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Politique - Page 15

  • UKRAINE-RUSSIE: COMME CHICKEN RUN?

    Estimer que ce conflit Ukraine Russie est une vilaine affaire est un bien modeste jugement.

    Il sous-entendrait, en effet que la plupart des relations entre pays n’en sont pas.

    Alors que…

    Elles ne le deviennent, bien vilaines ces affaires, qu’à partir du moment où elles sont connues et exposées en place publique.

    Ce qui donc est affligeant en l’occurrence, est bien que cette affaire-là soit montée en épingle, alors qu’elle n’est qu’un épiphénomène de plus, émaillant la sempiternelle lutte pour le pouvoir entre états, par tous les moyens, y compris le pire, la guerre.

    Cette guerre n’étant, au dire de monsieur le baron Von Clausewitz, ‘’ que la continuation de la politique d’une autre manière.’’

    LES MANIERES DU KGB

    Cela dit, et à l’occasion de la baisse de régime, -si l’on peut dire-, en fait de la diminution du pouvoir international et même régional d’un pays tel que la Russie, les dirigeants locaux ont accusé le coup.

    Et éprouvé, in petto, le besoin de redorer leur blason.

    En réalité, de reprendre les rênes de la moitié du monde que le pouvoir soviétique avait laché à ses ennemis viscéraux, les étasuniens, désormais seuls maîtres du monde.

    Enfin qu’ils disent et pour le moment.

    Voilà-t-il donc pas que Vladimir Poutine, que lui et son empressé entourage disent ennemi du communisme, montre, tout de même, le bout de l’oreille du lieutenant-colonel du KGB qu’il était et qui en a gardé les singulières façons de faire.

    Que les ex-républiques soviétiques prennent leur indépendance, da da, et même d’accord.

    De toutes manières, elles l’avaient fait sans le lui demander et il n’a fait qu’entériner a posteriori.

    Mais qu’il leur prenne l’envie d’être vraiment libres au point d’aller faire ami ami avec l’Occident, pire, avec les Etats-Unis, c’est Niet !

    La liberté c’est bien mais c’est comme la vodka, on peut consommer du rêve mais point trop n’en faut.

    Alors ?

    Eh bien comme on ne peut pas atomiser des voisins si proches vu les risques de pollution, que l’on n’est plus dans les années 60 -70 où l’on pouvait faire péter des bombes A, y compris en se servant de ses propres soldats comme cobayes, et que côté armes conventionnelles l’embrouille risquerait de se généraliser d’autant qu’avec la Tchétchénie ça commence à bien faire, on use donc du moyen de monsieur von Clausewitz…mais en douceur, enfin si l’on peut dire.

    La guerre quoi !

    La guerre du fric, ici du gaz, mais de main plus que ferme.

    Ou vous payez, ou on vous coupe.

    Le prix semble d’ailleurs, aux dires des économistes, n’être qu’un prétexte pour reprendre d’une main ce que l’infortuné président Iouchtchenko a repris de celles de son prédécesseur dont la tendre amitié avec le Kremlin frisait l’indécence.

    COLONISATEUR DICTATEUR IMPERIALISTE

    Toujours est-il qu’à une époque où l’on stigmatise, à raison, les tempéraments colonisateurs, l’on s’aperçoit bien vite qu’ils foisonnent sur la planète et qu’il suffit d’une occasion pour que le larron montre soin vrai visage : celui d’un colonisateur dictateur et impérialiste par-dessus le marché.

    Un maître de terres émergées qui se sert de ses vassaux, nationaux ou lointains, pour se nourrir et se protéger.

    Les ex républiques soviétiques constituaient, à l’époque, un glacis parfait que le petit père des peuples disait protéger, mais qui protégeait bel et bien la Russie elle-même contre d’éventuels envahisseurs par voie de terre.

    Et la Russie soviétique se servait largement, comme les Allemands dans les pays occupés, de quantités impressionnantes de biens divers, au seul bénéfice des Russes prioritaires.

    Avec la disparition de la guerre froide, le glacis est redevenu ce qu’il était aux temps anciens, une sphère d’influence.

    Economique désormais vu les richesses encore sous exploitées de l’Empire.

    Et bien plus d’ailleurs, les réalités et intrications économiques devenant plus contraignantes de parts et d’autres.

    Et voir un vassal passer à l’ennemi avec armes et surtout bagages, a de quoi réveiller les vieux réflexes.

    D’autant que le système économique russe, est désormais totalement verrouillé au seul bénéfice du pouvoir et de ses affidés.

    Alors, laissert impuni un bien mauvaise exemple de dissidence…

    KIF KIF LES TSARS

    Le phénomène n’est ni nouveau ni propre à la Russie.

    Il est croquignolet de voir que ces vieux réflexes-là ressurgissent dans des états qui, tous, se parent de défroques démocratiques.

