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  • Subventions royales

    Camilla, vous savez Camilla qui va épouser Charles, va recevoir de lui, en plus de son indéfectible amour (depuis 20 ans çà compte), une dizaine de millions d'anciens francs (environ 100.000 francs lourds ou 15.OOO euros) par mois.
    Pas mal?
    Eh mollo! Une misère comparée aux quelque cent et quelques millions mensuels(environ un million et quelques de francs lourds) que rapporte une des grandes propriétés de Charles.
    Grandes propriétés? Immenses. Du genre de toutes celles qui lui ressemblent et constituent 80 à 90% de la Grande-Bretagne. Ecosse comprise of course.
    Eh oui. Comme dans le système du Moyen-Age.
    Système qui, dans un monde en perte d'équilibre permanent, permet à l'aristocratie de conserver le sien. La stabilité de l'Empire, y a que çà de vrai.
    Sauf, néanmoins et toutefois, que si ce système est moyenâgeux, il s'accomode fort bien des nouveautés du monde moderne.
    Notamment des subventions européennes dont on sait qu'elles permettent aux grands propriétaires terriens - la noblesse - de retirer des revenus confortables sans trop se fatiguer.
    On garde la livre et la conduite à gauche, on fait la tronche au système métrique, on amoure les Etats-Unis, on n'aime pas l'Europe, mais, tout de même, on love follement l'Euro.
    On ne crache pas non plus sur les (grandes) maisons de village de Dordogne et bientôt de France et de Navarre en (re)commençant à coloniser ce royaume de France là où, d'ailleurs, il y a dans les 5 à 6 siècles, on avait essayé de prendre pied, avant d'en avoir été ejectés manu militari.
    L'Empire est mort mais l'Empire contre-attaque.
    Et alors? On ne peut pas tout détester hein?
    C'est-y pas une preuve que les Anglais, enfin ceux qui ont les moyens, sont, tout de même, un peu européens?
    Ils font des efforts non?
    Bien sûr, les Français, enfin ceux qui ont des maisons à vendre, rigolent en comptant les billets.
    Et puis les Anglais, ils finiront bien par parler français sans trop d'accent.
    Après avoir publié leur propre journal et monté leur propre radio, (et leur télé?), dans leur langue.
    Allez va...De toutes façons, on va tous un jour devenir européens.
    A quelle mode? Européenne? Anglaise? Américaine? Riche? Pauvre?

