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actualité - Page 5

  • Chasse: honorabilité, impunité.

    Et voilà !

    Un de plus un de moins !

    Un chasseur tueur de plus et un ramasseur de champignons de moins.

    Evidemment bien sûr, le chasseur n’a pas fait exprès – il n’aurait plus manqué que ça ! – et le ramasseur, eh bien, il n’avait qu’à être ailleurs n’est-ce pas ?

    Ou tout du moins savoir que la campagne et la forêt, en bref, la Nature, était la propriété des un million et demi de chasseurs et accessoirement, de la Fédération Chasse Pêche et Tradition.

    La Tradition, vous savez ?

    Médiévale, préhistorique quoi.

    Car au jour d’aujourd’hui, il est tout de même possible, comme jamais, de satisfaire les gastronomes, les mangeurs, et même les baffreurs, les plus exigeants, avec un tas de bidoches domestiques qui peuvent être préparées de toutes les manières possibles.

    Mais non, il faut du gibier.

    Tiens ! Vous savez comment les anciens chasseurs, disons il y a encore une trentaine d’années et au-delà, mangeaient la rarissime bécasse et souvent nombre d’autres gibiers du même fumet ?

    Ils pendaient l’oiseau à une ficelle et le laissaient…pourrir.

    Ils ne le mangeaient que lorsque les liquides de la décomposition commençaient à suinter au bout du bec !

    Délicat n’est-il pas très cher ?

    Les vrais de vrais chasseurs (qu’est-ce que cela veut dire ?) se définissent donc à leurs goûts élégants et raffinés mais l’argument tombe du fait que des gibiers rares, il n’en existe plus guère et que ceux qui sont livrés à leurs virils appétits, sont, généralement, lâchés le matin même de la journée de chasse, après avoir été engraissés et maternés dans des enclos d’où ils ne sortiront que pour être mitraillés, quelquefois, à la porte de leurs cages !

    Même s’ils survivent à cette première glorieuse journée, ils ne se feront pas de vieux os, complètement déshabitués de la vie sauvage qu’ils n’ont en fait jamais connue.

    C’est beau la chasse non ?

    La lutte à armes égales entre l’homme courageux seul en face du féroce animal!

    Comme ce genre de combat ne satisfait pas outre mesure l’ardeur nos hardis combattants, protecteurs de l’Environnement, animaux compris, il ne faut donc pas s’étonner qu’ils fassent, de temps à autres, des cartons sur les ramasseurs de champignons, qui menacent effroyablement leur suprématie revendiquée naturelle.

    Voire même, à l’occasion, sur un propriétaire pas du tout content que les zèbres en treillis camouflés (on est virils ou on ne l’est pas) viennent pétarader à proximité des maisons et en faisant dégringoler leur plombs dans les jardins ou sur les toits des maisons, comme j’ai pu le vivre moi-même, dans la région marseillaise, département de chasseurs de casquettes.

    CHASSEURS DE CASQUETTES

    Les chasseurs de casquettes vous ne connaissez pas ?

    Il y a déjà une cinquantaine d’années, alors que le gibier se faisait, déjà, fort rare, les ‘’cassaïres’’ marseillais, lorsqu’ils avaient terminé leur matinée de chasse avec peu ou pas de résultat, se retrouvaient pour leur festival intime, sauciflard calendos kil de rouge, en rigolant de leurs dernières couillonnades du matin ou de la dernière chasse.

    Ils n’en manquaient guère.

    Et, pour ne pas perdre la main, en guise de dessert, ils entamaient un  concours de tir en lançant en l’air leurs casquettes…

    Le vainqueur était, évidemment, celui qui en bousillait le plus.

    Et ils rentraient à la maison en rigolant comme des malades, car ils concouraient, aussi et pour la semaine suivante, pour la plus belle engueulade de leurs bobonnes qui en avait un peu marre d’avoir à payer une casquette neuve tous les quinze jours trois semaines.

    Au moins, Marseille et les alentours en rigolaient autant qu’eux.

    Et ils ne déquillaient pas de ramasseurs de champignons.

    Mais bon !

    Tant que nous aurons d’écologiques hommes politiques, qui, bravement bien sûr, oseront réprimander les nations du monde entier en leur donnant des leçons de protection de la Nature à la française…

    Un ramasseur de champignons de plus ou de moins, est-ce que cela pèse dans le bilan global ?

    Ah ! Au fait !

    Le chasseur tueur étant un sapeur pompier très bien considéré dans son village et fort respecté dans le département, n’a pas été mis en taule.

    Pensez un peu !

    Si les gens bien honnêtes et bien paisibles ne peuvent plus tirer à vue sur leurs semblables, où allons-nous ma doué ?

    Y aurait-il que les seuls gangsters qui auraient ce droit ?

    Dites…vous êtes honnêtes et honorablement connu ?