    Y compris dans l’Union des Républiques Socialistes Soviétiques.

    En effet, auparavant, qu’en était-il vraiment de la Russie soviétique ?

    Une classe de serfs, une autre de fonctionnaires envahissants, une nomenklatura bien nourrie et, au sommet, les moyens et grands chefs.

    Avec une armée colossale et une politique de prestige envahissante.

    Kif kif le temps des tsars !

    Et que voyait-on en Chine à l’époque?

    La copie conforme !

    Et qu’y voit-on aujourd’hui ?

    Exactement la même chose qu’en Russie !

    Drôle non ?

    Certes, uniquement pour les gâtés du régime, de ces régimes.

    Car que voit-on ailleurs, dites moi voir ?

    Des pays qui, au nom de patriotisme divers, politiques, militaires et économiques, passent leur temps à pressurer leurs propres populations ou à les monter les unes contre les autres, afin de conserver, certes, de suffisants moyens d’existence, mais, avant tout, leurs places à leurs dirigeants bien nourris et qui n’ont nulle envie de céder leurs fauteuils et de vivre des retraites nécessiteuses.

    Un ami me disait l’autre jour que dans des moments de lucidité extrême, qu’il avait avec peine au milieu de la dinguerie généralisée dans laquelle nous vivons, l’Humanité lui apparaissait comme un immense poulailler de volailles pondeuses en batterie.

    ‘’En effet me disait-il, nous leur ressemblons à ces poules ou plutôt elles nous ressemblent. On leur demande sans cesse de pondre, de pondre, toujours plus et lorsqu’elles n’en peuvent plus, on les bouffe. Et si elles sont malades, on les bourre d’antibiotiques. On raffine même : on leur fait entendre de la musique classique. Comme ça elles ne sont pas malades, ou moins pendant un temps, elles pondent plus et lorsqu’elles sont HS, elles ne sont bonnes qu’à une chose : être mangées.’’

    On demande aux humains d’être rentables, on les y pousse sans cesse, si nécessaire on les bourre d’antibiotiques ou de tous autres machins destinés à les garder en vie et on raffine aussi : jolis discours et musique et divertissements à gogo. Et lorsqu’ils deviennent des épaves, on les supprime.

    Oh, tout cela se fait gentiment. Humainement, si l’on peut dire. Avec tous les discours et toutes les douceurs destinés à rendre la pilule moins amère mais amère tout de même. Pour le moment du moins. Mais la main qui commande serre de plus en plus fort.

    Avez-vous déjà vu un poulailler se rebeller contre ses maîtres ?

    Dans Chicken Run peut-être.

    Mais c’est du cinéma. Encore que, dans la vraie vie, si les poules se révoltent, elles finissent toujours par y passer, les maîtres de droite ou de gauche étant génétiquement jumeaux.

    Allez va...On y passera tous chers amis!

    Avez-vous vu ou revu ‘’Soleil Vert’’ ?

    Revoyez le, on y est presque. Et ce n'est pas du cinéma.

    Ah oui, pour en revenir à Ukraine vs Russie. Quelle leçon en tirer ?

    Simple.

    Vous voulez vivre ?

    Payez.

    C’est tout.

    Mais, j'y pense, en France, comment ça marche ?

  • Meilleurs voeux? Et ta soeur?

    Encore des vœux ?

    Ben oui.

    Ou plutôt non.

    Si j’en crois tous ceux dont m’abreuvent mes guides, gourous, devins, et autres hommes politiques préférés, ces derniers devant en principe être moultement plus crédibles que les autres, je ne peux voir, dans l’année qui commence, que de bonnes choses.

    Enfin !

    Tous comptes faits, la patience paraît bien payer.

    Et, vous le voyez, tout semble bien arriver un jour.

    SALAIRES TRANSPARENTS

    Ainsi, le SMIC va augmenter d’environ 4 et quelque chose pour cent.

    Les syndicats ont demandé plus mais entre leurs prétentions (et les nôtres) et les propositions gouvernementales quatre fois moindres, un moyen terme semble plus raisonnable. Donc, tout va …euh, tout va aller pour le mieux entre CGT, FO et MEDEF.

    Quant aux salaires des patrons, des grands en premier lieu, et des américains pour être plus précis, ils seront désormais transparents. Stocks options comprises.

    Certes, cela ne va pas changer grand-chose, vu qu’ils ne les baisseront pas pour autant ni n’augmenteront corollairement les plus basses rémunérations mais enfin, le petit peuple doit savoir se satisfaire de petites satisfactions.

    Côté Nature, il paraît qu’elle va être rendue en grande partie aux citoyens. Ce qui voudrait dire que les 2% de la population, les chasseurs, ne confisqueront plus à leur seul usage, les 95% du territoire national durant huit mois de l’année.

    Pour ce qui est des économies d’énergie, les maires ont décidé de faire mieux cette année que la précédente, donc, entre autres choses, de consacrer le prix des illuminations de fêtes, à la construction d’écoles maternelle.