  • Qunsankimpur

    Lors des obsèques de Yasser Arafat, une commentatrice de radio s'est indignée de voir des enfants tirer en l'air, avec des Kalachnikov. En plastique certes mais tout de même...
    Et dans le contexte en plus...
    On la comprend et on l'approuve.
    Sauf, peut-être, que le même jour, une école alsacienne avait organisé d'imposantes manifestations dans le cadre desquelles les enfants de la région entonnaient à pleine voix la Marseillaise.
    Il n'y avait là que de très louables et fort jolies intentions.
    Sauf qu'on aurait pu tout de même, le corps enseignant en tous cas, se poser quelques questions.
    A une heure où l'armée n'en découd plus ni avec les Allemands, ni avec les Russes - enfin on l'espère - ni avec les Anglo-Américains - tout de même pas ou pas encore - mais se consacre et c'est tout à son honneur et au nôtre, à des tâches surtout humanitaires, apprendre aux mouflets à souhaiter verser le fameux sankimpur (celui des allemands de l'époque) n'est peut-être pas une incitation à la portée de l'immédiate approbation du premier europhile venu.
    D'autant que si l'on doit apprendre à nos chères têtes tricolores - çà change des blondes - la totalité des couplets, on en trouve d'autres tout aussi croquignolettes. Du genre : tremblez tyrans, tremblez perfides et vos projets pââârricides, despotes sanguinaires, tigres sans pitié, vils despotes, traîtres ignobles...et tout et tout. Plein d'injures bien tapées qui rappellent, en huit couplets, les chapelets d'épithètes tout aussi variées proférées par le capitaine Haddock à l'intention de ses ennemis réels ou supposés.
    Plaisanteries?
    A moitié. A-t-on demandé au corps enseignant et pourquoi pas, aux parents d'élèves, s'ils étaient demandeurs? Voire s'ils acceptaient?
    Et les monarchistes alors? Et les apatrides? Et les pygmées? Et les Papous Néo-Guinéens? Et les citoyens du monde? Et, tout simplement, les enfants d'étrangers d'autres républiques résidant temporairement chez nous?
    Minoritaires? Et alors ils n'ont aucun droit?
    Respecter les lois de la République est le devoir de tout citoyen, français en l'occurence. Le devoir, en fait de toutes les personnes résidant sur notre territoire, y compris, on voudrait bien, les plus ou moins membres de corps plus ou moins diplomatiques qui ignorent superbement nos lois ( en particulier le Code de la Route) et se conduisent en pays conquis, ignorant autant notre police que notre notre justice qui ne font pourtant que leur travail en tentant de les empêcher de nuire.
    Mais respecter les lois de la République et honorer son histoire, ne signifie pas oublier que notre Histoire évolue. Le président de la république lui-même a bien montré que cette Histoire, n'était pas sempiternellement écrite que par des vainqueurs sans reproche. Il est donc, revenu sur le consensus silencieusement complaisant qui apprenait à nos enfants que l'Administration Française était éternellement innocente des crimes vichystes puisque l'enseignement scolaire l'ignorait, ou le taisait.
    Et puis enfin quoi? Toute notre Histoire de France débouche, ces jours-ci, sur celle de l'Europe non?
    Et son ''Hymne à la joie'' de Beethoven semble, sans parole aucune ou avec des paroles tournées vers l'avenir, plus propice à donner à nos enfants, une habitude de pensée nettement plus constructive car tournée vers un immense continent en création où les frontières ne seront, dans quelques lustres, peut-être plus qu'un souvenir.
    Et encore: pourquoi imposer un chant, guerrier ou pas, alors que l'on ne sait que trop à quoi peuvent servir ces ''d'aides au patriotisme''..
    Le premier acte de pouvoir de tout gouvernement est, avec la création d'un drapeau, de se donner un hymne. Légitime.
    Ce qui pose questions est que l'Allemagne nazie, elle, a imposé ce chant sous peine de sanctions. Tous comme certains régimes, africains ou sud-américains, voire américains tout court estimeront certains, qui imposent, tant qu'à faire, et le chant, et le serment la main sur le coeur et la prière. En treillis et en rangers aussi?
    Nos décideurs ont-ils proposé le débat aux parents d'élèves? Et si les enfants, ou les parents trouvent cela inconvenant et, tout en respectant, ne veulent pas? Amende? Prison? Camp de concentration?
    Et croit-on, vraiment, qu'apprendre aux enfants à chanter l'hymne national empêchera les crétins et les voyous, qui l'auront d'ailleurs peut-être appris eux-mêmes, de le siffler honteusement - et pour certains en toute impunité - quand ils ne seront pas satisfaits du résultat du match de foot?

  • L'avenir?