    Ben ce serait peut-être le moment où, peut-être, en douce, des fois, hein, votre belle-mère, votre percepteur, voire le voisin qui vous réveille avec sa tondeuse à gazon,…hmmm ?

    Un nettoyage de fusil malencontreux, ou une utilisation maladroite du bidon de mort au rat placé, par erreur, dans le buffet aux apéritifs, non ?

    Ca ne vous tente pas ?

    Mais attention ! Seulement si vous êtes honorablement connu !

    A cette seule condition, vous éviterez la taule et  bénéficierez, sûrement, du sursis.

    Mais ne le dites pas trop à vos copains ou copines. Ca finirait par attirer l’attention.

  • SECTES: encore la trouille?

    Voilà voilà. J’arrive.

    Oh ! eh ! Je suis encore en pantoufles hein ?

    On n’est pas dans l’huile bouillante non ?

    En plus je ne suis pas encore tout à fait calmé.

    Avec cette histoire d’animaux domestiques qui vivent de plus en plus vieux, statistiques obligent, que vient de m’apprendre mon journal favori, on oublie en même temps que les vieux, eux, on les fait vivre, de plus en plus comme des animaux.

    Et ça commence de plus en plus jeune.

    Dès 50 ans, au boulot, t’es mort.

    Moi, dès 48-50, dans mon canard, les p’tits jeunes me faisaient sentir que croulant j’étais, plus croulant encore j’allais devenir. Et qu’il me fallait débarrasser le plancher. Vu que je commencerai très bientôt à dérailler, à baver en parlant voire à oublier de fermer ma braguette après la vidange de 10 heures.

    Odieux au point qu’un jour, j’ai dit à mon rédacteur en chef, - que j’avais vu arriver en veste de velours et guitare et en chantant ‘’les patrons sont des cochons’’ et qui s’était retrouvé, vite fait, seulement 8 ans plus tard aux commandes de la machine à décerveler les cherslecteurs,- je lui ai donc dit:’’Le fauteuil où tu es assis, il m’appartient un peu, de même que le bureau, et un peu tout le reste du journal…30 ans de boulot ici quand même’’

    Réponse méprisante de l’autre ‘Tu sais, nous sommes tous dans ce cas…J’ai autant que toi…’’

    Ouai, sauf que lui sa part dans l’entreprise elle était plutôt mince.

    Et que quand il l’a mise en faillite il s’est barré avec 200 patates.

    Et un fauteuil tout chaud comme dircom du conseil général.

    Qu’il avait encensé durant tout le temps qu’il était rédac-chef.

    Quant à son honorabilité, honnêteté tout simplement, éditoriale…

    Bref..

    Enfin on y reviendra.

    ET LES STATS ?

    Donc, où on en était hier. ?Ah oui.

    Aux sectes en général et aux Témoins de Jéhovah en particulier.

    Et à quoi précisément ?

    Ah oui.

    A la transfusion sanguine.

    Vous savez ce qui fout le trouille ? Et qui se vend bien ?

    Bon, on s’y met.

    Dites, si on commençait par le bon bout ?

    Par exemple, si on commençait par établir un tableau statistique des morts à cause du manque de transfusions avec, juste à côté, le nombre de morts mais A CAUSE des transfusions, hmmm ? Pas possible ?

    -Eh non ballot, il n’a jamais été fait.

    -Tiens ! Et pourquoi donc ?

    Suspense…

    Vous avez déjà vu, dans les hopitaux ou dans les sacoches des visiteurs médicaux, des tableaux comptabilisant le nombre de morts causés par des médicaments qui ont fini par être interdits tant leur nocivité devenait impossible à cacher ?

    Non n’est-ce pas ?

    C’est ce qui explique l’inexistence d’un imaginaire et éventuel tableau comparatif cité plus haut.

    Comme je suis gentil, tout en étant journaliste, je ne vous parlerai pas, mais je le ferai quand même, du scandale du sang contaminé.

    Dont notre candidat à la candidature socialiste - tellement socialiste qu’il avait fait enlever toutes les bagnoles des rues de son quartier pour permettre à tous ses invités à son mariage de stationner pépère (1) – s’était auto absout de cette sanglante histoire par la voix splendide de sa ministresse qui s’était reconnue, avec les copains, responsable mais pas coupable.

    En oubliant, tout de même, que dans cette histoire, un petit moyen groupe avait fait pas mal de flouze sur la vie des gens.

    Tuer pour gagner du fric ou se maintenir au pouvoir, c’est quoi dans le Code Pénal ?

    Homicide par imprudence ?

    Même pas.

    Une ou deux lampistes au gnouf, mais qui ont bien profité aussi, et pffuit ! on n’en parle plus !

    Et les milliers de malades, défunts ou morts en sursis, et même pas indemnisés ?

    Le sang toujours panacée ?

    Accident de parcours cette affaire?

    Donc désormais plus jamais ça ?

    Bien.