    Concernant la pollution, des mesures vont, très probablement, être prises, pour stigmatiser, non plus les 4X4 Diesel que seuls les ignares imaginent plus pollueurs que les autres véhicules, mais les grosses berlines à essence de direction, de ministères et de hautes administrations et de faire accéder tous les citoyens roulant au gas-oil, aux avantages du bio-carburant dont ne profitent, actuellement, que les véhicules présidentiels et quelques flottes de transports en commun.

    Pour la protection de l’Environnement encore, la France et l’Europe décideront de subventionner, le plus largement possible, les équipements solaires individuels afin de soulager tout à la fois leur portefeuille et les capacités de production d’EdF, et de créer un maximum d’emploi dans un secteur qui va être porteur…si tant est qu’on veuille bien l’activer sans tenir compte des couinements du lobby pétrolier.

    LES VILAINES MARGES AVANT-ARRIERE

    Concernant le coûte de la vie, et pour aller dans le sens de ce que nous affirme le bon docteur Michel Edouard Leclerc, les vilains producteurs qui veulent augmenter leurs prix en conséquence de la suppression de la loi Galland, devraient rabattre de leurs prétentions et laisser à la grande distribution le soin de faire profiter les consommateurs des douceurs de cette disparition. Puisque, c’est bien connu, les grands distributeurs en question, le bon docteur Leclerc en tête, n’exigeront plus de marges arrière (et pourquoi pas avant ?) si préjudiciables aux petites gens que nous sommes.

    Et puis, les prix vont donc baisser puisque toutes les hautes autorités de l’Etat l’ont dit…pour les années à venir s’entend.

    A propos de système politique, bonne nouvelle : la droite et la gauche vont faire enfin alliance pour gouverner le pays au mieux des intérêts des uns mais sans oublier les autres. Kif kif l’Allemagne où, tout de même, on ne sait pas encore très bien si la Gross alliance va fonctionner avec la plus grande honnêteté possible…

    Mais au moins, la piétaille que nous sommes va pouvoir enfin respirer en n’étant plus condamnée à se positionner d’un côté ou de l’autre, persuadée que quelque que soit le côté choisi, elle et elle seule a et aura toujours raison.

    Que de nuits paisibles en perspective et que de repas de famille, fêtes comprise, où il sera désormais possible de parler ET religion, ET politique sans crainte de devoir faire appel aux pompiers et au SAMU pour terminer proprement la fin de l’année !

    RECONFORTER LES AFFLIGES ?

    Quoi encore ?

    Eh bien les politiques ont décidé, une fois pour toutes, de ne plus se donner en spectacle, de servir et non plus se servir, de ne plus profiter du système, de ne plus faire d’effets d’annonces mais d’agir, bref, de faire de manière aussi parfaite qui soit, ce pour quoi ils sont en place: défendre, en priorité, les intérêts des petits qui les ont élus.

    Que souhaiter de plus ?

    Eh bien, pourquoi pas, le retrait total des troupes d’Irak, Polonais compris qui ne cessaient, jusqu’à ce jour, de clamer qu’ils sont là-bas pour défendre la démocratie libéralo chrétienne et non par un sain désir de s’approprier les faveurs américaines et les dollars qui vont avec, lesquels s’ajoutent si bien aux juteuses subventions européennes qui leur servent à acheter des produits US.

    Quoi encore ?

    Que les medias, les journalistes, s’arrêtent de privilégier le clinquant, l’inutile, la complaisance, le superflu, la poudre aux yeux et le mensonge et mettent en œuvre la maxime de ce journaliste américain de combat qui a dit ‘’nous sommes là pour réconforter les affligés et affliger ceux qui vivent dans le confort’’.

    Encore d’autres choses ?

    Difficile.

    Il y a tant à dire en fait de bonnes nouvelles et de promesses en technicolor.

    Car, il nous faut le préciser tout de même.

    Cette mirifique énumération fait partie, en totalité, des souhaits, des vœux, que la totalité de nos autorités, de nos guides, de nos gourous, politiques, scientifiques, religieux, médiatiques, nous servent et vont nous servir dans les jours et les années qui viennent, comme ils le font et le feront dans les siècles et les siècles à venir.

    Tiens cela nous rappelle que nous sommes en plein milieu de ce qu’on appelle la civilisation judéo-chrétienne qui a pour principe de base, intangible, celui qui dit, c’est la Bible quoi le dit :’’Tu dois aimer Dieu ( donc ses principes) plus que tout et ton prochain comme toi-même’’.

    Ainsi soit-il !

  • Joyeux Noël? Mon oeil!

    Joyeux Noël ?

