Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Politique - Page 40

  • Miracle à l'américaine

    Miracle à l’américaine
    M. George Bush, président des Etats-Unis d’Amérique, vient de déclarer qu’il était urgent de se préoccuper du réchauffement de la planète pour cause, entre autres, de pollution due aux automobiles propulsées aux produits pétroliers.
    Certes, les Etats-Unis refusent toujours de ratifier le protocole de Kyoto par lequel toutes les nations du globe sont invitées à se préoccuper du réchauffement de la planète pour cause, entre autres, de pollution due aux automobiles propulsées aux produits pétroliers.
    Certes, la présidence des Etats-Unis et tous ses services corollaires, annexes, connexes, ainsi que les administrations diverses gérant les 350 millions d’habitants, n’utilisent pas de véhicules comparables à nos antiques 2 CV, voire, aux petites VW à moteurs HDI, mais d’énormes limousines qui sont, hélas, causes de pollution du fait qu’elles sont propulsées aux produits pétroliers.
    Certes, le président des Etats-Unis, lui-même, ne circule pas non plus dans des véhicules causes de pollution…etc etc etc…
    Bon !
    Nous n’irons pas jusqu’à sous-entendre, perfidement il est vrai, que la famille présidentielle elle-même, élargie à toutes ses amies, sont, par un hasard bien entendu malheureux, propriétaires ou actionnaires de compagnies produisant, transformant, et commercialisant des produits pétroliers.
    Non mais…
    -Mais quoi ?
    -Eh bien ceci. Conclusion: les effets d’annonce, n’est-ce pas, sont fort utiles pour se faire, ou refaire, une image de sauveur de la planète.
    Voire, plus perfide encore, de l’améliorer cette image, afin que, d’ici la fin du second mandat malheureusement non renouvelable, les chances de la famille élargie de conserver le pouvoir ne soient en rien entamées.
    Aux dernières nouvelles la candidature de ces sympathiques actionnaires au dynamique club des antigaspis de Nicolas Hulot a été annoncée.
    Vont-elles être acceptées ?
    Le suspense est insoutenable !