    FAITES L’EXPERIENCE

    Puisqu’il est bon de toucher du doigt pour savoir vraiment, alors, tenez, faites l’expérience, vous-mêmes et aujourd’hui si vous en avez le temps.

    Allez donc chez votre médecin et demandez lui si, en cas de transfusion, il peut vous affirmer, par écrit bien sûr, qu’il n’y aura jamais, à 100%, voire à mille pour cent, de problème de transmission contaminante, genre SIDA, hépatite, C, syphilis et autre maladies exotiques diverses.

    Vous connaissez pas la réponse ?

    ‘’Hmmm, oui, bon. On peut pas dire mais de nos jours, le pourcentage de risques est infime. De l’ordre de 1 pour mille, voire pour cent mille, ou moins encore. Du genre autant chances de gagner au loto quoi.’’

    Correct non ?

    Bon, eh bien d’accord.

    Mais…après vous cher ami.

    Si ça vous tombe dessus, les stats c’est du 100% d’échec.

    Si vous voulez tenter l’aventure…

    A votre avis, quelle devrait, pourrait, être une attitude vraiment scientifique en l’occurrence.

    Laissez moi vous raconter une histoire.

    Vécue encore.

    Il y une vingtaine d’années (toujours des histoires de pépé je sais), vient me voir un ponte du Lion’s Club. Costume trois pièces, cravate club, sympa - ben il y en a aussi - il me demande si je pouvais lancer une campagne dans les colonnes du canard, pour aider l’Institut Arnaud Tzanck, Centre de Transfusion Sanguine des Alpes Maritimes, qui, en association avec le Laboratoire de Chimie Moléculaire de l’Université de Nice, développait un programme de recherche sur les fluorocarbones. En clair, sur le sang artificiel.

    Pourquoi ?

    Eh bien, ces gens-là, les chercheurs, n’étaient pas des navets, et ils se rendaient bien compte qu’avec les TS il y avait des problèmes.

    Comme il y en a toujours eu, même si les transfusions ont probablement sauvé des vies, surtout pendant les guerres, tiens, c’est curieux cette association là. Et si on faisait plus de guerre d’ailleurs ?

    Bon.

    Je trouve donc l’idée excellente, d’autant qu’il s’agit de santé publique et de bénévolat puisque l’Etat Français, très occupé à financer tout plein de choses formidablement utiles ailleurs, avait trouvé cette chose-là pas formidable du tout.

    La santé publique, n’est-ce pas, c’est important que de temps à autres…

    J’ai donc fait tout mon possible.

    Ils ont reçu des aides. De particuliers et de quelques associations.

    Et puis plus rien.

    EN CALIFORNIE ?

    Résultat ?

    Quelques années après, j’ai repris contact avec eux pour savoir où en étaient les recherches.

    Des deux patrons de la chose, les docteurs Riess et Follana, l’un je n’ai pas pu le retrouver, l’autre était parti…en Californie.

    Où les Ricains ont mis au point le Fluosol qui, dans des cas bien précis, peut servir à remplacer le sang sans risque de transmissions que ce soit.

    Mais avec des imperfections qui l’empêchent d’être fabriqué et utilisé industriellement…pour le moment.

    Car on peut leur faire confiance. Il y a un max de blé à se faire avec ce machin.

    Cette histoire me prouve deux choses, une, que le jour où les US auront mis au point le produit correct, nous serons, en France et dans le monde, obligés de payer des royalties pour l’acheter.

    Deux, que la mise au point d’un produit synthétique, d’un sang artificiel, répond à un besoin réel.

    Ce besoin était précisé dans la plaquette diffusée par le Lion’s, et dont je peux vous donner une photocopie d’ailleurs.

    Ce document notait que l’avantage du sang synthétique était évident : fabrication en grande quantité à moindre coût, stockage facile dans n’importe quelle conditions, stocks disponibles à tout moment en cas de catastrophes (et il y en a), élimination des contaminations possibles (et avec le brassage des populations..), enfin, usage sans problème en cas d’impossibilité physiologique ou…religieuse.

    Eh oui.

    Les Témoins de Jéhovah auraient été intéressés par la chose.

    Et ils ont volontairement servi à l’expérimentation aux Etats-Unis.

    Où ce ‘’problème’’ est abordé de façon simple.

    Le Pr Denton Colley, de Houston, chirurgien spécialisé dans les problèmes cardio vasculaires, a vu arriver des Témoins de Jéhovah qui lui ont fait part de leur problème .

    Vous savez ce qu' il leur a répondu ?

    ‘’Vous êtes clients, vous payez, vous me posez un challenge ? OK. C’est mon job. Je vais chercher.’’

    C’est tout.

    Ce qui fait que lui et ses copains sont devenus des as de la chirurgie sans TS.

    En France, comment ça se passe ?

