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actualités - Page 11

  • Bonne année? Joyeux Noël? ''Ils'' n'ont pas honte...

    Voilà voilà.

    -On est en 2008 et tout a changé.

    -Tout vous croyez ?

    -Comment, vous ne pensez pas ?

    -Ah bon…Pourtant nous pensions qu’avec toutes les promesses présidentielles….Certes, certes, il faut du temps pour leur réalisation mais nous supposions aussi que la rupture allait se manifester vraiment autrement non ?

    Petit inventaire ?

     Ben voilà. On pensait, bêtement peut-être, que comme aux temps anciens le gouvernement censé faire disparaître la ‘’fracture sociale’’, les efforts de celui-ci allaient changer en ce sens qu’il allait réduire réellement ladite fracture que le précédent grand chef n’avait pas réussi à faire disparaître.

    ON AUGMENTE MAIS ON DIMINUE AUSSI

    Oh certes. Changements il y a. On les voit.

    Le prix du gaz et des carburants augmente, celui des médicaments augmente, celui aussi de l’électricité augmente, les prix des fruits et légumes augmentent, d’ailleurs en même temps que notre vertueuse ministre de la Santé bien nourrie nous dit qu’il faut en manger de plus en plus, le prix du poisson augmente…bref, tout augmente et on en passe de bien cachés.

    D’accord, il faut moduler. En effet, certaines choses baissent. Et même pas mal, reconnaissons le.

    Ainsi, les retraites, elles, baissent, et cette fois pour de bon. En effet, jusqu’à présent, elles n’augmentaient pas ou d’un iota et de temps à autres alors que l’inflation, et pas celle dont l’INSEE nous rebat les oreilles, caracolait fièrement.

    Cette fois, il y a rupture. Notre grand chef n’a pas hésité à dire que les retraites augmenteraient moins que l’inflation…mais seulement d’un demi point de moins.

    Ce qui revient à dire, quand même et tout bonnement, que le mouvement de dégringolade du pouvoir d’achat des vieux est lancé mais cette fois très officiellement. Désormais les retraites augmenteront moins que l’inflation, ce qui signifie qu’elles…diminueront régulièrement en termes de pouvoir d’achat…jusqu’à disparaître complètement pour le plus grand bénéfice de la Nation, c’est-à-dire des plus riches ?

    Cette diminution officielle est une manière élégante d’accélérer un peu plus la disparition des retraités. A terme, une condamnation à mort civilisée. Déjà bien entamée avec les soi disant squelettiques remboursements médicamenteux, chirurgicaux, soins optiques et dentaires.

    L’ENCADREMENT ET LA RACAILLE

    Autre diminution : celle des salaires, sauf ceux des PDG et des cadres supérieurs et moyen supérieurs cela va sans dire. Il faut bien que le patronat puisse compter sur sa garde prétorienne, cet encadrement ‘’intelligent’’ chargé de donner les ordres et de servir de tampon entre les chefs et la racaille, voire de fusibles virables à volonté si nécessaire.

    Diminution encore ? Cherchez bien. Il y en a mais celles que nous venons d’évoquer constituant l’essentiel de notre pouvoir vivre, on ne voit pas très bien comment ou quoi diminuer encore, sauf que, dans ce domaine, l’imagination des chef est sans limites.

    JOYEUX NOEL ET BONNE ANNEE

    Alors, lorsqu’on vient nous dire avec un bon sourire Joyeux Noël et Bonne année, on se pose quelques questions.

    Pour le premier idiot venu, une bonne année, en particulier au moment des fêtes, est celle où l’on vous fait des cadeaux. Au moins quelques uns.

    Or, les promesses n’ont jamais constitué des cadeaux bien nourrissants.

    Et les retraités, smicards et autres Rmistes, n’ont pas fini de tirer la langue et de se préparer à travailler plus.

    Car là, l’augmentation des heures de travail les attend…corollairement à la diminution des moments de repos.

    L’on entretient bien les machines n’est-ce pas ? Les humains n’auraient-ils pas les mêmes droits ?

    Ben non. Pour le patronat, les humains, les Français en particulier, sont d’incurables feignants, qui, lorsqu’ils ne servent plus, ont juste le droit d’être achevés, comme les chevaux, et qu’il faut, en attendant, les remettre illico au travail.

    Comme si, tiens comme c’est curieux, les salaires et avantages de tous les membres des gouvernements, actuel et passés, et les profiteurs de toutes les entreprises, étaient de l’argent virtuel…

    Qui a payé, et paie encore très cher, les salaires, somptuaires ceux-là, de nos élites nationales, politiques, économiques, médiatiques ?

    N’est-ce pas le travail des bouseux et prolos à casquette ?

    Aussi, entendre ces gens-là nous souhaiter la bonne année nous donne des boutons et pleurer de rire pour n’en pas pleurer tout court.

    Mais, au fait, depuis toutes ces années, les membres des gouvernements, les sénateurs, les députés, les conseillers généraux, les maires, faisaient-ils partie de ces travailleurs acharnés qui donnaient l’exemple des semaines de travail de 40, 50 voire 72 heures et de ces semaines sans repos et de ces années sans vacances que l’on donne comme objectif à atteindre aux citoyens qui ne deviendront honorables qu’à ces conditions?