  • Référendum et presse de caniveau

    Certains correspondants, internautes entre autres, nous ont fait remarquer, vertement quelquefois, que le NON réjouissait les Anglais et que, de ce fait, il aurait fallu voter OUI, vu que les Britanniques poussaient à l’ultralibéralisme.
    Disons-le tout internet, dans ces rapports anglo-français, il y a à boire et à manger.(1)
    Si nous étions, bêtement, franchouillard, nous pourrions simplement jouer au jeu des questions-réponses sans fin, voire sans queue ni tête…et même le jeu où les questions sont, en elles-mêmes, des réponses que tout le monde connaît.
    Ainsi ne trouvez-vous pas curieux, amusant, ou inquiétant – à vous de choisir - que M. Berlusconi soit, lui, à fond pour le OUI ?
    De même que les Polonais qui n’attendent même pas le feu vert constitutionnel pour toucher les subventions européennes et aller fissa les dépenser aux USA pour leur acheter des F.16 ?
    Et, accessoirement pour nous expédier des plombiers et cela n’a rien d’une légende, a contrario de ce que nous racontent leurs dirigeants de là-bas qui apprécient fort que le système européen subventions-participations, leur soit favorable donc bénéficiaire depuis un moment.
    Si nos amis anglais ont applaudi au refus français, il n’est pas inutile de rappeler que M. Blair trouve là une bonne excuse pour ne pas référender à son tour, vu qu’il craint fort d’être mis en minorité par un public chauffé à blanc par une presse de caniveau ou d’égouts – dégoûts ? -majoritairement, et toujours aussi élégamment, opposée aux frenchies.
    Pour quelle raison ?
    Aucune d’humainement explicable sinon qu’il y a une vingtaine d’années, les Français ont pu apprécier à sa juste valeur, l’estime que certains Anglais leur portent. Et c’est peut-être un début de réponse de la haine dont certains milieux grands-bretons , nous gratifient.
    Nous ne parlons pas ici des Britanniques nantis qui font grimper les prix de l’immobilier en colonisant la France.
    Non, encore qu’il semble s’agir des mêmes, juste un peu plus friqués.
    Non. Nous parlons de ces Anglais de l’expèce de ceux qui ont acheté un camping, précisément à Hyères dans le Var, et qui avaient planté un magnifique écriteau, à l’entrée dudit camping, et sur lequel était inscrit en belles anglaises, - évidemment – ‘’Camping interdit aux chiens et aux Français’’.
    Au-then-tique !
    La presse, à l’époque, en avait parlé mais cela n’avait pas débordé le cadre local.
    Alors ?
    Toutes les Françaises ne sont pas rousses, pas plus que les Anglais francophobes ni d’orientation intime ambiguë, ni, encore, tous bénéficiaires des subventions européennes comme le sont leurs grands propriétaires terriens. Du genre Charles ami de la campagne et de la Nature, et qui l’aime bien plus depuis qu’elle lui rapporte tant.
    Néanmoins, l’accès prochain de Tony Blair à la présidence, n’est, évidemment pas étranger à la décision qu’il vient de prendre, ni au plaisir, non dissimulé, qu’une bonne partie des lecteurs du Sun, entre autres ‘’journaux’’, éprouvent à savoir les Français apporter de l’eau à leur moulin…et se retrouver les moutons noirs, honnis, de l’Europe entière.
    Et puis, tout de même, il y a près d’un siècle que l’Angleterre est, contre vents et marées internationales, l’ami de cœur, ‘’l’œil de Moscou’’ que Washington ouvre sur l’Europe en général et la France en particulier, afin de scruter tous nos petits secrets.
    Un exemple parmi un million quatre cent cinquante trois mille six cent neuf ?
    Le réseau américain Echelon installé en GB ainsi que dans certains pays du Commonwealth – même si ce dernier est de plus en plus virtuel – et grâce auquel les autorités étasuniennes peuvent à chaque instant, savoir tout de quasiment chaque individu de la planète.
    A côté de cet énorme et inquisiteur machin, la participation à la guerre d’Irak fait un peu pipi de chat.
    Quoi encore ?
    Eh bien Tony Blair vient de dire qu’après tout, même si les Anglais continuent à rouler à gauche et à cracher sur l’euro - pas bêtes hein ? – la fameuse Constitution n’est pas si mauvaise que cela et qu’il ne faut pas se chagriner pour cet incident de parcours.
    De toutes manières, c’est lui qui, à partir du premier juillet, va nous sauver la mise.
    Certes, durant ce temps les Français seront en vacances.
    Justement ! Il faudrait peut-être se méfier.
    Vous souvenez de la raison pour laquelle on disait que le soleil ne se couchait jamais sur l’Empire britannique quand il n’avait pas encore disparu?
    Non ! Ce n’était pas parce qu’il s’éparpillait sur toute la surface de la Terre.
    C’était uniquement parce que Dieu se méfiait des Anglais.
    En plein jour c’est plus commode de voir ce qu’ils trafiquent non ?
    Allez salut ! Je vais boire un godet.
    Non ! Pas une bière ! Un verre de Vichy Célestins. Vous savez l’eau qui, que…avec le PVC...Mmmm ?
    Comme pas mal d’autre d’ailleurs.

    (1)A boire et surtout à manger, pas question, nous a fait remarquer notre collaborateur écossais, vu qu’il est désormais religieusement converti (enfin) à la cuisine française et qu’il n’a aucune envie d’apostasier. Il sait trop ce qu’ont été ses 22 années de régime alimentaire insulaire.

  • Europe-Danemark: l'exemple?