    On n’a pas résisté à l’engouement, hystérique, hormonal, des confrères pour qui LE sujet du jour était, évidemment, Noël, papa OuoOuel, les santons, le petit Jésus dans la crèche, le bœuf et l’âne et mes petits souliers, sans oublier la visite, une fois dans l’année faut pas exagérer, aux déshérités….

    Jusqu’aux musulmans et aux juifs qui fêtent, jusqu’aux Japonais et aux Papous Néoguinéens, sans oublier les aborigènes qui chantent Noël, preuve, s’il en était encore besoin, que l’infection, l’infestation US touche non seulement la planète entière, mais l’a fait depuis une bonne centaine d’années.

    -Quoi ? Papa OouoOuel, un phénomène amerlo ?

    -Ben oui ballot !

    C’est un confrère, pas tellement que ça d’ailleurs, qui a inventé le machin au début du siècle dernier et même un peu avant, et a repris et naturalisé vite fait le saint Nicolas vaguement teuton, pour le transformer en Santa Claus, et a mélangé le tout, avec le sapin et les cadeaux, au petit Jésus pour faire chrétien, vu que, déjà les catholiques avaient pris une option sur la date depuis l’époque romaine et même avant.

    NOEL PAIEN

    Quoi ? Vous saviez pas ?

    Mythra était fêtée entre le 22 et le 26 décembre, les journées entourant l’équinoxe d’hiver servaient aux Romains pour fêter le retour du soleil invaincu, - dies solis invicti - vu que Constantin I°et ses successeurs, soucieux d’inventer un ciment commun aux peuples séparés de l’Empire, avaient remplacé les fêtes dites païennes, par une fête, unique celle-là donc plus commode, mais tout aussi païenne que les autres puisque Jésus n’est pas né en décembre mais en automne.

    Ce que les exégètes barbus auraient pu ne plus cacher, voir déjà découvrir tous seuls, en consultant la Bible qu’ils étaient, pourtant, censés, connaître et, surtout, faire connaître.

    Ils ne firent ni l’un ni l’autre puisque d’une part, ils ne comprenaient guère ce qu’ils lisaient, plus avides de paraître savants plutôt que de comprendre ce qui était plus fatigant…et contraignant, compte tenu du fait qu’ils auraient été obligés de mettre en application les règles morales qu’ils y découvraient…Dur dur. (1)

    D’autre part et côté Noël, il était plus commode aussi de laisser le pouvoir dicter sa loi et profiter de son amitié complice et intéressée.

    Résultat : Joyeux Noël pour Géant Casino, Leclerc, Intermarché, Carrefour et autres Leader Price et Lidl qui profitent aussi de la manne puisqu’il en faut pour toutes les bourses.

    Joyeux Noël aussi pour les banques qui battent tous les records d’utilisation de cartes bancaires, de dépassements autorisés et d’emprunts à court terme pour faire face aux dépenses…obligatoires de fêtes de fin d’année.

    JOYEUX NOEL A WALL STREET !

    Tiens ! Une question : Joyeux Noël aussi pour Cartier et consorts du même niveau?

    Eh ! Oh ! Rigolez pas là !

    Le haut de gamme c’est toute l’année et pas seulement pour les périodes populaires.

    La fête, Noël Nouvel An, Pâque et etc, c’est populo, populaire, peuple quoi, pas people !

    Quand on peut faire, et se faire, des petits cadeaux à un million d’euros minimum, on n’attend pas le temps des réjouissances de la plèbe.

    Dites voir au fait !

    Dans cette fête au fric et à la ruée sur la bouffe, la nippe, l’électronique et les cadeaux du même tonneau, le côté fondamental de la fête, le spirituel, où c’est-y qu’il est passé ?

    -Ca y est, on va avoir droit à un discours moralisateur !

    -Ben oui malin ! Vous n’y couperez pas !

    Parce qu’on a entendu dans le poste Monsieur Benoîtquinze nous dire qu’il priait, en 32 langues en plus ce qui embellit la performance, pour la Paix, l’entente entre les peuples, l’amitié entre les ennemis au couteau entre les dents, et la fin de la haine entre les uns et surtout les autres, suivez mon regard.

    Dommage qu’il n’ait pas lancé l’anathème contre les superpatrons qui se gavent aux dépens des prolos à casquette qui en bavent.

    Contre, aussi, les politiques qui font des promesses qui n’engagent que ceux qui y croient.

    Contre ceux qui partent en guerre, Bible en main, ou qui exploitent le petit personnel en lui rappelant que l’amour du prochain c’est bon pour l’office du dimanche mais pas à la reprise, à Wall Street des cotations de la Bourse, qui va très bien merci et Joyeux Noël pour elle mais là de façon très concrète !.

    HUMILITE PAUVRETE

    Dommage dommage…

    Monsieur Josephquinze, ou Benoitratzinger, on ne sait plus, a la mémoire qui flanche.