    ‘’Quoi ? Attendez voir. La loi de la sécu. Le règlement machin. L’article 238, alinéa 32, et le modificatif A 3X de la loi du 12 juillet 1931, vous disent que c’est pas possible. Et comme nul n’est censé ignorer la loi, vous êtes un danger public. Et comme en plus vous dites que c’est une question religieuse, comme vous n’êtes pas très catholique, vous êtes une secte.’’

    Fermez le ban !

    On passe sur le fait qu’il existe un tas d’autres moyens de se passer de TS entre produits de substitution, modes opératoires etc.

    Un exemple ?

    On peut, aujourd’hui, opérer à cœur ouvert sans transfusion.

    On pratique la chirurgie orthopédique, qui saigne pas mal, sans transfusion. Etc. Etc.

    Ne vous méprenez pas.

    Ceci n’est pas un plaidoyer contre les transfusions.

    On maîtrise bien la technique.

    Ce qu’on ne maîtrise pas, c’est les résultats.

    Y compris à long terme.

    Ceci n’est qu’un papier qui souligne que ce problème est tout le contraire de ce que présentent les medias à savoir une idée fixe des Témoins de Jéhovah qui prendraient plaisir à passer l’arme à gauche et à voir mourir leurs gamins.

    La transfusion sanguine est une affaire de santé publique.

    Il s’agit là d’un véritable médicament dont la preuve de l’innocuité absolue est encore à prouver et à trouver.

    Et la Science s’attachant à toujours faire mieux, en particulier dans le domaine des médicaments, devrait chercher sérieusement la solution au problème.

    Pourquoi ne le fait-elle pas ?

    Le sang un commerce ?

    Un système centenaire, un dogme aussi facile à bouger qu’un Himalaya de certitudes et de rentes de situations ?

    Ou quoi encore ?

    ET LA SECU ?

    Quelques année après cette histoire du Lion’s Club, j’ai fait un autre papier sur une clinique marseillaise qui faisait son possible pour épargner le sang. Pour ne pas s’en servir ou le moins possible.

    Le toubib que j’avais interrogé m’avait dit :’’Moi, les TS me coûtent cher, et coûtent cher à la Sécu. Pourquoi ? Parce qu’en plus du risque des erreurs de groupes toujours possibles, il ne faut pas oublier que la TS est une sorte de greffe d’un organe, ici liquide, sur un autre. Qui va réagir à sa manière. En éliminant. On constate pour les opérés avec TS, et a posteriori, des saignements, des fièvres récurrentes, des cicatrisations pas convenables etc. Résultat, les malades restent plus longtemps en clinique et le séjour coûte plus cher. J’en ai fait part à la Sécu, réponse : ‘’Foutez-nous la paix, et servez-vous des poches comme tout le monde’’.

    Ben voilà.

    C’était juste pour vous parler des sectes d’une autre manière que celle qui est faite et présentée, arrangée, manipulée et trafiquée par les radios, télés et journaux divers, pour nourrir l’esprit des cherstéléspectateurs franchouillards.

    Lesquels ainsi conditionnés, seraient donc prêts, si on le leur demandait, à envoyer manu militari les Témoins de Jéhovah en camps de concentration avant, bien sûr, en chambres à gaz.

    J’exagère ?

    Et les Juifs en 40-45 en France éternelle fille aînée de l’Eglise ?

    Et les Arabes ?

    Et les Noirs ?

    Justement, pour les Témoins, on oublie un peu beaucoup, aussi, qu’en 39-45, ils s’y sont retrouvés dans les camps. C’était les Triangles Violets. Ils ont payé cher le courage de ne pas renier leur religion, de ne pas dire ‘’Heil Hitler’’, de ne pas porter l’uniforme, de ne pas faire la guerre, et même, une fois dans les camps, de ne pas coudre des couvertures destinées aux troufions allemands du front de l’Est. Ce que ne faisaient pas d’autres non Témoins qui acceptaient, d’ailleurs, de fabriquer des pièces de chars et de camions ou de V1 et V2, certes en les sabotant pas mal, mais tout de même…

    Bon.

    On en reparle demain.

    Et puis dites, au cas où ça vous démange, non, je ne fais pas de la retape pour les Témoins de Jéhovah, non je ne suis pas leur porte parole, non je ne veux pas vous convertir.

    Je suis journaliste tonnerre de Brest !

    Et je ne vous parle que de choses que je connais.

    Que j’ai vues, que j’ai touchées du doigt.

    Allez, je m’arrête avant de m’énerver à nouveau.

    Salut.

  • POLLUTIONS CHIMIQUES: 100.OOO produits en liberté..égalité..fraternité

    Et voilà !

    On le savait déjà mais, face à des réalités qui se rappellent à nous de manière précise, chiffrée, expérimentée, authentifiée par des vrais gens ou organismes connus pour leur objectivité, ce genre de ‘’découverte’’ fait froid dans le dos.

    Quelle découverte ?