    Bravo à M. Galouzeau de Villepin.
    Vraiment un grand bravo !
    En effet, il a dit qu’en matière de politique sociale, il allait voir ce qui se fait de mieux ailleurs afin de tenter de faire mieux encore chez nous.
    Mieux, en tous cas, que ce qui a été fait jusqu’à présent.
    Banco !
    Dommage, déjà, que ses prédécesseurs, tous ses prédécesseurs, n’aient pas eu la même idée.
    D’autant qu’il aurait suffi de regarder et d’imiter les Japonais, ceux-là même qu’Edith Cresson qualifiait dédaigneusement de fourmis (1).., pour savoir qu’ils ont depuis longtemps donné l’exemple pour ce qui est de prendre chez les autres ce qui marche bien, plutôt que de perdre du temps et de l’argent à se triturer la cervelle en risquant de se planter.
    Notre nouveau premier ministre a même évoqué le Danemark.
    Ce qui amène quelques commentaires.
    Un, c’est un pays où la pression fiscale est proche de la nôtre (la plus forte d’Europe).
    Donc, remarque de M. de Villepin, du moins on le suppose‘’S’ils paient quasiment autant d’impôts que nous mais que leur situation sociale est meilleure, pourquoi ne pas faire comme eux ? ‘’.
    Pas bête.
    Deux, le Danemark avait été le seul état à dire NON au précédent référendum sur Maastricht.
    Or, cela ne l’avait pas rejeté au ban de l’Europe.
    Pas bête non plus.
    Bonne initiative tout ça.
    On propose d’aller plus loin.
    Pourquoi ne pas créer des sites Internet en quantité suffisante pour informer les Français mais aussi les Européens, des avantages et inconvénients des systèmes sociaux de tous les pays d’Europe, voire du monde entier, du moins de ceux qui peuvent être adaptés chez nous ?
    On sortirait peut-être une fois pour toutes de notre système franco-français dont rigolent doucement, à juste titre, les anglo-saxons, qui trouvent ahurissant que nous soyons dirigés exclusivement par une France d’en haut, composée de décideurs énarques, polytechniciens, centraliens et normaliens qui passent la totalité de leurs carrières a faire des va-et-vient public-privé et à se coopter, en enrichissant leurs carnets d’adresses et, corollairement, leurs portefeuilles. Et pas seulement ministériels.
    Et puis, les Français et les Européens seraient, au bout d’un certain temps, mieux à même de juger de l’opportunité de voter OUI ou NON, voire de demander plus d’explications à leurs élus ?
    -Démocratie directe ?
    -Pourquoi pas ?
    Car, tout de même, c’est bien ainsi que toute démocratie doit fonctionner : à partir de votes en connaissance de causes non ?
    Alors ?
    Difficile d’informer les Français et Européens de cette manière ?
    On va bien sur la Lune et sur Mars non ?
    Et n’est-ce pas là, une manière, très opportune, de ramener les citoyens vers une vie et une pratique politique dans laquelle ils n’ont, manifestement, pas plus confiance que dans la classe politique elle-même censée la représenter ?

    (1)…alors qu’elle avait fait embaucher un de ses copains dentistes comme ‘’consultant’’ européen et qu’elle avait été inquiétée pour cela. C’était juste pour dire…

  • Référendum: vous avez dit démocratie?

