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actualités - Page 52

  • Incendies parisiens: coupables victimes?

    On nous a fait remarquer qu’il n’avait jamais été dit que les jeunes filles incendiaires de l’immeuble aux désormais 18 morts, avaient mis le feu ‘’pour s’amuser’’.

    En fait, nous a-t-on précisé, il ne s’agissait que d’une vengeance d’enfants, ou de jeunes.

    Ce qui, d’évidence, les innocente encore plus.

    D’ailleurs, elles ont été mises en examen, uniquement pour destruction de matériels ayant entraîné la mort.

    Et pas homicide involontaire comme un ‘’banal’’ accident de voiture ayant pour cause des pneus lisses ou un une vitesse limite, voire, une mauvaise évaluation des distances.

    Ca change donc tout !

    Eh oui, en plus, qui dit vengeance, dit, automatiquement que les objets de leur sainte colère, partageaient, quelque peu, la responsabilité, voire la culpabilité de ces morts, voire, de leur propre mort !

    Génial la sémantique non ?

    Les coupables deviennent petit à petit victimes et les victimes, de suspects, accèdent à la situation enviée d’accusés sinon par la justice, du moins par les avocats d’en face et, surtout, par l’opinion publique prestement mobilisée et maîtresse du jeu.

    Opinion instrumentée dans les medias évidemment, ce qui signifie, par , excusez du peu, la Nation entière censée être représentée par nos nouveaux guides moraux, journalistes, censeurs, gourous autoproclamés et autres histrions de service.

    Et c’est ainsi que, comme nous le disions dans le précédent article sur ce sujet, l’on oublie, d’apprendre, d’enseigner, d’inculquer à nos enfants qu’après tout, la liberté des uns s’arrête, très exactement pile poil, là où commence celle des autres.

    Nous sommes des manichéens pas beaux?

    Et vous avocat peut-être, non?

     

     

  • Nouvelle Orléans: les Français manoeuvres!

    Tout arrive !

    Longtemps après avoir hésité à accepter de les prendre au téléphone.

    Longtemps après avoir pinaillé.

    Longtemps après avoir dû prendre une décision.

    Longtemps enfin après moult fermes discussions avec conseillers contre , opinion nationale mitigée et image de marque internationale pour, les autorités américaines ont décidé…de dire aux Français que s’ils voulaient venir donner un coup de main, eh bien on ne les rejetterait pas à la mer, façon débarquement à l’envers.

    Trois avions plus tard, bourrés de matériels et médicaments, - tous français évidemment -, jusqu’à la cabine, les Américains n’avaient ‘’pas réussi’’ à leur trouver de terrains d’atterrissage.

    Même pas ceux qu’utilisent les Américains eux-mêmes, pour travailler sur place, bien entendu.

    On ne mélange pas les indispensables et les superflus, les grands couturiers et les petites mains.

    Exagéré tout ça ?

    Visez un peu.

    Les sapeurs pompiers, français, habitués à ce genre de catastrophes et rompus au travail dans les pires conditions, nous disent, sur les ondes nationales, que :’’ ils vont rentrer parce que, pour ce qu’on leur donne à faire et dans les conditions qui leur sont faites…’’

    On épilogue ?

    Même pas.

    Et les médecins et infirmiers français, coutumiers, eux aussi d’interventions de ce type ?

    Eh bien les médicaments qu’ils ont amenés, pas question de s’en servir. Pas d’autorisations.

    Because ?

    La réglementation de la F and D. Les règlements locaux. Et puis les médicaments français ne correspondent pas…

    Pourquoi pas, aussi les risques de contamination avec les microbes et virus causant français ?

    Voire les manques de qualification des frenchies ?

    Quant aux matériels qu’ils ont amenés, ils peuvent se les garder sous leurs housses, ils ne sont pas adaptés non plus aux règles de la santé américaine qui, comme on sait, contribuent à la santé pétaradante des habitants là-bas, et en particulier au bien-être des petits blancs qui macèrent dans leur jus de bayous et les Noirs qui trempent à s’en décolorer la peau.

    Résultat : les frenchies, OK, vous pouvez rester !

    Tiens, on a justement besoin de manoeuvres pour transbahuter les colis. Ca vous fera les muscles de vos petits bras de feignants dorlotés par votre Etat Providence. OK ?

    Certes, il n’y a pas de besogne honteuse.