    Eh bien celle issue d’une expérimentation sur les membres d’une famille lambda dans les organismes desquels on a trouvé entre 25 et 35 produits chimiques tous propres, si l’on ose ce terme, à causer de multiples désordres dont le moindre serait quelque chose comme le cancer ou des trucs approchants.

    100.000 DANS LA NATURE
    25 à 35?
    Pfff, pas trop graves en réalité, quant on pense aux quelques 30 à 50.000 mis en listes, sinon en fiches, par la commission de gentils fonctionnaires européens qui ne se sont pas battus - nous on obéit aux ordres n’est-ce pas ? - pour rouspéter lorsqu’on leur a intimé l’ordre de réduire la liste en question de 50 à 60.000 à une trentaine de mille, vu que les lobbies du chimique sont aussi menaçants, redoutables et efficaces que les produits qu’ils fabriquent.

    D’ailleurs, les 30.000 produits ne sont pas grand’chose par rapport aux 100.000 et quelques qui se baladent dans la Nature sans être inquiétés, sans même inquiéter ceux qu’ils intoxiquent, dans le droit fil d’un des principes fondateurs de notre civilisation, qui veut que rien n’est dangereux que ce que l’on connaît.

    Sûr que si l’on ignore qu’on s’intoxique et avec quoi, on peut vivre heureux.

    Pas longtemps mais heureux.

    En fait, - si l’on considère comme exacte l’acception du terme imbécile comme celui qui ne sait rien du tout en croyant savoir - l’on peut donc vivre comme un imbécile heureux.

    Donc heureux quand même…jusqu’au jour où on passe l’arme à gauche sans savoir pourquoi…ou en l’apprenant.

    Ce qui est pire.

    Le danger, bonnes gens, c’est de savoir que l’on a un cancer ou une cochonnerie de cet acabit, pas de l’avoir en l’ignorant.

    A part si ça vous tord les boyaux ;

    Pas gai tout ça ?

    Pas vraiment.

    D’autant que les crânes d’œufs chargés de la Santé Publique et de la vie des citoyens dont ils ont la charge, semblent fort n’avoir rien à cirer de ces deux choses auxquelles nous avons le curieuse obstination de tenir beaucoup.

    EECSROCS ET FRAUDEURS PARTOUT

    Sur qui compter ma doué?

    Sur les associations de consommateurs qui nous aident à…consommer un tas de trucs dont on pourrait souvent fort bien se passer, et sans nous dire les pervers effets secondaires que leur acquisition recèle, hormis, bien sûr, le temps et l’argent qu’ils nous font perdre à les acheter et à nous en servir ?

    Pas vraiment non plus.

    Alors ?

    Sur les ONG qui se décarcassent à nous mettre en garde alors que nous n’avons pas d’autres moyens que de tenter d’éviter les gnons à coups de portefeuille en achetant propre, pur, voire bio, en sachant que ces produits sont aussi chers que non vraiment garantis, vu que les labels font toujours place à des produits qui ne sont pas naturels du tout et que les escrocs et fraudeurs ont, eux aussi, pas fous, investi ce créneau, aussi juteux que propice à toutes les interprétations scientifico-naturalistes, donc, diversement subjectives.

    A qui se fier ?

    Prier est, probablement la seule ressource de ceux qui croient.

    A ceci près que là aussi, les religions ayant pignon sur rue…hein ?

    Et les petites, les nouvelles ?

    Ben, on serait tenté de penser que là, contrairement aux grandes chéries par les médias de la pensée unique, il y aurait matière à réflexion.

    Faut voir.

    En faisant gaffe, tout de même, mais comme disait le papa de mon papa:

    ''Dans la vie, disait-il, il y a deux sortes d’individus : ceux qui cherchent la vérité et ceux-là, s’ils sont sincères, ils la trouveront un jour.Et puis, il y a les autres, ceux qui cherchent à avoir raison. Et ceux-là, ils auront toujours raison.''

    Voili voilou.

    On est partis loin ?

    Pas tellement.

    Quoi que vous puissiez en penser, l’on n’est pas si éloignés que ça des cochonneries qu’on nous fait manger, respirer et avaler, voire simplement toucher.

    La pollution des corps, c’est aussi celle des esprits, tant que la cervelle fait partie de toute tête qui dépasse des épaules non ?

    En clair : on est mal partis pour arriver tous foutus.

    LIBERTE, EGALITE,FRATERNITE

    -Bèèèh dites donc, zètes pas gais ce soir vous !

    -Ben non mon bon monsieur et ma brave dame. C’était juste pour constater qu’avec ces 100.000 produits chimiques, il y a une justice quelque part ;

    En effet, vu qu’ils se promènent partout et que, contrairement à ce que l’Académie de Médecine nous a raconté sur les frontières fermées au nuage de Tchernobyl, ces vacheries touchent tout le monde.