    BONNE ANNEE ? BONNE JOURNEE …

    Alors, ces souhaits de Bonne Année hein…

    Nous, ici, lorsque certains nous souhaitent la bonne année, déjà, nous leur faisons remarquer que nous préférons leur souhaiter une bonne journée…par les temps qui courent, c’est toujours ça de pris.

    De plus, nous faisons aussi remarquer que les souhaits de bonne année exonèrent un peu trop aisément ceux qui les prononcent, de travailler au bonheur de leurs semblables tout au long de l’année. Ce qui serait pourtant bien la meilleure et la plus honnête manière de faire que l’année soit réellement bonne pour ceux à qui l’on dit vouloir du bien.

    Ils représentent, ni plus ni moins, que ces aumônes autrefois ‘’généreusement’’ dispensées aux miséreux sur le parvis des églises à la fin de la grand messe. A part que ces aumônes, au moins, étaient sonnantes et trébuchantes. Fut-ce très légèrement…

    Enfin, le déploiement des fastueuses dépenses des représentants de notre économie et de notre politique, nous permet de comprendre un peu mieux que s’il n’y a plus un kopeck dans les caisses - enfin d’après ce qu’on s’évertue à nous dire – il faut bien que ce soit dans la poche des mêmes que tout cet argent soit trouvé.

    Comme dirait notre président : l’argent il faut bien le prendre quelque part.

    Et le mieux n’est-il pas de le piquer dans la poche la plus facile, celle de ceux qui ne peuvent pas se défendre ?

    COURTE MAIS BONNE

    Un dernier exemple ?

    Les 2% de plus qu’il va falloir payer pour acheter du poisson.

    Merci aux pêcheurs qui disent travailler pour les consommateurs, merci aux poissonniers qui vont répercuter la hausse sans toucher à leurs marges. Merci aussi à Total sur qui le gouvernement pourrait aisément répercuter la hausse compte tenu de l’augmentation exponentielle de ses bénéfices.

    Merci enfin audit gouvernement qui aurait pu nous présenter des vœux vraiment sincères pour que nous vivions une bonne et heureuse année, mais avec une sincérité qui serait prouvée par une mise en œuvre effective des souhaits exprimés.

    Mais les promesses, n’est-ce pas, comme disait Pasqua, n’engagent que ceux qui y croient.

    Avant, l’on cachait les hontes accumulées qui transpiraient de ces promesses jamais tenues. On promettait, on mettait en avant quelques maigrelettes réussites, on tâchait de faire illusion.

    Aujourd’hui, on ne les cache même plus, parce que la honte, connaît pas.

     Non, ‘’ils’’ n’ont pas, ils n’ont plus honte.

    L’argent pour les riches, le boulot pour les pauvres. Comme disait Coluche : on peut pas tout avoir : les riches ils ont de quoi manger, les pauvres, eux, ils ont de l’appétit.

    Tiens, qu’en pense Benoît 16 qui a nommé chanoine d’élite notre représentant suprême ? Ces promesses vont-elles dans le sens du ‘’Aimez votre prochain comme vous-mêmes’’ religieusement et organiquement attachés à cette sainte fonction ?

    On verra en 2012 ?

    Bof, d’ici là…Et puis même. Ségolène, elle, a dit qu’il fallait penser aux plus démunis…

    Tous ceux qui sont un peu au-dessus, on n’y pense pas.

    L’aumône encore une fois.

    Allez, après nous le déluge ?

    Comme le disent les hédonistes : la vie ? Courte mais bonne.

    Dommage que pour certains elle soit surtout très courte et que pour d’autres elle soit surtout très bonne.

     

  • Carla, Sarko, Zoé...la grande (dés) illusion?

    Alors, comme ça, Cécilia a été remplacée à vitesse supersarkosique ?

    Ben oui.

    Nous qui avions écris toute la compassion que nous inspirait les affres (supposées désormais) de malheureux homme trompé…

    C’est donc la grande désillusion après la grande illusion.

    Pôvre de nous.

    Pour certains, toutes ces guignolades, pantalonnades et autres pitoyables hochets et merveilleuses histoires dont raffolent les français (les humains) pour combler leur vide existentiel, ne sont pas des découvertes.

    Pour nous si.

    Bêtement, naïvement, nous pensions qu’il existait encore quelques bribes de morale, de respectabilité, du moins aux plus hauts niveaux de la société et du moins en apparence…patatras !

    Tout ça s’évanouit en un 500° de seconde, au…hasard, d’un cliché soi disant volé, par hasard aussi, par des paparazzi, vous savez ces zèbres qui, en plus, vont jusqu’à revendiquer, l’honorabilité d’une profession qui consiste à alimenter les fantasmes de 20 à 30 millions de voyeurs.

    Bof !

    A prévoir ? Evidemment puisque, plus que jamais, impossible désormais n’est vraiment pas Français, pas démocratique, et, soyons francs, pas humain.

    Et le pire sera donc toujours prévisible.

    D’autant que des illusions perdues, on n’a pas fini d’en éprouver.