    Mais peut-être nos vaillants pioupious auraient-ils pu, malgré leur incompétence, leurs manques de tampons réglementaires, leur maladresse, mais grâce à leur cœur gros comme ça, sauver la vie ou la santé d’une demi-douzaine d’américains ?

    That’s not the question.

    The question is: the sanitary règlements interdise your travail here. You compris?

    On a beaucoup glosé sur l’art et la manière des Anglo-Saxons à baver sur ces péteux de Français qui avaient peur d’aller faire la guerre en Irak ?

    Pour les ‘’punir’’, les Américains, ont vidé des hectolitres de Bordeaux dans les égouts de Manhattan, jeté du foie gras aux cochons du Middle West, et dénommé les frites françaises frites de la Liberté (amerlo s’entend) ?

    Et démontré au monde entier que l’on savait, là-bas, se couvrir de pipi en en couvrant les autres ?

    Eh bien ça continue.

    Il est vrai que si les Français avaient sauvé quelques vies américaines, avec la chance qu’on leur connaît et leur satané mauvais goût pour les mal blanchis et les aides sociales, ils auraient probablement sauvé des Noirs et des pauvres.

     

  • Crottes de chiens: la guerre fait rage!

    On l’avait rêvé…et il l’a fait !

    Le maire de la commune de Sainte Anastasie, dans le Var, a trouvé l’arme, sinon de destruction massive, du moins absolue pour le moment contre les crottes de chiens.

    Sitôt déclarée, comme nous avions été les premiers à l'annoncer à nos lecteurs, la guerre fait rage! 

    Le nôtre de maire dont nous vous parlions hier, - ce n’est pas le même et nous continuerons par discrétion à taire son nom -, avait trouvé lui, le moyen dont nous vous avons parlé, et qui, pour ne pas être très scientifique, n’en avait pas moins quelque qualité, notamment celle de nous faire rigoler et de donner du grain à moudre aux habitants afin de meubler leurs conversations en mal d’originalité le soir à la veillée.

    Mais le maire de la Ste Anastasie en question, lui, a trouvé mieux.

    Il va faire procéder à des prélèvements d’ADN sur les choses et faire payer les pollueurs.

    Enfin leurs maîmaîtres.

    Oui mais…

    Evidemment ballot qu’il y a un mais.

    Et même plusieurs.

    Le premier est qu’il va falloir prélever.

    Outre le petit budget à prévoir pour les pincettes, plutôt longues pour manipuler les matières, les gants, pour l’hygiène, un masque imbibé d’essence de lavande évidemment, vaste débouché pour ce produit si la pratique se généralise, il faudra prévoir une petite pompe aspirante, dans le cas où les matières, encore elles, n’auraient pas le bon goût, c’est le cas de la dire, d’être très solides.

    Eh oui, il y a des cas, n’est-ce pas, des nourritures, des états de santé , le vieillissement par exemple, sur lesquelles les pauvres humains que sont, tout comme nous, les experts municipaux, n’ont guère de prise.

    Enfin c’est une manière de parler.

    Vous voyez ce que nous sous entendons par là très élégamment pour ne choquer personne ?

    Et puis, problème plus difficile encore, une fois les matières récupérées, il sera nécessaire de bien les conserver, pour éviter toute destruction possible, puis prévoir aussi un matériel d’expertise, à moins de faire usage du laboratoire officiel de Police Criminelle dont on se doute que les responsables n’auront, peut-être pas tout le temps, le sourire aux lèvres lorsqu’on leur demandera de s’occuper, toutes affaires cessantes, de ce genre d’inquiétants délits.

    Peut-être qu’au début, cela permettra, tout au plus, quelques bonnes plaisanteries, de corps de garde bien entendu, mais à la fin, cela risque de lasser.

    Et les fonds républicains, plutôt en baisse malgré les sous du pétrole, n’ont pas que cela à payer.

    Problème supplémentaire encore ?

    Ben oui il y en a.

    Comment identifier le coupable, une fois l’ADN expertisé ?

    Comment l’attraper ?

    Les chiens, surtout les en liberté, ça va ça vient, ça circule à l’aventure, ça folâtre. Re-ponction sur le budget pour les identifier, les situer, les poursuivre et les épingler.

    Et une fois épinglés, il va falloir trouver le bon.

    Pire que pire, il faudra aussi trouver à qui ils appartiennent.

    On n’est plus pendant la guerre de 70, de 14 ou de 39-45 où il fallait enregistrer et numéroter les lampes Pigeon, puis les briquets, puis plus tard les charrettes, vélos, les postes de radio, les chiens etc.