    Alors qu’il n’a même pas atteint l’âge où son prédécesseur a été voir là-haut si ce qu’il nous a raconté, ici-bas, était bien vrai, car, vu l’imprécision de ses incantations et épistoles, il n’en savait trop rien lui-même.

    Il a oublié aussi, notre adjoint autoproclamé de Dieu le Père, de rappeler que côté fric, le petit Jésus qu’il était censé nous prêcher, n’avait rien d’autre, comme bien, que ses vêtements et pas même : ‘’un bout de terre ou reposer sa tête’’.

    S’il revenait, le malheureux, on ne pense sincèrement pas qu’il irait coucher au Vatican.

    Alors ? Et l’exemple Votre Sainteté ?

    A quand la bure monacale et les sandales nu-pieds dans la neige du froid hiver de la Campanie ou des Abruzzes, pour aller prêcher l’humilité, la pauvreté matérielle et la richesse spirituelle ?

    Au pire, à quand les vigoureuses admonestations qui seraient les bienvenues, en cette période en particulier, pour rappeler leurs devoirs aux 400 et quelques multimilliardaires en dollars, et aux politiques bien nourris merci et la plupart ‘’chrétiens’’, qui gouvernent la Terre et la mènent, paraît-il, vers un paradis toujours renvoyé aux calendes ?

    Pour le petit peuple bien sûr, désormais bien formaté à courir après la carotte en tentant d’échapper au bâton ?

    Paix sur la Terre aux hommes de bonne volonté ?

    Certes.

    Vu ce qui nous entoure, on comprend mieux pourquoi c’est bien la guerre, la haine, en fait, qui gouverne le monde.

    Tiens encore !

    Tout à leur sacro sainte et pieuse tâche de nous chanter ‘’le miracle de Noël’’, nos plumitifs et autres guides médiatiques, n’ont pas consacré grand chose aux bilans pitoyables qu’affichent nos brillantes civilisations judéo-chrétienne et autres, pour ce qui est de véhiculer et, surtout, de mettre en œuvre, les non moins sacro saintes valeurs humaines, humanitaires, que leurs dirigeants affichent et dont ils se battent les flancs aux périodes prévues pour cela.

    Les journalistes ont-ils une si mauvaise mémoire ?

    Ou se satisfont-ils des grands chefs d’un système qui les cajole et les nourrit si bien, afin qu’ils les laissent tranquillement magouiller en paix ?

    Les deux mon adjudant ?

     

     

    (1) Tiens, savez-vous qui dénonce cette escroquerie sur la date et la commercialisation du Noël en question depuis près d’un siècle ? On vous le donne Emile : les…Témoins de Jéhovah.

    Quoi ? Encore eux ? Ils sont décidément partout ces zèbres-là !

    Eh oui ! Et c’est seulement depuis une an ou deux, que quelques medias ont ‘’découvert’’ la chose…en s’appropriant la trouvaille…Rigolo non ?

  • Europe: qui paye?

    Ca y est !

    Il y a quelques jours, Tony Blair est arrivé à ses fins.

    Enfin presque.

    Il a accepté que les subsides européens dont bénéficie l’UK ne soient pas relevés en échange d’une…stabilité absolue de sa contribution.

    Et non d’un supposé sacrifice d’une dizaine de milliards, excusez du peu, dont on parlé certains commentateurs légèrement complaisants à l’égard de l’ultralibéralisme triomphant, voire rampant, dans l’Hexagone.

    L’EUROPE A 80 ?

    Toujours est-il que les pays qui voulaient verser un peu moins au pot européen, ont obtenu satisfaction.

    Relative, il est vrai.

    Ce qui permet, quand même, aux plus gros bénéficiaires des subventions de la PAC de dormir comme d’habitude.

    Tranquilles.

    Les pays qui, eux, voulaient un peu plus, auront également obtenu ce qu’ils voulaient. En revenant, il est vrai, un peu sur leurs demandes.

    Bref, tout le monde il est content.

    Pour le moment.

    D’autant qu’à y bien regarder, le résultat de cette bataille de chiffonniers que nous nourrissons de nos impôts montre bien de quoi est fait l’ardent esprit de cohésion qui doit, ou devrait, animer les 25 et bientôt 27...

    En attendant les 35, d’ailleurs et, pourquoi pas 70 ou 80 puisqu’en fin de compte, il faudrait peut-être bien ne pas oublier que l’esprit européen originel avait, théoriquement, pour but, de faire prendre conscience aux français, allemands, belges, luxembourgeois mais aussi néerlandais, polonais, bulgare et autres hongrois, qu’ils étaient tous, comme c’est curieux, des humains et qu’il serait peut-être temps, pour tous les habitants de la planète, de se rendre enfin compte qu’ils sont, avant tout, citoyens du monde.

    Humains quoi !

    Ceci dit, l’idée première était très morale.

    Voire moralisatrice, tout en empruntant, il est vrai, des chemins économiques. On ne prend pas les mouches avec du vinaigre.