    Quelle leçon peut-on tirer, en fin de compte, de la victoire du NON en France, en Hollande et peut-être ailleurs ?
    Certes, les exégètes se sont mis au travail et les explications ont fusé tous azimuts.
    Pas toujours très claires.
    Et encore moins assurées.
    A notre humble avis, il n’est pas mauvais de rappeler certaines choses qui n’ont pas mal fonctionné jusqu’ici.
    Ainsi, la démocratie nous a, elle, habitués depuis longtemps, à voter pour un certain nombre d’institutions ou de représentants disons, à notre portée : maires, conseillers généraux, députés, toutes personnes auxquelles nous pouvions, plus ou moins, dire notre approbation ou pas, et sanctionner si nécessaire au fil de leurs mandats.
    Fut-ce rarement et de temps à autres…
    Or, avec le referendum, nous nous retrouvons face à un machin qui comporte plus de 400 articles, autant de lois pour ainsi dire, qui nous ligote définitivement, et à quoi l’on nous demande de dire OUI ou NON .
    Brut. Franc. Massif. Sans marche arrière si, des fois, on fait erreur.
    Aucune nuance permise.
    Aucun ‘’d’accord mais pas tout à fait’’, aucun ’’ là je veux bien mais pas l’autre truc qui suit ‘’,ou encore ‘’là c’est pas mal mais ça va donner quoi dans un an ou deux ?’’.
    Rien de tout ça !
    Le filet garni quoi !
    A prendre ou à laisser !
    Pire : pas de possibilité de dire, l’Europe, moi je suis pour mais pas dans ces conditions, d’autant que pour tout ce qui a précédé non seulement je n’ai pas été informé mais il n’y a pas eu de référendum.
    Et pas de possibilité, non plus, de renvoyer chez elle la caste des chefs si elle ne fait pas l’affaire et que les conséquences de ses choix sont désastreuses !
    Alors ?
    Faire un chèque en blanc ça vous arrive souvent vous ?
    Plus simple : si vous achetez une boîte de raviolis ( si vous les aimez, et en boîte en plus) vous le faites uniquement en fonction de l’étiquette, du prix ou des produits qui les composent ?
    Et une bagnole sans en connaître toutes les caractéristiques sur catalogue et dans le détail?
    Et l’homme ou la femme de votre vie ?
    Vous accepteriez de vivre ensemble - pour toujours en principe, en tous cas pour longtemps – parce qu’il ou elle a un physique à tomber mais que, c’est vrai, il y a certains trucs qui ne vous plaisent pas du tout du tout ?
    Ou alors, accepteriez-vous que choix et décision soient pris à votre place, par quelqu’un en qui vous faites une (relative) confiance?
    Eh bien, l’acceptation sans discussion de la Constitution c’était ça. Ni plus ni moins.
    Le plus grave est que toutes les décisions précédentes n’ont jamais donné lieu à quelque consultation populaire digne de ce nom.
    Maastricht même : il a été ratifié, certes par référendum, mais avec seulement un petit 51%...alors que l’absence d’information claire et suffisante avait été, elle, massive…
    Regrettable donc que toutes les graves décisions engageant la vie des citoyens au quotidien, n’aient été prises que par des parlementaires qui, avouons-le, sont et seront longtemps, voire définitivement, dégagés des problèmes financiers qui seront supportés par leurs électeurs…
    Est-ce cela la démocratie ?
    Et puis, arrêtons-nous un instant sur le côté scandaleusement anti-démocratique de cette histoire.
    Récapitulons : pour élire un député, représentant VOTRE pouvoir et LE pouvoir, on vous demande individuellement votre avis non ?
    Bon !
    Avec l’Europe, les députés, VOS députés, vont être dessaisis d’une bonne part de leur pouvoir législatif qui passent à Bruxelles.
    Et pas à des députés, à des fonctionnaires non élus.
    Il y a là, matière à référendum non ?
    On vous demande, ni plus ni moins d’accepter, quasiment de force, ce qui est, stricto sensu, une nouvelle forme de démocratie et vous n’auriez pas le droit de dire NON ?
    D’autant plus ahurissant que les pays ayant choisi d’accepter le traité par voie parlementaire l’ont fait par la voix de leurs propres députés !
    Qui, quelque part, ont accepté de se faire quelque peu hara-kiri mais sans trop de souffrance vu qu’ils auront moins de responsabilités sans aucune diminution de salaire…au contraire !
    Ceci explique-t-il cela ?
    Est-ce cela la démocratie ?
    Je sens que les pattes démangent à mon cheval de bois qui a, à entendre de pareilles couillonnades, de furieuses envies de ruer dans les brancards. Ou dans les dents de ceux qui veulent nous faire ingurgiter tout ça sans discuter.