     

    Déjà cette histoire présidentiellement amoureuse (du moins appelle-t-on ça comme ça) d’un homme, tout simple, (à part ses pompes Berlutti, sa Rolex et ses amis du CAC 40), qui n’a pas attendu bien longtemps pour se consoler.

    A croire, disent les pervers, qu’il avait, peut-être, avant, depuis un certain temps déjà, bref…en fait, on s’en fout.

    LES COULEUVRES DE BENOIT XVI

    Cela dit, être intronisé chanoine par Benoît XVI qui n’en est pas à une couleuvre près, même si celle-ci a la taille d’un anaconda.

    Pour lui, tout est bon qui peut dorer, ou redorer (enfin il le pense) l’image quelque peu ternie de sa sacro sainte église catholique.Comme la bienveillante attention pour la présence de Bigard, vous savez ce délicat humoriste, fleuron de l'élégance française, qui chante si joliment le ''lâcher de salopes'' et a fait sa spécialité  de la description de la copulation animale  et des couleurs scatologiques et urinaires des sous-vêtements féminin. Un vrai de vrai cathoilique celui-là. Et que le représentant officiel de la France, fille aînée de l'Eglise, a la fierté d'emmener avec lui pour baiser la main du conducatore, soi disant représentant de Dieu sur la Terre.

    Détail intéressant: pas un évêque, pas un cardinal, pas un seul prêtre ou chanoine n’y retrouve à redire. Et pas seulement à Rome. En France, et dans le monde entier.Pensez donc, que ne ferait-on pour se mettre à la mode en vue de garder des clients…lesquels clients apprécient eux aussi bien sûr.

    En effet, les principes et us et coutumes applicables aux grands de ce monde sont d’autant mieux acceptés qu’ils sont, de ce fait, utilisables par le petit peuple, tout heureux d'appartenir à une religion hautement respectable, tout en vivant à sa guise, c'est-à-dire n'importe comment.

    On ne nous empêchera pas de penser, tout de même, que nommer chanoine, même honoraire, c’est-à-dire représentant officiel de la morale catholique, un distingué jeune homme qui s’affiche avec sa maîtresse (quoi, c’est pas comme ça que ça s’appelle ?), autant dans les palais offerts aux frais de la République que dans les parcs d’attraction si propices aux photos volées par des photographes, évidemment pas du tout comparses ni complices…tout cela fait quelque peu désordre.

    Tiens à propos de vivre, comme on dit, aux frais de la princesse. Du temps où mon père, officier supérieur de l’armée française, utilisait le véhicule que sa fonction lui attribuait, il nous a toujours dit que cette voiture de fonction et autres avantages en nature dont il bénéficiait, ne sauraient en aucun cas servir à quelque membre de sa famille que ce soit.

    Nous avions tout juste droit d’habiter dans la même maison, de fonction bien sûr, que lui, mais rien d’autre et dans le cadre des situations familiales prévues par la loi. Point à la ligne.

    Et tous les autres fonctionnaires, militaires ou civils, grands et petits, en étaient là. Et pas question, évidemment, de loger les cousins, tantes ou autres membres de la famille, et, bien entendu, encore moins les compagnes, amies ou autres maîtresses.

    Et pas question non plus de seulement tutoyer, fut-ce un peu, le règlement. Sous peine de sanction, et, de toutes manières, de la réprobation de l’environnement.

    MITTERRAND ET SES FEMMES

    Les temps changent. La rupture n'est-ce pas. En fait, les nombreuses et successives ruptures. Nous on appelle ça des dégringolades mais, il est vrai, ce n'est qu'affaire de point de vue.

    Il faut bien dire que depuis Mitterrand et sa ou ses compagnes, ses femmes et enfant(s) adultérin(s), et même bien avant, les Français ont pris l’habitude, sans le savoir cela va de soi, de payer pour les fantaisies, y compris…affectives, de leurs grands chefs, rois, empereur et présidents divers. 

    Vous aviez peut-être encore quelques illusions Français ?

    Vous commencez seulement à les perdre et cela va s'accélerer.

    Et vous n'êtes pas seuls. Si les spectateurs sont déçus, il arrive aux acteurs eux-mêmes de connaître quelques déboires.

    Ainsi Laure Manaudou. Son petit copain s’est débrouillé pour faire de l’oseille avec des photos d’elle dans des tenues (ou plutôt sans) et des positions compromettantes.

    Désillusionnée ? Même pas. Elle a susurré, ‘’Bof, après tout c’est fait, c’est fait.’’.

    Seul regret, semble-t-il, ne pas avoir touché de pourcentage sur la vente. Ben oui, tant qu’à faire…les droits d’auteure…

    De toutes manières, si elle a du regret, elle l’a bien cherché. Ca lui apprendra.

    Autre désillusion ?

    L’affaire de Zoé encore un coup.

    Mais à l’envers cette fois. Car ils vont être très probablement être libérés les malheureux -ou heureux de la pub faite?- protagonistes dont tout le monde cause. Après, évidemment, de grandes déclarations infamantes et un petit remontage de bretelles en France par qui de droit mais sans guère plus.