    Néanmoins, il serait utile, là encore, d’éviter de s’embourber dans une regrettable confusion entre cette idée morale, cet idéal humain de fraternité universelle tant attendue, et les fondations purement mercantiles qui finissent par montrer le bout de leur nez, puis leur visage entier, un jour ou l’autre.

    Et de façon pas toujours égoïstes mais tout simplement pragmatique.

    Humaine aussi tiens donc.

    Tristement cette fois.

    LES RICHES DOIVENT DONNER AUX PAUVRES

    Ainsi l’Europe s’est construite sur l’idée force de la disparition des frontières et des droits de douanes, ferment idéal d’une fraternité européenne délivrée des appétits guerriers, et sur laquelle allait croître et embellir une prospérité tant attendue par des générations ayant connu les années misère, les espoirs déçus des années 30, la guerre et les privations (1).

    Les chefs européens en décidèrent donc.

    Et c’est donc parti.

    Mais, durant les trente glorieuses, personne n’ bien souligné que les principes européens concernaient des pays aux revenus assez similaires alors qu’après coup, les avantages communs ont été étendus aux impécunieux. En tous cas aux plus pauvres, voire plus pauvres encore que les moins riches.

    Et là, on n’a guère entendu de crâne d’œuf venir nous expliquer en détail ce que signifiait pour un pays qui y arrive au plan financier, s’allier à un autre, voire d’autres, qui crient famine.

    Car si, à ce moment-là, et après une médiatisation suffisante, les français s’étaient rendu compte qu’il allait falloir donner de plus en plus d’argent, tout en en recevant de moins en moins, on se doute qu’un éventuel référendum aurait largement anticipé sur le dernier et pitoyable résultat que l’on sait.

    Car parmi les raisons profondes du dernier et cuisant score, ces mêmes crânes d’œuf osent, désormais, déplorer que les Français craignent qu’on vienne leur prendre leurs emplois en même temps qu’on leur imposera de nouvelles charges.

    Les vilains Français que nous sommes, se seraient ainsi rendu coupables de ne pas savoir apprécier tout les avantages qu’il y a, pourtant, à donner aux autres afin qu’ils s’enrichissent, ne fut-ce que petit à petit.

    Honteux, n’est-il pas ?

    Ces abominables frenchies ne veulent donc pas mettre en pratique le sacro saint judéo chrétien selon lequel il faut savoir partager ses richesses.

    Une saine et sainte notion que partagent, d’ailleurs, non seulement les experts économiques, mais également les représentants des medias, les hommes politiques, et les PDG, dont les salaires vont de dix mille à un million d’euros environ.

    Par mois évidemment.

    Eh bien, n’en déplaise à tous nos guides, dirigeants et gourous divers, parmi les raisons de l’affaiblissement, voire de la méfiance à l’égard de non pas l’idée Europe mais bien de la manière dont elle est mise en oeuvre, il en est une très simple.

    Les français n’ont pas, mais alors pas du tout, envie de se voir enlever le pain de la bouche par une économie commune qui ne profite, en priorité, qu’aux plus malins, en fait aux plus proches du pouvoir : gros propriétaires terriens, chefs d’entreprises, monopoles etc.

    Car, quels sont les avantages concrets, constatés, bien réels pour le citoyen de base à mille euros par mois, à savoir les smicards et la majorité des retraités?

    Augmentation du coûte de la vie, des impôts locaux et sur le revenu, perte d’emplois, délocalisations, disparition des avantages sociaux, baisses des salaires hormis les cadres sup, augmentation démesurée des stages peu ou pas payés et des CDD non renouvelés, raccourcissant le temps nécessaire à la perception des indemnités chômage tout en abaissant les statistiques officielles, bref, la cata !

    SIMPLE MENSONGE

    Se voir taxer de mauvais européens voire de mauvais citoyens, alors qu’on nous pressure de plus en plus et que l’ultralibéralisation n’en finit pas de s’installer en prenant ses aises à nos dépens, relève soit de l’incompétence, soit de l’inconscience, soit du ‘’simple’’ mensonge.

    Et très probablement de deux ou trois à la fois.

    Tiens, une question, avant d’aller pondre un autre papier : ‘’Pourquoi, pour la plupart des grandes questions qui engagent directement ou indirectement nos dépenses et nos rentrées, ne pas organiser disons une à quatre fois par an, un scrutin au travers duquel les Français, mais aussi tous les européens, pourraient donner de la voix et de leurs voix afin de dire oui ou non aux décisions qui, dans l’état actuel des choses sont prises par ceux qui n’en souffrent guère ?’’

    Ca s’appellerait la démocratie directe non ?

    Les questions sont simples à poser non ?

    Que voulez-vous faire de vos sous ? Estimez-vous suffisantes les subventions européennes à votre égard ? Et les allocations ? Voulez-vous qu’on investisse, et à telle ou telle condition ? Quelle vie désirez-vous vivre en un mot ?