    Pas les chats bien sûr car ils ressemblaient fidèlement aux lapins que vous servaient généreusement les restaus contre les tickets parcimonieusement alloués par l’Etat Français de Monmaréchalnouvoilà.

    Une fois identifiés, peut-être, les patrons, pourra-t-on les juger et condamner sereinement vu qu’ils ne peuvent pas être toujours derrière leurs bestioles et que même s’ils doivent en garder le contrôle, ils doivent, aussi, leur garantir des instants de liberté sous peine de se retrouver avec l’association Bardot sur le râble ?

    Et les erreurs judiciaires encore ?

    Et puis on ne vous dit pas les plaisanteries et les conversations à n’en plus finir, sans oublier les épithètes les plus flatteuses dont vont se voir - et surtout s’entendre - affubler les préposés au ramassage des colombins en question.

    On n’ose imaginer…

    Va y avoir de l’animation à Ste Anastasie.

    Entre nous, vous ne commencez pas à discerner un tantinet quelle montagne de problèmes ce brave maire a mis au jour avec son histoire d’ADN de crottes de chiens ?

    Solution ?

    On va lui proposer de rencontrer le nôtre de maire à nous, qui, sans qu’il y paraisse, en avait trouvé une bonne de solution.

    Certes elle était plus crue, plus rude, plus rurale, plus artisanale quoique aventureuse, mais elle sentait bon (oh pardon !) sa simplicité, sa logique, son bon sens du terroir et, surtout, son éloignement de toute recette scientifique, très coûteuse en formation et en matériels.

    Mettre les cacas de chiens devant la porte de leurs maîtres ?

    Au-delà des difficultés à prévoir, la voilà LA solution.

    On se demande, d’ailleurs, pourquoi M. Delanoë et ses super experts écolos ne l’ont pas trouvée avant tout le monde !

    Etendue à la capitale, avouez que ce serait un bel exemple pour le monde d’une France qui, si elle n’a pas de pétrole, serait passée maîtresse en matières (encore un coup !) de recyclage sinon de…choses du moins d’idées.

    Il est vrai que restera encore un petit problème.

    Résiduel si l’on ose ainsi s’exprimer.

    En voulant à tout prix cacher ces cacas que nous ne saurions voir, on va les exposer, certes, sur les pas de portes, mais au su et au vu de tout le peuple français.

    Pffffouhhh !

    Personne n’est parfait en ce bas monde allez…

     

  • Beaujolais nouveau: les funérailles

    Le Beaujolais, naguère, c’était le Morgon, le Chiroubles, le Juliénas, le Moulin à Vent ou le Fleurie, les ‘’géants’’ d’une région où les plus petits avaient pour noms Côtes de Brouilly ou mieux Chénas, voire le microscopique Saint Amour et sa petite vingtaine d’hectares au goût d’été et d’automne tout à la fois.

    C’était il y a pas si longtemps.

    Et le bon temps.

    Aujourd’hui, le Beaujolais ce n’est plus que le Beaujolais.

    Nouveau tout juste.

    Et il baisse la tête.

    Funérailles !

    Production habituelle ou quasiment, certes, mais ventes qui dégringolent.

    La raison ?

    Un producteur se désole : ‘’Il est fini le temps où les viticulteurs faisaient selon le terroir, la saison ou la récolte. Désormais, il faut savoir évoluer. Faire du vin au goût du client…’’( ???).

    Vous avez bien entendu : ‘Faire du vin au goût du client.’’

    Et c’est un viticulteur français de France qui dit ça !

    Quid du goût du client ?

    Eh bien il faut ‘’faire’’ du vin qui se laisse boire, gouleyant, qui flatte le palais, qui plaît au plus grand nombre, en fait, qui passe partout et en clair, qui fait vendre des millions de bouteilles dans les supermarchés, surtout outre Atlantique où le goût du vin est fabriqué, formé, formaté au goût de…Monsieur Parker.

    Pour le plus grand plaisir de collectionneurs de fafiots.

    Monsieur Parker ?

    Du guide du même nom.

    Sur lequel tous les Bordeaux, grands ou petits se sont alignés pour pouvoir continuer à vendre aux States.

    Sinon gare !

    Car l’origine de la mode est bien là.

    Omniprésent, omniscient évidemment, cet exemple d’honnête objectivité, sans lien aucun, évidemment, avec une quelconque puissance viticole existante, a vendu, non, imposé le goût américain au reste du monde et le reste du monde des producteurs suit s’il veut ne pas mourir. (1)

    Vous doutiez, vous que, en-dehors des USA il n’y avait aucun salut et aucune vérité possible ?