    L'avenir du journalisme?
    Il est plutôt noir foncé que rose bonbon.
    L'hebdo Courrier International, que nous consultons régulièrement, en donne un excellent exemple dans son dernier numéro (1).
    En effet, dans une seule et même page, il publie - en fait il traduit - un article suédois évoquant, et encensant un poil, la réussite de Metro, journal gratuit 1° de l'espèce qui fait fortune. Dans la même page, il donne place à un second papier, argentin celui-là, qui parle de la tentative d'Hugo Chavez, président-dictateur vénézuélien(selon ces fidèles ou adversaires), qui veut doter l'Amérique du Sud d'un réseau de télévision qui puisse faire la pige à CNN. De la même espèce ou quasiment et avec le même but que le projet français qui patine encore et qui aura, paraît-il la particularité bien française de pas pouvoir être visible par les Français eux-mêmes! Pour ne pas concurencer les dévouées chaînes nationales!
    Dans ces deux exemples, on peut tenter de lire l'avenir de la presse.
    Un, avec le suédois, que les patrons de medias ne sont heureux que lorsqu'ils n'ont pas beaucoup voire pas du tout de journalistes à payer. Cela, on le savait déja: ça signifie réduction d'effectifs et mise en forme des articles fournis par les agences de presse qui, elles encore, emploient des journalistes, mais en petit nombre également et bien contrôlés et formatés à ne relater que les évènements, sans états d'âme et sans vagues possibles surtout. Quant à la prose gratuite, elle se réduit à sa plus simple expression: vite lue et digérée en 15 minutes statistiques au poignet. La culture en tube genre mayonnaise avec arômes et colorants bien dosés. Et les lecteur aiment§Donc, c'est qu'elle est bonne non?
    C'est Bebel qui disait dans 'L'As des as'', commentant l'élection du petit caporal - celui-ci pas l'autre - ''Ce n'est pas parce que 35 millions de gens font une...ânerie, que ce n'est pas une...ânerie''.
    De toutes manières, le but visé est à terme: traitement idéal de l'information, avec magnétophones et caméras automatiques, et, dans un stade intermédiaire, l'utilisation des ''journalistes'' de hasard, amateurs, hommes ou femmes de la rue, payés par la seule ''gloire'' d'être cité(e)s comme des JOURNALISTES. Ce qui n'est pas la moitié de rien du tout on le sait! Ces ''expériences'' ont déja été tentées. Avec succès. Mais le tollé prévisible ajourne un chouïa la mise en place.
    Côté Chavez:l'Amérique du Sud en a ras le sombrero de l'info made in USA. Les pays du triangle sud vont donc se réunir, se cotiser, et produire...à leur idée. C'est en tous cas ce que veut Chavez. Atermes, toiutefois, il faudra bien se mettre d'accord sur un moyen terme, et un moyen ton, sur lequel cette information-là sera dite. Il ne faudra pas tout de même trop gêner les intérfêts des uns en privilégiant ceux des autres. Et lycée de Versailles bien sûr. Donc, en rabattre ici et là. Couper un peu ce qui dépasse. Peigner ce qui défrise...Avec quelle liberté de l'information?
    Autre enseignement enfin, donné par CI lui-même, implicitement: journal indispensable à l'information hexagonale, et de qualité s'il vous plaît, il permet de porter sur la France et le monde un regard non plus franchouillard mais, disons, normal, varié, humain quoi.
    Ce qui nous gêne un peu c'est que les journalistes de cet hebdo sont en fait, des traducteurs et ne peuvent, de facto, exprimer l'information qu'avec les yeux et les sentiments des autres, les journalistes de terrain. Ceux qui écrivent encore non seulement en relatant les faits mais en exprimant, tout de même, un brin d'opinion, voire plus encore. Vous savez, ces choses qui contribuent à montrer aux lecteurs la réalité telle qu'elle est et non telle que les patrons médiatiques veulent qu'elle soit présentée.
    Le bilan de CI est, tout de même, fort convenable. Mais il est quelque part imposé par la mauvaise grâce manifestée par la plupart des autres medias à envoyer des journalistes voir sur place ce qui se passe. Réduction des dépenses, vous comprenez? Acheter des dépêches d'agence est nettement moins cher.
    De toutes manières, et en conclusion: réduction d'effectifs, concentration de journaux, de chaînes, de radios et...de patrons de presse, pression accrue sur les journalistes et précarité du métier déjà présente. Qui va, de nos jours, risquer sa vie ou pire, sa carrière, pour rechercher la vérité et la dire?
    Certes, des journalistes français sont menacés de mort à l'étranger, dans des lieux de guerre: la malheureuse Florence Aubenas en est le témoin, otage de la lâcheté criminelle. Néanmoins, il ne faut pas mélanger les genres. Si le risque est grand pour des journalistes de chez nous d'aller quérir l'information sous la mitrailleà balles réelles, il l'est encore plus, à notre avis pour les journalistes français qui tentent, à l'intérieur des medias, de dévoiler les tares de notre propre système. En effet, le risque est grand d'y perdre sa place avec très peu ou aucune chance d'en retrouver une aisément. Le téléphone fonctionne très bien entre les rédactions et de toutes manières, le choix d'une autre place se rétrécit chaque jour davantage.
    S'il est difficile, dangereux de trouver la vérité en régions exotiques, la censure fonctionne rarement passées les frontières.
    Par contre, égratigner des édiles, des notables voire des hauts personnages de l'Etat chez nous, est nettement plus dangereux pour une carrière. Sauf lorsque ''Le Canard Enchaîné'' dévoile une affaire...
    Combien de ''Canard Enchaîné'', et avec lui ou eux la possibilité, la liberté de vraiment informer, verront-ils le jour dans un proche ou lointain avenir?
    Alors, quid de cet avenir?
    Ne répondez pas tous à la fois!