    Certes, on savait, tout de même, que les soi disant pédophiles et revendeurs d’organes n’existaient que dans l’esprit du dictateur de là-bas, mais un revirement à cette vitesse, mazette…

    Les intérêts croisés sont, il est vrai, plutôt maousses.

    Honnis, vilipendés, quasi lynchés, les pieds nickelés de l’association vont, néanmoins, être extradés en vertu des accords entre la France et Tchad.

    Normal, légal, mais ça va vite après, pourtant, les fracassantes précédentes condamnations à vie aux terriblement sablonneuses galères tchadiennes que la justice du pays promettait, avant d’ailleurs toute enquête. Si tant est qu’il y en ait eu une crédible.

    Mais bon, la gloire de la France éternelle, dans son rôle de justicier européen en chef, à la tête d’une petite armée de sauveurs, officiels cette fois, d’enfants soudanais et, peut-être tchadiens car la guéguerre locale ne respecte pas tellement les frontières, notre gloire donc, ne saurait être entravée par de vulgaires histoires d’argent.

    CES CHERS ENFANTS

    Eh oui ! Parce que, au passage, six million d’euros exigés pour ces chers enfants ''enlevés'’ (et retrouvés évidemment), cela nous fait bien comprendre qu’en réalité, ce grave problème aura été résolu grâce à une miraculeuse solution qui s’est révélée fort juteuse pour les parents intéressés. Enfin on suppose qu’il s’agit des parents.

    Car il nous paraît assez incroyable que les mêmes parents à qui l’on avait ‘’arraché de force’’, leur mouflets, aient laissé faire puis les aient miraculeusement retrouvés et estimé, sans coup férir, que cette indicible souffrance ne saurait se calmer qu’avec une somme pharamineuse.

    D’ailleurs on peut croire que dans le coup, les parents en question seront évidemment les seuls à profiter de la manne probable, et que tous ceux qui auront approché de l’affaire de près ou de loin, policiers, juges, interprètes, hommes politiques, bref, intermédiaires nombreux et variés, ne toucheront absolument rien, morale oblige, du petit pactole aussi bienvenu que très attendu.

    Normal pour qui connaît l’Afrique… ?

    Au fait, savez-vous pourquoi les systèmes africains sont aussi corrompus ?

    Pour avoir vécu bien longtemps là-bas, nous pouvons vous assurer que c’est en raison du fait que, fort simplement, c’est nous qui leur avons appris à vivre comme des…civilisés.

    Seul problème, chez eux, ils n’ont pas encore très bien assimilé l’art de la dissimulation.

    La colonisation avait du bon.

    On apprenait aux colonisés à nous ressembler.

    Ce qui veut dire que, comme ils camouflent moins que nous, il va falloir les coloniser de nouveau ?

     

  • 4X4: LES ''ANTI'' BELGES AUSSI BETES QUE LES FRANCAIS

    Consternant ce spectacle vu il y a deux jours à la télévision, et montrant des…’’’écolos’’ belges manifestant contre les 4X4.

    Eh oui, c’est la mode. Il est de bon ton de dire et de répéter que les 4X4 polluent, prennent de la place en un mot détruisent la planète plus que tout autre moyen de transport, automobile plus particulièrement.

    Tout cela avec des allures très scientifiques et écologiques de surcroît.

    Sauf que…

     Sauf que ces allumés belges qui, l’autre jour, se donnaient des allures de protecteurs de planète ont tout faux.

    Aussi bêtes et mal informés que les Français qui de temps à autre font de même au gré des lubies et des foucades de quelques irresponsables qui prennent, à peu de frais, des allures de matamores écologistes.

    En effet, ces zèbres-là sont tout simplement aussi stupides qu’ignorants, l’ignorance, on le sait, étant la mère nourricière de tous les excès.

    Démonstration.

    ET LES VOITURES DE MINISTRES ?

    Les 4X4, SUV compris, polluent ? Faux.

    Un 4X4 Diesel type, genre Rav 4 ou Honda CRV émet environ 173 g/km de CO2.

    Alors qu’un monospace de père de famille, genre Renault Espace, qu’aucun de ces écologistes n’oserait taxer de polluant, en émet allègrement entre…180 g/km et…248 g/km, qu’il soit propulsé par un Diesel ou un moteur à essence.

    Idem pour tous les monospaces Peugeot et Citroën.

    Quant à l’accusation de ces ‘’protecteurs’’ de la planète, qui accusent les 4X4 de prendre trop de place, il est utile de leur rappeler que les monospaces en question mesurent en moyenne entre 4,80m de long sur 1,90m de large et 1,70m à 1,80m de haut.

    Alors que les SUV cités plus haut ne dépassent pas les 4,70m de long, les 1,80m de large et les 1,75m de haut.

    On pourrait faire la démonstration avec tous les types imaginables de voitures vu que les fabricants de SUV ont senti depuis longtemps le vent venir et fait de méritoires efforts en vue de pouvoir satisfaire aux prochaines normes en la matière. Pas fous eux…!

