves.

    COMME LES POULETS

    Alors ?

    Et la Révolution ?

    Vous rigolez non ?

    Les riches ont enfin compris.

    Donnez du spectacle et de quoi manger aux pauvres et vous aurez la paix.

    Laissez les s’imaginer un instant qu’ils sont libres.

    Libres de bouffer à bas prix, de se ‘’cultiver’’ grâce à la télé et au show business, et surtout de se donner, tous les 5 à 6 ans des représentants qui leur promettront le paradis sur terre et vous aurez une paix royale.

    Avec en prime, des discours, des lois, une justice, une police, en un mot tout plein de choses grâce auxquelles les ‘’citoyens’’ auront en permanence l’impression qu’on s’occupe de leur bien-être.

    Comme les poulets de batterie.

    Vous n’avez pas regardé de près ce genre de société ?

    Des hangars immenses où bouffent, sans bouger, des millions de bestioles bourrées de granulés et d’antibiotiques. Faites en une photo et épinglez là encadrée au-dessus de votre lit.

    Pour vous rappeler que c’est l’image la plus fidèle que l’on puisse avoir de notre civilisation judéo chrétienne.

    Liberté dans un espace vital minimum, bouffe de bas étage à foison, additifs pour produire à tout va, médicaments si la production n’est pas suffisante, temps de production réglé sur maximum, et, durée de vie calculée au plus juste.

    Dès que le corps vacille…couic !

    Pendant ce temps le propriétaire de l’élevage va se baigner aux Bahamas et skier à St Moritz.

    ECOLOGIE AMERICAINE

    Tiens, à ce propos on vient de lire une petite merveille dans le dernier National Géographique (1), la magnifique revue écolo pour riches modèle US.

    Le canard a, justement, publié un reportage sur…St Moritz.

    Et a complaisamment décrit la station et ses avantages pour les bouseux locaux qui s’en mettent plein les poches en ponctionnant les millionnaires en dollars.

    Ce qui signifie, selon la logique américaine, que les riches sont une bénédiction divine indispensable puisqu’ils font vivre les pauvres.

    Dans leur papier, ils ont oublié les grands reporters, que tout récemment, des zèbres d’un laboratoire suisse public voisin, ont analysé les égouts des riches en question.

    Ils y ont trouvé assez de traces de cocaïne pour en déduire qu’aux vacances de Noël les riches en question se sont fait tous les soirs près de 1.400 lignes de coke.

    C’était dans le Sunday Telegraph cité par Courrier International de cette semaine.

    Et pas, évidemment, dans le papier des grands reporters US.

    C’est sûr que l’écolo magazine n’allait pas mordre les mains qui le nourrissent…

    D’ailleurs cet écolo magazine a de bien curieuses manières de promouvoir l’écologie et la préservation de l’espèce, des espèces humaines.

    Certes, il le fait mais avec de splendides photos, sur papier glacé mais en faisant de la pub aux nouvelles Mercedès série R…pollution garantie à 60 briques l’unité, en vantant les mérites de la carte Visa…premier, qui n’est évidemment pas à la portée du premier pékin venu, et en vendant ses pages de pub aux magazines Capital et Management, publications qui, vous l’aurez compris, apprennent aux meilleurs d’entre nous comment faire bosser les plus mauvais, les smicards donc.

    En passant, ils ont publié un reportage sur les Masaïs qui, cédant petit à petit à la pression capitaliste, résistent pied à pied pour conserver leur dignité, leurs traditions, bref, leur conception de la vie.

    In fine, le grand reporter - il n’y a que de grands reporters au National Géographique - nous raconte l’histoire d’un p’tit jeune Masaï, tout tourneboulé (on le serait à moins) par la pression du modernisme qui lui offre tant avec un salaire de misère.

    On s’attendrait, écologiquement parlant, à lire en conclusion que le gars va, contre vents et marées, tout faire pour conserver et sa personnalité et sa culture mais non.

    Ben non. La fine plume nous dit que, même si le Masaï va rejoindre la foule de miséreux de la bientôt mégalopole locale, il survivra, il se convertira mais continuera à vivre.

    L’écrivain américain n’a pas précisé dans quelles conditions et à quel prix.

    C’était notre rubrique, l’écologie à l’américaine.

    L’american way of life au cas où vous n’auriez pas compris.

    Bon.

    Je vais acheter mon poisson.

    Pour les oméga 3 et la cervelle.

    En ces temps d’abrutissement complet, vite du thon ou de la bonite !

    Avec tout plein de mercure et de cadmium pour assaisonner.

    Les évolutionnistes, américains, ont paraît-il trouvé que malgré les risques de paralysie genre Minamata, un tout petit peu de métaux lourds pouvait avoir quelques effets bénéfiques sur le cerveau.

    Et provoquerait des poussées d’euphorie…

    Pourquoi pas de rigolade ?

    Genre ‘’Les bronzés’’ par exemple ?

    On est loin des emails ?

    Vous pensez ?

    Allez, salut !

     

    (1) Je préfère écrire géographique à la française. Rien que pour le plaisir.