    (1)On ne voit pas l'intérêt de dire ''sa dernière livraison'' car ce dernier mot dérive de ''issue'', mot anglais désignant...le dernier numéro. Il est vrai qu'il ''fait américain'', donc chic. Il est donc pour celà, très utilisé par bien des journalistes français. On critique les amerloques mais faire américain çà vous pose un journaliste non?

  • Ah ces principes!

    Piqué dans le ''Canard Enchaîné'' qui cite ''Le journal du dimanche'', cette phrase historique prononcée par l'inoubliâââââble Nicolas Hulot, à propos de la Charte de l'environnement:''Si le principe de précaution avait existé il y a trente ans, nous n'aurions probablement (! N.d.l.r) pas connu l'amiante avec toutes ses victimes.''
    Na!
    Euh...si l'on peut juste dire deux mots?
    Bon.
    Merci.
    Voilà: bien avant que notre pape sans peur et sans reproche - bien que très officiel - de la défense de la Nature, ait ingurgité son premier biberon au lait de soja, existaient déja ce que d'aucuns susurrent depuis 6000 ans au bas mot et dans toutes les langues, du genre, ''Mieux vaut prévenir que guérir'', ou ''Prudence est mère de sureté'', ou encore, ''Dans le doute, abstiens-toi'', voire même, en Anglais ''Wait and see''.
    Pire, ou mieux, à l'entrée précaution, mot qui a toujours eu cours dans la langue française, le Larousse nous donne comme définition :PRECAUTION n.f (bas lat.praecautio). Disposition prise par prévoyance pour éviter un mal: apporter toutes les précautions nécessaires à une chose. Circonspection, ménagement, prudence.
    Bref, que l'on sache, le principe de précaution et tout le vulgum pecus qui l'a pratiqué et promu, depuis perpète, n'a pas attendu l'ange protecteur de la planète, que le monde entier nous envie, pour savoir ce que parler veut dire.
    Mais alors, le Larousse lui-même est-il si fiable que celà?
    Il est vrai qu'un peu plus bas le dico nous dit que ''prendre ses précautions, signifie... aller aux cabinets''.
    Là, le dictionnaire prend, si l'on ose, un peu ses aises avec les habitudes et usages en cours au sein du vain peuple: il n'en rend pas toujours fidèlement compte en temps réel . En effet, en l'occurence, plutôt que cabinets, mieux vaudrait peut-être dire les toilettes, çà sent un peu mieux le monde civilisé. Aussi anti-naturel et pestilentiel puisse-t-il être.
    Mais, bah, si le dictionnaire nous fait ce genre d'écarts de petit calibre, on peut pardonner que côté culture (bio bien sûr) l'ennemi irréductible des produits chimiques - même de ceux de Rhône Poulenc? - découvre, 60 siècles après ce que les bouseux mésopotamiens savaient déja, fouchtra: on bouge pas tant qu'on sait pas ou on va mettre les pieds.
    Bien sûr, bien sûr, vont couiner nos détracteurs: le monde d'en bas savait, lui, mais ce sont les politiques qui n'ont pas fait leur boulot. Et qui ont promis à tout va sans bouger d'un pouce. Ou plutôt ont sacrément bougé mais en marche arrière.
    Ah bon? Les politiques? Les promesses?
    Tiens! Eh ben dites donc! Mais alors?
    Mais alors quoi quoi? Des allusions? Qu'est-ce que vous voulez dire?
    Nous? Mais rien, rien du tout!. Jamais de la vie! Ce qu'on disait, c'était juste pour parler.