    C’est comme la maladie ou la mort : tout le monde y passe un jour ou l’autre.

    Et les produits chimiques n’ont aucun respect pour la fonction, le grade, la carrière ou les distinctions et responsabilités les plus hautes.

    Il y a fort à croire qu’entre l’organisme d’un ministre et le vôtre, il n’y a pas grande différence du point de vue du volume et de la variété des espèces indésirables qu’ils contiennent.

    Juste peut-être un peu au niveau du genre…

    Encore que les riches ne devraient pas se faire trop d’illusions : parmi leurs fournisseurs il y a, probablement, autant d’escrocs, de voleurs, de fraudeurs et de menteurs que parmi les vôtres.

    Question de pourcentage c’est tout…

    Et puis dans l’air, pas de frontières très précises ;

    Et là, à moins de se boucher le nez…

    Mais l’asphyxie arrive vite…

    On se contente donc comme on peut mais on est, tout de même assez contents d’être en démocratie.

    Question égalité face aux produits chimiques, on est assez proches finalement.

    Liberté de s’en prendre plein la poire, égalité de s’en recevoir autant ou presque les uns que les autres, et fraternité de maladies.

    Sauf qu’avec la diminution des remboursements, les nantis peuvent évidemment, mieux se défendre.

    Aïe aïe aïe et funérailles…!

    Aucun système n’est parfait allez…

    Encore une remarque.

    On est étonné, tout de même, de voir que si tous les décideurs sont placés à la même enseigne que nous, côté pollution, cela devrait les inciter à batailler dur contre les pollueurs officiels non,

    Or, même pas.

    Curieux non ?

    Ils doivent penser qu’ils ne seront pas atteints.

    Grave !

    Comme ils le seront aussi, cela démontrerait plutôt qu’ils se font de douces illusions et qu’ils sont, donc du genre inconscients.

    Ce qui arrange encore moins nos affaires…

    Bon.

    Qu’est-ce qu’on fait alors ?

    On ne peut pas se passer d'air et d'oxygène tout de même !

    Ben on sait pas bien.

    Peut-être qu’en essayant de respirer moins…

    Des fois que ça marche…

    On vous dira.

    Mais on va y aller tout doucement.

  • James Dean: quelle rébellion?

    Sur la route de Salinas, une étoile s’est éteinte et une génération est née.

    Bigre de bigre que le temps passe.

    C’était il y a trente ans.

    Il ne serait pas vieux aujourd’hui, mais un séduisant quinqua de 54 ans.

    Et aurait, très probablement troqué sa rébellion dorée contre un écologisme nanti et distingué, mais pas tellement bien informé, du genre Richard Gere ou Robert Redford.

    Eh oui !

    Il faut dire que, déjà, la rébellion de James Dean s’exprimait au volant de sa Porsche.

    Et en trois films seulement, il avait atteint le vedettariat qui, aux Etats-Unis, vous met, si vous savez placer vos économies et les fonds de pension sont là pour ça, définitivement à l’abri du besoin.

    Donc rébellion allegro, certes, mais ma non troppo.

    En tous cas bien cornaquée et menée sur le chemin des goûts du jeune public qui constituait, évidemment, la totalité de ses fans.

    Car la rébellion ne peut faire passer son message qu’en embouchant les trompettes de la renommée.

    Et ces trompettes là ne jouaient et ne jouent toujours que des partitions bien réglées, par les spécialistes du show business et du marketing en particulier, qui savent fort bien façonner les envies du public, les transformer en ‘’besoins’’ puis, les satisfaire.

    D’ailleurs, le simple énoncé des trois titres, en dit long sur la subtilité des faiseurs des ''goûts du public''.

    James Dean, sous la houlette de ses patrons, démarra sa carrière avec le simple et presque neutre ‘’A l’Est d’Eden’’ qui parlait plus à un public américain, féru de culture biblique, qu’aux bolcheviks européens.

    Il continua avec le, cette fois, très racoleur ‘’La fureur de vivre’’, qui ne pouvait que ratisser large dans un public affamé de libertés de tous ordres dans une société coincée comme l’était encore la bostonienne et puritaine Amérique du Nord.

    Il termina sa carrière, hélas pour lui, avec l’extrémiste dénomination de ‘’Géant’’.

    Ce terme a, d’ailleurs, donné naissance à l’expression qui parle aujourd’hui, aussi bien aux oreilles US qu’européennes.

    Il y a même un constructeur américain de VTT qui a choisi ce nom pour ses vélos destinés, au départ, aux grands ados et pré adultes californiens, ‘’s’éclatant’’ sur les pentes, entre autres, du Marin County.