    Certes, lorsqu’on en arrive à la classe supérieure des SUV, des 4X4 de luxe ou des 4X4 vrais, les ‘’franchisseurs’’, on tombe vite dans des émissions gravissimes de C02. Un Porsche Cayenne ou un Touareg VW

    , sans parler des Hummer, Cadillac et autres Chevrolet, que seuls, d’ailleurs, les vrais riches peuvent se payer, dépassent allègrement les 200, 300 voire les 400 g/km.

    Par ailleurs, nos valeureux ‘’écolos’’ belges, en français, se gardent bien de pointer du doigt les berlines familiales ou les breaks, vu que ces engins, s’ils sont moins hauts que les 4X4 et autres SUV, sont tout aussi encombrants voire plus. Et tout aussi polluants, et même plus puisque la moitié au moins fonctionnent à l’essence et non au gasoil.

    Et que dire des véhicules type haut de gamme, dont sont équipés tous les ministres, ministères, hautes administrations et autres patrons de multinationales, évidemment, lesquels n’ont guère de scrupules à utiliser des automobiles à moteur à essence, 50% plus producteurs de C02 que les Diesel, lesquels, depuis trois à quatre ans, s’équipent de filtres à particules.

    MELANGER PARAPLUIES ET MACHINES A COUDRE

    Navrante histoire qui démontre que les braillards sont d’une part, souvent mal informés voire pas informés du tout, et d’autre part, d’autant plus stupides qu’ils affirment sans savoir alors qu’il leur serait plus utile de faire la dépense d’un simple magazine spécialisé pour pouvoir y lire ce que je viens d’écrire avec moult détails supplémentaires.

    Mais, s’ils savent brailler, les écologistes belges et français savent-ils seulement lire ?

    Il est tellement plus facile de mélanger toutes les catégories, en évitant de parler de celles qui polluent le plus. Facile mais aussi fiable et honnête que de comptabiliser les parapluies avec les machine à coudre.

    Avec la tranquillité d’esprit qui découle de la certitude que ce ne sont pas les journalistes chargés d’informer honnêtement le grand public qui rectifieront les crétineries.

    Vu qu’en la matière, ils savent faire bien mieux encore.

    Navrant enfin parce que cette histoire démontre donc, et une fois de plus, que l'on peut faire passer n'importe quelle info à la télé pour que les gens croient n'importe qui et n'importe quoi. Pas nouveau? Certes, mais démontre qu'avec un tel système de référence, le mur sur lequel le système, et le bon peuple qui va avec, va s'écrabouiller, s'approche de plus en plus vite.…

    Bon. A noter pour clore le débat: les autorités en la matière, elles, ont pris la décision de taxer…à l’émission de CO2.

    Tout bêtement.(1)

    Ce qui permettra, d’ailleurs, de rabattre quelque peu le caquet de certains hardis ‘’défenseurs’’ qui s’apercevront qu’il vaudra mieux se rendre à pied ou à vélo que prendre sa ‘’petite voiture peu polluante’’ pour aller à la manif’, hurler contre n’importe quoi.

    En clair, ils apprendront, du moins on l’espère, qu’avant d’aller accuser les autres de malpropreté, mieux vaut balayer devant sa porte et se torcher le nez...Pour dire le moins.

    Mais il est vrai que de nos jours, la mode aidant, se donner, à peu de frais, des airs, et seulement des airs il est vrai, d’intelligents défenseurs de l’Environnement n’est-il pas follement chou… ?

    De Bruxelles une fois?(2)

    Cela dit, on vous parlera, la prochaine fois bientôt, de la Chine, faut ce qu'il faut, de la mondialisation et...du SMIC. Encore? Eh oui encore. Car ces histoires de caisses, nous ça nous gave un peu quoi...

     

    (1)De toutes manières, on est foutus et ce n'est pas avec des mesurettes de ce calibre que le problème va être définitivement résolu. Lers pétroliers n'entendent pas baisser leurs bénèfs, pas plus que les fabricants de bagnoles. Sans parler des Chinois et des Indiens qui préparent leurs ''voiture du peuple'' à eux, à...1.500 euros. Vous avez bien lu ! Mille cinq cents euros!  A ce prix, ne comptez pas que leurs moteurs seront garantis non polluants...

    (2)Ca va ça va… ! C’est abominable comme jeu de mot mais nous, qu’est-ce qu’on aime…

  • Divorce: on a vraiment tout tenté?

    ’On a tout tenté’’, qu'elle a dit la dame.

    Nous on veut bien mais l’on n’y croit guère.

    Disons en tous cas, eu égard à nos conceptions de la morale.

    Morale comme la moutarde, à l’ancienne, on vous le concède, mais, nous avons la faiblesse de penser qu’il n’y en a pas une ancienne et une moderne.

    Il y a la morale tout court, avec, bien sûr, toutes ses déclinaisons, variées à l’infini et selon les circonstances.

    Elles ont pour noms, décence, délicatesse, droiture, l’honnêteté, amour ben oui, ça en fait aussi partie, sagesse, bref, un tas de choses dont on parle de moins en moins, au point que la dictionnaire est en train de vous effacer tout ça. On est mode, tendance et nouvelle morale, éthique pour tout dire, n’est-il pas vrai ? Et ce qui compte, aujourd’hui, c’est faire du chiffre, et être populaire demande des sacrifices…sur les principes en premier lieu.