  • Euro faible? Et alors?

    La France, enfin 55% des suffrages exprimés, se sont prononcés non pas contre l’Europe, mais contre l’Europe aussi rapidement et aussi peu clairement, en bref, dans les actuelles conditions.
    Aussi sec, l’euro a dégringolé !
    Et alors ?
    Ne nous a-t-on, pas dit que notre croissance était plombée par un euro trop fort face à un dollar artificiellement faible pour permettre aux USA de payer leurs guerres et leur croissance à eux ?
    Eh bien, chacun son tour non ?
    Nous on s’en tape éperdument d’un euro faible.
    On a été vaccinés depuis belle lurette au franc faible, même qu’on a connu de sévères dévaluations, au temps de Pinay, par exemple, ce qui a permis, à plusieurs reprises à notre économie, de reprendre du poil de la bête.
    Nous allons payer le pétrole plus cher ?
    Eh, oh !
    Que le dollar monte, qu’il baisse, et que l’euro fasse du yoyo, ne change rien à l’affaire, puisque la TIPP a été supprimée et que de toutes manières, c’est toujours Total, Exxon, et les pétroliers saoudo-texans - oui même lui et sa famille - qui en retirent de juteux bénéfices.
    Alors, l’euro faible, nous, on est pour.
    On pourra exporter et créer des emplois.
    Regardez les Chinois.
    Les étasuniens eux-mêmes, braillent que le yuan aux yeux jaunes est artificiellement bas et qu’il leur permet d’exporter encore plus.
    Comme s’ils avaient besoin de cet artifice supplémentaire…
    La preuve : pour tarir les torrents de chaussettes à bas prix, les américains ont immédiatement pris des mesures de blocage. Avant celles de rétorsion.
    Plus vite, d’ailleurs, que Bruxelles qui se contente de menacer, de promettre…et de ne rien faire.
    Etonnez-vous après ça de la méfiance des Français à l’égard de cette Europe plus ultralibérale que les ultralibéraux.
    A croire, ont insinué des confrères, que le lobbying US à Bruxelles est ulcéré du NON français qui fait capoter leurs ténébreuses combines.
    Notamment celle qui consistait à pousser au OUI, pour améliorer la compétitivité des entreprises françaises…propriétés, à 50, voire 60%, des actionnaires américains.
    Suivez la démo : le OUI permettait de forcer les Français à accepter n’importe quoi à n’importe quel salaire, ou à céder leur place aux candidats concurrents de l’Est.
    Les entreprises en question y gagnaient.
    Le démantèlement du Code du Travail, rendu possible dans l’Hexagone, affaiblissait un peu plus les salariés français.
    De même que la disparition des 35 heures, voire 40 ou 45 et plus.
    Les entreprises en question y gagnent aussi.
    En même temps, les produits chinois entrent en force et mettent à genoux, entre autres systèmes sociaux, tout ce qui reste du syndicalisme franchouillard.
    Les entreprises en question y gagnent encore.
    US-Empire et empire du Milieu, même combat ?
    Une petite remarque : dans les années à venir, et peut-être pas très loin d’ailleurs, les deux empires qui se feront face - et seront même face à face -, ne seront évidemment plus l’ex-URSS, toujours costaude et menaçante mais ne fait plus le poids, mais la Chine.
    Cette dernière est 5 fois plus lourde en habitants et nettement plus en technologie et puissance industrielle. Et va bigrement croître très vite dans ces domaines-là.
    Certes, elle sera, peut-être, plus faible côté stabilité sociale.
    Des grèves ou de troubles qui mettent en branle des dizaines de millions de trublions à la fois, ça compte…
    Mais les moyens de ne plus les faire parler comptent, eux aussi.
    Alors ?
    Wait and see comme disent les américains.
    Et, patience, comme disent les Chinois.