    Cette très savante rébellion s’exprimait aussi au travers d’une iconographie non moins subtile où le rebelle posait, avantageusement moulé dans un blue-jeans pas encore délavé mais artistiquement usagé, sous un stetson d’où s’échappaient négligemment et de manière tout aussi artistique, quelques mèches dans lesquelles les boutonneuses et hystériques volailles rêvaient en clubs et en chœurs, de fourrager, en humant les doux effluves miellés de quelque Camel ou Lucky Strike (Smoking was not dangerous at this époque) négligemment portée entre deux doigts de la main gauche, la droite étant probablement fort occupés à des besognes plus prosaïques.

    Derrière cette rébellion, désormais sans entraves, une machinerie donc bien huilée.

    Dans laquelle, hélas pour Dean, l’on ne voyait guère de traces d’une rébellion véritable mais simplement celles d’un Système qui sait, depuis toujours, instrumentaliser tous les sentiments, toutes les peurs, toutes les aspirations des humains, au profit de la seule rentabilité monétaire.

    Depuis les pères fondateurs, et malgré la ‘’meilleure constitution du monde’’, la non moins ‘’meilleure démocratie de la planète’’ continue toujours à ramer tant qu’elle peut à convertir la Terre à la pensée et aux pratiques étasuniennes : la démocratie néolibérale.

    Comme si la démocratie pouvait se mesurer en termes économiques…

    Triste ?

    Plutôt oui.

    Car s’insérer dans une autre Système, différent voire même contraire, ne sert à rien d’autre qu’à intégrer un machin parallèle visant les mêmes objectifs par des voies différentes.

    D’autant qu’avec l’OMC et le nouvel ordre mondial d’obédience washingtonienne, ou plutôt ‘’Wall Streetienne’’, ce n’est pas demain la veille qu’on verra naître quelque véritable indépendance de pensée et d'action dans quelque pays que ce soit.

    Quand on voit ce que signifie le ‘’communisme chinois’’…

    Le rouski?

    Mieux vaut n'en plus parler.

    Le nôtre?

    Pardon? 

    Le cubain peut-être?

    Le pouvoir y exerce, là-bas, des contraintes aussi, simplement différentes mais tout aussi efficaces sur l’individu et ses velléités de penser et de vivre autrement.

    Le moldo valaque éventuellement...

    Ou le mongol, de l'extérieur évidemment, avec ses rennes et sa taïga romantiquement sans fin.

    Et hachtement frisquette... 

    Bon ! Ca me fout le bourdon ce soir tous ces trucs.

    23H45 ?

    Allez zou !

    Je vais au lit.

    A la revoyure les collègues.

    Enfin à demain ou demain et demi. 

  • Coluche: miracle?

    Il y a vingt ans, les restos du Cœur naissaient.

    Il y a 19 ans, Coluche mourait.

    L’on ne va pas larmoyer, juste regretter.

    Quelques petites choses du genre : ‘’Si les petits savaient que les grands sont souvent plus petits qu’eux, ils se mettraient à grandir. Ou alors ils resteraient tout petits.’’

    Aimé ou honni, il n’aura, de toutes manières, jamais laissé personne indifférent.

    Honni, certes, il l’aura été par toutes et tous ceux dont les agissements méritaient d’être dévoilés...à leur grande honte évidemment.

    Et apprécié, aimé, il l’aura été, et l’est encore, par ceux qui avaient à pâtir de ces choses et de ces gens qu’il dénonçait.

    Nous l’avons, ici, fort apprécié.

    Sauf les obscénités - excusez siouplait mais c’est comme ça qu’on les appelle - dont il a largement émaillé ses discours, surtout vers la fin de sa vie.

    Elles n’ajoutaient absolument rien à la justesse de sa critique, du système et de ceux qui l’animent, et lui aliénaient, quelque part, et quelque peu ceux pour qui il représentait pourtant un espoir.

    Ahurissant, d’ailleurs, qu’il ait fallu qu’un amuseur public - il était d’ailleurs, bien plus que cela – entame un travail d’assainissement de la vie publique, à la place de ceux que les citoyens élisent généralement pour le faire.

    Il était, certes, toléré tant qu’il ne s’est pas attaqué aux fondements du Système.

    Néanmoins, dès lors qu’il s’est permis de frapper haut et fort, en fait, très fort et tout en haut, le système ne pouvait le lui pardonner.

    Insolence suprême. Lèse majesté.

    Bref : il devait disparaître.

    Une relation de cause à effet ?

    On a, presque, tout dit sur les circonstances de l’accident dans lequel il a perdu la vie.

    Vitesse excessive, imprudence, route dangereuse, jusques et y compris les suppositions d’élimination subreptice par les soins de certains services spéciaux.

    Hypothèse plutôt fumeuse, dans le style des ‘’On vous cache tout et on vous dit rien’’, ou ‘’X-file vous révèle ce que personne n’osera jamais dire’’.

    En effet, et entre autres difficultés, comment minuter aussi bien un accident entre un fou de vitesse et un bahut pas très facile à mettre en place dans l’ignorance du timing prévu ou supposé de la cible à atteindre ?