    Cela dit, dans cette histoire, ce qui nous chagrine c’est lui.

    Ben oui.

    Je sais ce que c'est, j'y suis passé à mon tour. C’est pour cela que je m’estime en droit de dire ce qu’une telle situation peut représenter. Et d’en parler, vraiment, en connaissance de cause.

    Selon ce que j’ai vécu mais aussi ce que je peux désormais en voir, apercevoir ou comprendre de ce que lui est en train de vivre.

    Ce qu'il vit? Le trou. La fin de la vie quasiment. L’horreur, tout simplement.

    Parce que, qu’on le veuille ou non, elle l’a, tout bonnement, trompé. Et bien vilainement dirais-je.

    Et lui est bon prince. Il a pardonné. Il a tout essayé lui. Du moins à ce qu’on en a vu.

    Et il a été plus que gentil.

    Car je puis vous dire que lorsque j’ai vécu la même chose, j’ai été à deux doigts d’étrangler rapido et très proprement l'intrus que j'avais quelque raison d'appeler le tertium quid, comme dit Kipling. C'est-à-dire le troisième individu qui rode toujours plus ou moins autour des couples. Celui que je gratifiais de l'évocateur nom de julot, de zèbre en question, de rastacouère si vous voulez. Le voleur? Le suborneur. Le concurent. L’autre quoi.Quand on est le trompé, on n'a  pas le verbe convenable, ni les manières prévenantes, je vous assureJ'avais (très relatoivement) tort. Le zèbre n'était là que comme le renard face à un poulailler où les poules, en fait, n'attendent que lui. Et si j'avais du m'en prendre à quelqu'un, c'était à la coupable, pas au complice en premier lieu....bon, disons aux deux, c'eut été plus juste, mais lorsqu'on est amoureux et que l'on voit sa vie entière foulée aux pieds, n'est-ce pas, a-t-on l'esprit bien clair?

    En tous cas, je puis vous assurer que c'est-à ce moment là que je me suis mis à très bien comprendre les crimes passionnels. Sans les excuser, évidemment. Mais il faut être passé par là pour savoir ce que signifie l’expression ‘’j’ai vraiment les boules’’ ou ''je vais lui faire la peau'' au superlatif.

    Dans mon cas, c’était 17 ans de vie commune au tapis, sans explication aucune d’ailleurs, genre incompatibilité d’humeur et pas de mon côté. C’est, surtout, la vie de deux gosses foutue en l’air. Oh certes, tous les psys, de France surtout, vous diront que il peut y avoir d’excellents divorces et que les enfants s’en remettent toujours.C'est comme les toubibs. Ils jouent avec la vie des autres.

    En plus, pour le détail, la cata, pour moi, ce fut cinq pui dix, puis vingt, puis près de...deux cents briques disparues en fumée et dans la Nature, ben oui…Quelqu'une qui veut...passionément, vivre sa vie, ça n'a pas de prix...mais ça coûte.

    J’ai vécu tout ça. En plus, limite suicide. Et puis méga déprime. Mon avocat, qui avait une longue habitude de ce genre de situations, me disait: ''Dans ces histoires-là, il y en a toujours un, qui maigrit et un qui prospère...''.Pour commencer, j'ai perdu trente kilogs en...un an.

    J’ai vu, j’ai vécu, survécu, et je peux dire que les enfants, eux, ne s’en remettent jamais. Même lorsqu'ils font les fiers. Même lorsqu'ils se barrent rejoindre leur chère maman sous prétexte qu'elle est bien plus cool sur la morale...le fait qu'elle soit farcie d'oseille étant étranger à ce choix contre nature.

    De toutes manières, leurs blessures affectives et même intellectuelles, mentales, ne se cicatrisent jamais non plus, pas plus que les blessures physiques dont les marques sont toujours là.

    Les miennes n’en parlons pas, je les aurai jusqu'à ma mort. Mais ça, pour les psys, les juges aux affaires matrimoniales, les journalistes, les bonnes âmes et les nouveaux intellos et moralisateurs, c'est la vie n'est-ce pas?

    Pourtant, ces blessures ne s'effacent jamais. Le corps et de l’esprit sont ainsi faits qu’ils fonctionnent suivant les mêmes modes.

    D'ailleurs le législateur le savait bien. Les juges aussi...il y a bien longtemps. Côté responsabilité de la tromperie, vous rappelez-vous seulement de quoi était puni l’épouse adultère durant la dernière guerre et, surtout, la précédente.?

    De prison ferme et durant des années.

    Pourquoi ?

    Mettez-vous à la place du poilu qui se faisait trouer la paillasse dans les tranchées durant que la peu respectable mère de ses enfants se faisait sauter par un planqué de l’arrière.

    La cata en question venant d’être consommée, maintenant je me mets à sa place à lui.

    Elle, c’est la grande évasion. La grande rigolade aussi. Ou alors, elle ne s’esbignerait pas.

    Lui, le malheureux, c’est le noir. Le trou complet.