    Nos crânes d’œuf sont fort capables de nous concocter une, enfin, réelle démocratie à la française non ?

    Enfin, pour en revenir aux soi disants avantages du système économique européen, on en a assez de s’entendre traiter de passéistes, ringards et de populistes par des zèbres qui peuvent se permettre d’être généreux avec l’argent des autres.

    Et puis dites, lorsque vous avez des difficultés de fin de mois, qui, dans votre voisinage, s’offre à vous venir en aide momentanément jusqu’à ce que vous ayez retrouvé votre stabilité ?

    Charité bien ordonnée commence-t-elle par les autres ?

    Egoïstes nous ?

    Tiens ! Combien gagnez-vous ?

    Parce que si vous y arrivez avec un ou deux SMIC voire trois et un ou deux mouflets à la maison, dites-nous comment.

    On fera suivre.

     

    (1)Tiens ! Dans privatisations il y a privations…

  • Colonies, dette publique: même histoire

    L’annonce du pharamineux montant de la dette publique, nous a convaincus, s’il en était encore besoin, que, deux points ouvrez les guillemets,’’ plus ça change et plus c’est pareil’’.

    Ceci pour répondre à quelques uns de nos contradicteurs qui, assez régulièrement nous taxent de populisme, de politicards du Café du Commerce, d’attento-passéistes velléitaires, voire de nihilistes se complaisant dans la critique et dont le maître mot en matière d’évaluation de l’actuelle conjoncture serait ‘’tous pourris’’.

    COULEUR MURAILLE

    A propos de ce dernier jugement sommaire de la chose et de la gent politiques, nous avouons humblement qu’il nous est difficile, jour après jour, de discerner une différence entre les erreurs voire les turpitudes de bords différents, aussi opposés soient-elles.

    Pour nous, les mécréants, les délinquants mais aussi les orgueilleux et coûteux incompétents n’ont qu’une couleur, celle de la malfaisance.

    Couleur muraille si possible pour tromper le gogo.

    Et sans aller jusqu’aux évoquer crimes et délits, nous sommes dans l’impossibilité de discerner une véritable dissemblance entre droite, gauche, centre, centre droit, gauche centriste, et droite médiane, sans compter les courants et tendances diverses peu perceptibles dans les votes de l’Hémicycle, mais bien présents dans les discours destinés au petites gens.

    Pour la simple raison que côté dette publique - ah on y arrive ! -, les divers gouvernements depuis vingt à trente ans, on laissé filer, ou encouragé les dépenses publiques et ont, - aussi commode qu’irresponsable - systématiquement rejeté cette ‘’faute’’ sur leurs prédécesseurs.

    A propos…

    Concernant ladite dette, on attend encore la voix d’un quelconque homme politique, voire syndicaliste, qui aurait, tout de même, eu le bon goût d’estimer pitoyable de faire annoncer un nouveau et prochain serrage de boulons par un…banquier.

    L’indécence n’a pas de limites.

    Instaurer, fut-ce à la va-vite, un Comité paritaire quelconque, composé de syndicalistes, chercheurs, politiques et…banquiers pourquoi pas, afin d’annoncer la nouvelle sur un ton cérémonieusement contrit, aurait eu, sinon une certaine classe, du moins une apparence de respect pour les cochons de payants qui savent bien que c’est eux qui, finalement, devront cracher au bassinet.

    .Mais non !

    Le Système jette le masque !

    Si vous n’aviez pas compris que la France,- en fait vous immondes fainéants de Français qui vous vautrez dans le luxe et le stupre -, vit au-dessus de ses moyens, vous allez comprendre qu’il va vous falloir apprendre à vous serrer la ceinture !

    Comment vous le faites déjà ?

    Ce n’est évidemment pas assez vous le voyez bien puisque les banquiers le disent !

    BIENTOT 50 HEURES ?

    D’ailleurs, les pauvres financiers de Bosch nous l’ont bien fait savoir qui, après avoir accepté paritairement de revenir aux 36 heures promis juré craché ça suffira, se découvrent à leur tour en annonçant, que ça vous plaise ou non : ‘’Désormais ce sera 40 heures, sinon, on ferme.’’

    En attendant donc, si on suit leur démarche et si les ouvriers et employés acceptent, d’en arriver aux 45 puis 50 heures etc…

    Oui mais couinent même les économistes, la France, tout le monde le reconnaît même les amerloques c’est dire, est en pointe de la productivité pour l’efficacité de ses travailleurs !

    Qu’à cela ne tienne, il va falloir faire encore plus !

    Pour en arriver où ?

    Vous voyez la Chine ?

    Eh bien, si vous faites mieux vous conserverez votre boulot !

    Sinon on ira là-bas. Ou en Inde si entre-temps ils n’ont pas augmenté leurs salaires…

    COLLEGE JEHANNE DE FRANCE

    Alors ?