  • Miracolo!

    Il y a quelques mois, Renault a construit dans son usine Européenne, une voiture adaptée aux pays de l'Est. Ce qui veut dire adaptée au portefeuille des consommateurs tchèques, slovaques, bulgares, roumains, bref à tous ceux qui ''n'y arrivent pas''.
    Et puis, tout arrive, les stratèges maison se sont aperçus qu'en France, aussi, existait des représentants de cette classe nauséabonde de ceux qui ''n'yarrivent'' pas et ne peuvent se payer Béhème, Audidonc et autres Porsche Cayenne et Touareg Volkswagen (Cà veut dire voiture du peuple, si si).
    Et Renault a compris, 50 ans après les années de restrictions automobiles suivant la Seconde Guerre Mondiale, qu'il était possible de faire des affaires en fabriquant pas cher des voitures simples et solides. Enfin, pour le solide on demande à voir.
    Miracolo! Comme disent les autophiles dans le pays de chez Ferrari.
    Curieux tout de même, qu'il ait fallu si longtemps à notre inventeur de voitures, pour comprendre que vendre convenable et pas cher était bon pour le moral du peuple et le tiroir-caisse des entrepreneurs!
    D'autant que si chez ces inventeurs il en est qui lisent quelquefois l'histoire de l'automobile, il auraient pu y remarquer qu'un dénommé Henry Ford (first of the name), l'inventeur de la Ford T, la Tin Lizzie, avait déjà découvert le concept et lancé l'affaire bien avant eux. Ce capitaliste vrai et même un peu facho sur les bords, avait tout de même vu que l'Américain moyen de l'époque, qui n'avait plus le temps ni les moyens de s'ocuper de son Stetson, de son Colt et surtout de son cheval, avait un besoin urgent d'un moyen de déplacement solide et économique.
    Il avait également compris que ses meilleurs clients étaient, d'évidence, tous ceux qu'il avait sous la main: ses propres ouvriers. Qui avaient, eux, envie de soigner leur fabrication dont ils allaient pouvoir se rendre propriétaire car Ford, vendait au juste prix et les rémunérait de même. Ce que l'économiste Keynes développera d'ailleurs en préconisant de permettre au plus grand nombre d'avoir part à la riche table capitaliste. De bons salaires permettent d'acheter bien et poussent bien à la croissance.
    Quand on compare cette conception du partage de la société d'abondance et celle qui voit chez nous l'augmentation du chômage et la baisse des salaires aller de pair avec l'accroissement des profits des multinationales et des rémunérations des PDG - sans oublier les privilèges de certains politiques - on voit que la signification de la vente de la Logan en France est sans équivoque: elle va permettre à un plus grand nombre de ceux qui ''n'y arrivent pas'', eh bien, d'y arriver pas trop mais tout de même un peu mieux.
    Tout arrive? On verra, on verra...
    Et puis çà correspond à une certaine logique: la voiture est-elle un gadget de luxe informatico-électronique ou un simple moyen de déplacement?
    Certes, plus de voitures, c'est encore plus de pollution. Mais çà aussi c'est un choix. Qui nous mène dans le trou par des voies en apparence raisonnables.
    Une autre histoire? Non. La même.