    Heureusement qu’il a son boulot mais lorsqu’il se retrouve seul, le sommeil c’est carrément l’enfer. Je sais ce que c'est.Le réveil en transe, dans l'angoisse totale. Toutes les vingt minutes. Et les cachets à la louche. Et les réveils en petits morceaux.

    Pourtant, il a, lui tout tenté. On l'a vu. S’il y en a un des deux qui a beaucoup pardonné et beaucoup tenté de raccommoder les morceaux, c’est bien lui.

    D’autant qu’il est amoureux fou. Ca se voit comme un nez au milieu de la figure.

    Vous voulez que je vous dise ?

    Je ne lui souhaite surtout pas, mais il risque peut-être de s’imaginer longtemps encore que...sait-on jamais, peut-être, des fois que…bref, elle pourrait changer d’avis un jour ou l’autre.

    Dommage pour lui. N, i, NI, c’est fini. Et ça, croyez moi, on est long à se le mettre dans la tête. On c’est celui des deux qui aime, alors que celui ou celle qui n’aime plus’’, selon l’élégante manière de dire, n’en a plus rien à cirer. Mais alors rien du tout….ou alors, il ou elle reviendrait puisque le mariage, en principe encore, c’est quelque chose qui se fait pour la vie. On ne change pas d’époux ou d’épouse comme on change de maison ou de bagnole.

    Celui ou celle qui se tire, les problèmes, bof…

    Et les dégâts collatéraux, genre, situation, enfants, réputation, pareil…

    D’autant, encore, que, désormais, le divorce c’est tendance.

    Tous les psys et, cela va sans dire, tous les avocats dont c’est le gagne pain, vous le diront, ‘’Il vaut mieux un bon divorce qu’un mauvais mariage’’.

    Ils oublient bien vite, ces braves gens, qu’il vaut mieux un bon mariage qu’un mauvais. Et s’il commence à battre de l’aile, à devenir mauvais, eh bien, entre adultes responsables, on fait tout pour qu’il s’arrange. Un point c’est tout. Imaginez un peu que l'on donne sans se gêner, dans le simple domaine commercial, des coups de couteau dans le contrat tels que celui-là...!Ca coûterait bonbon au ou à la coupable non?

    Et puis, dites voir, quand c’était les fiançailles, les yeux dans les yeux, on se jurait que c’était pour la vie non ? Et pas que pour cinq, dix ou quinze ans.

    Alors s’il y a un moment où il faut tenir ses promesses, c’est justement quand ça va mal. Quand tout va bien, ce n’est même pas nécessaire.

    Imaginez un peu qu’à la guerre, quand ça va mal, il y en ait la moitié qui se taillent parce qu’ils ne s’entendent plus sur la bonne manière de guerroyer…

    Dire ‘’on a tout tenté’’, c’est prendre plutôt les gens pour des bourricots.

    L’amour ce n’est pas prendre mais donner non ? Tout le monde est d’accord là-dessus…hélas, tant que ça ne gêne pas aux entournures…

    Et puis quand il y a encore un gamin d’une dizaine d’années à élever, on attend qu’il soit sorti d’affaires… et encore.

    Mais non, toutes affaires cessantes, il faut vivre sa vie comme on dit.

    En plus, lorsqu’on entend les commentaires ou lorsqu'on lit les lignes que les bavasseurs et admirateurs complaisants de service écrivent là-dessus, c’est à tomber de l’armoire.

    Ils vont jusqu’à comparer la dame en question à Jackie Kennedy ou Hillary Clinton…en inversant totalement les rôles et en tordant carrément la réalité puisque ces deux augustes exemples avaient, elles, été odieusement trompées par leurs maris respectifs. Bille et JFK cocufiaient très vilainement leurs femmes.

    D’ailleurs les commentaires font encore plus long feu puisque ces deux first ladies, ont été exemplaires de dignité, en ne divorçant pas et en ne portant pas ces histoires dans les news magazine comme elles auraient été en droit de le faire puisqu’elles étaient victimes et non coupables.

    Mais les journalistes jugent les écarts et les immoralités de certains seigneurs de ce monde à leur propre échelle et, ainsi, se pardonnent à l’avance les vilenies qu’ils ne se gêneront pas de commettre, à leur tour, à la première occasion.

    Funérailles… ! ! ! De Gaulle et tante Yvonne ont de quoi se retourner dans leurs tombes.

    Il faut dire que depuis les épouses et enfant adultérins de François Mitterrand, entretenus aux frais de l’Etat, les diamants et les avions renifleurs de Giscard, les affaires du précédent septennat…..

    Quelles mœurs grands dieux… ! ! !

     

  • Journalistes: REVU et (très mal) CORRIGE

    Un…euh…disons, journaliste de renom, an, récemment, lancé une émission dénommée Revu et Corrigé, afin de dire LA vérité, par contraste, paraît-il, avec le reste des émissions, voire de tout ce que la profession écrit ou dit sur les personnes et les évènements.

    LA vérité. Pas mal non ?

    Aussi, le confrère invite-t-il une petite troupe d’experts, de spécialistes, et de grands (quelle taille ?) journalistes, qui vont donc aider les malheureux téléspectateurs gavés d’infos que nous sommes, à, enfin, s’y retrouver dans cet océan de mensonges que constituent les medias.