    Qu’est-ce qui nous pend donc au nez avec ces cordons de la bourse qui vont nous étrangler ?

    Oh très simple !

    Quand on dit que l’Etat va vivre chichement, il ne faut pas rêver.

    Ce n’est pas demain que les ministères vont rouler en deuche, que les notes de frais pour les pince-fesses divers, les repas de galas, les alimentaires réceptions et les dîners républicains vont baisser, ni les salaires des hommes politiques diminuer.

    La République Sociale se doit de respecter les acquis des salariés n’est-ce pas ?

    Non, ce qui va baisser ce sont les services rendus aux Français qui les paient déjà chèrement.

    Dernier exemple en date, les instits dont les niveaux de difficultés de concours se relèvent à tout va que c’en devient du pur délire.

    Avec la complicité évidente du corps enseignant ‘’supérieur’’ lui-même qui veut ainsi ‘’relever le niveau’’.

    Ce qui, mathématiquement, va faire baisser le nombre d’enseignants publics.

    Pour faire place au…privé.

    Lequel est largement subventionné, tiens comme c’est drôle, par les fonds…publics !

    Et lequel privé, mise en condition du public à l’appui, présente toutes les garanties ou apparences d’un l‘enseignement moral et disciplinaire, enfin, de grande qualité.

    Lequel est propre à redonner confiance aux parents largués.

    Largués et, de toutes manières, bien contents de déléguer leurs responsabilités parentales à des mercenaires.

    Ces derniers les déchargeant bien volontiers, du temps qu’ils consacreront à faire toujours plus de blé au sein du système marchand made in USA.

    Dans un proche avenir, chers concitoyens parents, si vous voulez un enseignement correct pour vos gamins ou ados, il vous faudra les inscrire au collège Jehanne de France, ou au Lycée Saint Joseph.

    Si vous n’avez pas les moyens, c’est votre problème.

    D’ailleurs, signe d’efficacité d’un enseignement rigoureux, ces établissements accueillent désormais nombre d’enfants musulmans.

    L’argent ne reconnaît qu’une religion. La sienne.

    AUTOROUTES CADEAUX

    Autres services publics ?

    EDF ? Les autoroutes ?

    Ces derniers, en particulier, sans que l’opposition ne moufte, sont dans l’escarcelle du privé.

    Bien que la quinzaine de milliards récupérés n’arrivera tout juste qu’à boucher le trou de la Sécu…un an seulement.

    Alors que l’Etat aurait pu préserver cette vache à lait fort rentable (raison évidemment de la privatisation sans appel aux petits épargnants), en vue de l’amélioration de l’infrastructure.

    On est loin des colonies peut-être ?

    Pas du tout ballot.

    La colonisation a ceci de spécifique qu’elle institutionnalise le système suivant lequel les puissants, les fortunés, les dominants imposent leur loi aux dominés.

    A quoi assistons-nous donc au travers de ces exemples ?

    Simplement au fait que les colonisateurs n’ont même plus besoin d’aller bien loin exercer leurs talents de civilisateurs.

    Un vrai civilisé, n’est-ce pas, a pour mission d’apprendre à un sauvage à se civiliser à son tour.

    A changer sa manière de penser.

    A révérer l’autorité, fut-elle insupportable.

    Pour devenir, à son tour, un civilisé.

    Certes, en nombre restreint.

    Mais outre que sa rareté rehaussera sa valeur personnelle, il sera un exemple de démocratie véritable à l’intention de tous ses sauvages congénères.

    Ils pourront ‘’y arriver eux aussi’’.

    S’ils sont bien sages.

    Bon !

    Alors avec toutes leurs histoires de vilains colonisés, nous, ici, on persiste et signe et on s’évertue à dire bof, bof, et re-bof !

    Colonies, dette publique, privatisations, toutes ces catastrophes sociales ne sont que des épiphénomènes archétypiques - en plus clair, des détails révélateurs - exemplaires de la décadence, de la barbarie dans laquelle notre société s’enfonce, à grands renforts de litanies déculpabilisantes de ‘’Liberté, Egalité, Fraternité’’.

    Certes, il est bon de s’indigner.

    Mais pas à faire prendre des vessies pour des lanternes au bon peuple.

    Et à lui donner des leçons de grandeur libertaire, humanitaire et démocratique.

    Les vrais problèmes et les vrais combats si vous vous en sentez, c’est ici et chez nous qu’ils sont.

    Pas ailleurs.

    Et pas dans le passé.

    Riches et pauvres.

    Dominants et dominés.

    Le roi Salomon qui s’y connaissait en fric et pouvoir, mais pas toujours en sagesse enfin pas tout le temps, le savait bien qui disait ‘‘L’homme domine sur l’homme pour son malheur’’.

    Pas le malheur du premier, celui du second.