    Encore que…

    Toutefois, les articles consacrés à l’accident n’ont pas été très prolixes de détails ni à l’époque, ni au fil des anniversaires consacrés plutôt à ce que Michel Colucci a laissé de plus humain, de plus humanitaire pour dire le vrai, dans la mémoire collective, ses Restos du Cœur.

    Il reste, tout de même, que ce malheureux ou heureux hasard, selon les uns ou les autres, relève d’une coïncidence dont notre métier nous a appris, au fil des décennies, à nous méfier.

    Cette mort arrangeait bien du monde.

    Sans jouer aux découvreurs de mystères cachés ou aux démystificateurs des versions officielles des évènements marquants de notre époque, ce genre d’évènements mérite bien, ‘’mon cher cousin’’, le qualificatif de ‘’bizarre’’.

    Il y en a pas mal de ces espèces de coïncidences qui nous dérangent.

    ET HITLER ?

    Ainsi, dans un domaine diamétralement opposé et, tout à fait a contrario, bien entendu, celui des destinées de certains ‘’grands hommes’’ dont la trajectoire semble soumise à des lois qui nous échappent.

    Voyez Hitler.

    Cet individu, dont les suffrages d’une trentaine de millions d’Allemands ont fait un véritable dieu, s’est avéré être en fin de compte, non pas un génie, sinon du Mal, mais, tout bêtement, un simple opportuniste qui a réussi.

    Réussi à l’aide de ses haines hystériques, nées du mépris des autres pour ses prétentions artistiques, de ses envies déçues pour tout ce qu’il n’avait pu être, les riches grands bourgeois, et de son besoin de trouver plus misérable que lui, développant ainsi le syndrome classique du ‘’petit blanc’’.

    Genre cajun raciste des états du Sud des USA.

    Tout cela a surdéveloppé en lui une ambition dévorante, un désir agressif, violent, forcené, de reconnaissance qui l’a conduit à la mégalomanie en affinant à l’extrême ses capacités machiavéliques d’intrigant.

    Exemple même de l’arriviste sachant être toujours au bon endroit au bon moment, il a su mettre à profit la déconfiture et la conjoncture revancharde allemandes des années 20-30, pour se hisser au sommet.

    Parcours quasi ‘’normal’’ pour un calculateur hors pair, sans génie particulier sinon pour haïr et manipuler son entourage, voire un peuple entier.

    Son manque de génie autre s’est, d’ailleurs, révélé dans le domaine stratégique, voire même tactique, puisque dès 42, l’issue de la guerre était visible aux yeux des plus futés des observateurs anglo-américains.

    Hitler s’était planté.

    Ceci dit, ce qui nous gêne dans sa carrière brève et météorique, ce sont les coïncidences qui ont émaillé sa survie durant son ‘’règne de mille ans’’ qui n’en a duré qu’une douzaine.

    En effet, depuis son suicide manqué après le putsch raté munichois  en 23, jusqu’à l’attentat manqué en juillet 44 de Von Stauffenberg (Opération Walkyrie) en passant par les trois ou quatre autres tentatives des opposants militaires et civils allemands, il a bénéficié d’une veine incroyable.

    Laquelle l’a même convaincu, plus encore, de sa bonne étoile et continué à le pousser de folies guerrières en sanglants délires, jusqu’au jour, il est vrai, ou aucune chance ni aucune coïncidence, ne pouvait faire obstacle à l’énormité de la machine de guerre que constituaient les troupes alliées.

    Mais, curieusement, les calculs des conjurés échouaient, à chaque fois, pour d’infimes questions de minutages ou de simples problèmes de mécaniques mal calculés.

    Coïncidences ?

    Interventions…diaboliques ?

    L’on ne sait trop…

    MIRACLES ?

    Il en est d’autres, de coïncidences, du même ou d’un autre genre, parallèle, voire en sens inverse.

    Toutes celles qui ont entouré l’assassinat de Kennedy par exemple.

    Un seul tueur ?

    Difficilement plausible.

    Quant au meurtre ‘’patriotique’’ d’Oswald et la disparition en série d’une demi-douzaine de témoins dérangeants...et la thèse officielle suivant laquelle un seul tueur, donc, porterait la responsabilité d’un des plus spectaculaires assassinats de l’Histoire contemporaine…

    Difficile d’y croire.

    En effet, les caractéristiques principales, voire essentielles, des coïncidences résident, justement, dans le fait qu’elles ne sont pas reproductibles, qu’elles sont suspectes dès lors qu’elles surviennent à point nommé, qu’un tiers en retire avantage (A qui le crime profite ?), enfin que les circonstances les entourant relèvent, carrément, du quasi miracle.

    Curieusement, en un temps où l’irréligion et l’athéisme gagnent du terrain, la foi dans les miracles semblerait donc perdurer ?

    Du moins si l’on accepte de croire à ce genre de miracles-là...