    Fort bien.

    Il y a une paire de soirées, il a donc demandé à ses collègues, ou ses (compères ?) de plancher sur, évidemment, EADS.

    Autant de profiter de l’émoi que suscite l’affaire pour doper l’Audimat.

     
    EADS, le scandale des scandales, d’une République qui en collectionne environ une vingtaine par an et en cache dix fois plus.

    De quoi dire non ?

    Qu’avons-nous donc appris, heureux, désormais, téléspectateurs, abreuvés enfin au lait de la vérité dispensé par notre fringant grand reporter ?

    Eh bien guère plus que ce que nous en disent les autres confrères attelés à cette emmouscaillante tâche, bien malgré eux, hélas, mais il faut bien en causer, eh oui, puisque la justice s’en mêle.

    En fait, les sauveurs divers et techniciens de service, nous ont asséné les bonnes questions, et y ont répondu en nous assénant encore plus et en matière de conclusion, la quasi divine formule : ‘’De toutes façons, laissons à la justice de notre pays le soin de faire son travail…’’ qui sera évidemment très bien fait ont-ils susurré mezzo voce.’’
    Fermez le ban.

    Pas mal non ?

    Sauf que…

    ET LE CANARD ALORS ?

    Sauf que, la veille, mercredi dernier, était paru le ‘’Canard enchaîné’’, eh oui, qui, lui,, avait fait son boulot et nous a tout dit, tout lâché, tout raconté, tout dévoilé.

    A savoir qu’en fait, ‘’ils’’ sont tous, tous, et encore tous, coupables.

    Et les profiteurs des super profits, et l’état et la Caisse des Dépôts et les responsables en totalité, politiques compris.

    Y compris, grâce au ciel (ou à l’enfer) le patron de ladite caisse qui a eu le bon goût de très discrètement décéder depuis, ce qui en fait, dès maintenant, un excellent coupable doté, malgré son état que le temps micronise peu à peu, d’épaules très larges, et ne pourra pas dire le contraire lorsqu’à la satisfaction générale, il faudra bien désigner LE bouc émissaire.

    Pas mal non plus n’est-il pas ?

    Certes, si nos journalistes de (Pas très bien) Revu et (très mal) Corrigé avaient eu le bon goût, eux, de recommander à leurs lecteurs, de se reporter à leur ‘’Canard’’ favori, il auraient à la fois fait de la pub pour un collègue, et perdu de leur crédibilité.

    Embêtant non ?

    Et ils auraient, de ce fait, mis en lumière leur propre incompétence, voire leur…malhonnêteté puisque depuis le scandale en question, toutes les coupables ont le loisir de se coller, au choix, une de ces deux étiquettes bien commodes pour se dédouaner des maousses embêtements que peuvent leur valoir divers méfaits ou délits, d’initiés ou non.

    ET LE SPECIAL ?

    Et puis, the last but not the least, peut-être auraient-ils pu attirer l’attention sur le numéro spécial du ‘’Canard’’ en question qui dévoile pourquoi et comment il est et il sera de moins en moins possible de faire confiance dans les journalistes, si tant qu’on ait pu le faire jusqu’ici.

    Car le numéro spécial, un peu plus de 5 euros en kiosque, est à lire. Absolument. Car il dit, commente et explique tout sur la question.

    Il nous apprend et fait comprendre comment, depuis bien avant Théophraste Renaudot, la soi disant vox populi n’est pas relayée par ceux, les journalistes qui, selon un collègue américain portant un regard désabusé sur ses collègues, ont pour mission ‘’de réconforter les affligés et d’affliger ceux qui vivent dans le confort.’’

    Les journalistes, nous explique, petit a petit b, le Canard enchaîné, les journalistes donc, comme tout un chacun qui aime la chose, sont tous marqués, et très majoritairement pourris dirons certains, par le fric qui leur dicte ce qu’ils doivent dire et écrire.

    Qu’ils le veuillent ou non.

    Simple : Qui les paie ? Qui paie les supports dont ils se servent pour répandre la bonne parole de notre brillante civilisation ? Qui paie leurs retraites de travailleurs pas trop fatigués ? Qui leur verse de confortables indemnités de licenciement ? Qui leur paie de confortables vacances d’accompagnement des élites du système politico-économique dans leurs aventures exotiques ? Qui les menace de chômage s’ils ne marchent pas dans le bon et droit chemin de l’économie libérale ?

    Eh oui. Ce n’est pas nouveau : qui paie commende.

    C’est ainsi et ce le sera de plus en plus dans les jours, mois et années qui viennent.

    Dans cette affaire comme dans toutes les autres, le capital, le fric, se conduit comme il est : une mafia avide non seulement de pouvoir mais surtout de respectabilité.

    Il lui faut non seulement dominer, et se gaver, mais également être considéré à l’égal d’une divinité, voire d’un dieu qui tient en main la destinée, la vie de bientôt 7 milliards d’esclaves, consentants ou non.

    Allez, lisez le spécial et faites le lire.

    Dans un monde pollué, une bouffée d’air frais requinque un peu.

    C’est toujours ça.