    Ben maintenant vous le savez.

    Y compris dans le picrate.

    Vous en doutiez , vous que le nouveau prophète planétaire avait étendu ses compétences jusqu’au pinard, nous boulottant, par ci par là, le peu qui nous restait de nos spécialités, de nos fiertés bien gauloises ?

    Ils n’ont pas hésité à nous faucher le Tour de France n’est-ce pas ?

    Grâce aux miraculeux médicaments pour la toux et les hémorroïdes externes certes.

    Et alors ?

    Et les nôtres, de miraculés du rhume de cerveau et des malaises fondamentaux, comment faisaient-ils hein?

    Tant que les médecins et les journalistes de l’Equipe et du Tour de France réunis n’y ont rien vu, où était le mal, on vous le demande ?

    Que nous reste-t-il ?

    Les parfums, la mode, mais on fait mieux et mois cher, enfin presque, à New-York ou à Tokyo.

    Que restera-t-il alors nom de nom ?

    La bouillabaisse ?

    Ouais, mais ils ont aussi des poissons comme les nôtres en Floride.

    Et puis la Floride, c’est le pays du frère de Dubia, le George qui dévore le monde tout cru.

    Pas question.

    Le cassoulet éventuellement, vu que ça se permet d’être bien gras mais que ça protège, paraît-il des crises cardiaques dont raffolent les cliniques amerloques ?

    C’est à voir.

    L’aïoli peut-être ?

    Ecoutez, nous, l’an prochain, on se carapate dans le Haut Var où on va chercher.

    On vous dira.

    Mais il ne faudra pas le répéter à tout le monde.

    Avec leur réseau Echelon, FBI et CIA auraient vite fait de nous taxer ce qui nous resterait de folklore gastronomique.

    Et de les refiler à leurs copains des multinationales.*

    Economie patriotique oblige.

    Ce qui laissera pas de nous étonner d’ailleurs.

    Ils nous fauchent toutes nos spécialités et se débrouillent pour être les champions de la malbouffe et des maladies qui en découlent.

    C’est vrai, en fait : ils arrangent tout ça à leur manière et ça finit par leur empoisonner le tempérament.

    Comme quoi, il y a bien une justice quelque part.

    Peut-être bien, d’ailleurs, que ‘’W’’ n’est pas l’envoyé de Dieu sur la Terre après tout…

     

    (1) Le DVD Mondovino de Jonathan Nossiter, un Américain en plus, rappelle opportunément aux Français que le vin ne se fabrique pas. Le viticulteur le fait, ou plutôt l'aide à se faire. Nuance...Au passage, le réalisateur oenologue vrai , dit son fait aux vins ''au goût Parker'', avec l'aide, d'ailleurs, de quelques ''Gaulois'', Britanniques ou Américains comme lui, qui défendent bec et ongles, le vin Français ''à l'ancienne'' aux Etats-Unis même. Beau combat à voir et à revoir. Ne serait-ce que pour prendre conscience de la manière dont le virus americum pervertii, infecte tout ce qu'il touche, des collines de San José jusqu'à celles du Queensland en Australie, en passant par le Chili, l'Arghentine  et l'Afrique du Sud  et, depuis peu, les pays européens de l'Est où on fait mieux encore, produits illicites à la clef.

  • Incendies parisiens, ou comment apprendre l'irresponsabilité

    En fait de causes possibles de l’incendie du dernier immeuble parisien, incendie qui fit, pas moins de 17 victimes, c’était pire que ce que nous imaginions.

    Vous l’avez entendu comme nous : il ne s’agissait ‘’que’’ d’une ‘’c…ie ordinaire’’, comme l’a élégamment dit un policier.

    En fait, une plaisanterie, en quelque sorte, consistant à mettre le feu à une boîte à lettres qui s’est donc terminée par 17 morts.

    Tout cela pour une simple dispute entre ciopines.

    Presque mignons non ?

    Et très simple aussi.

    Autrement dit, comme il ne s’agit ‘‘que’’ d’une plaisanterie de gamines, eh bien il suffira de les remettre à leurs parents, qui les gronderont, peut-être, très fort, après quoi elles repartiront s’amuser ailleurs.

    Mettre encore le feu ?

    Pourquoi pas ?

    Après tout il y a bien un chant de victoire et de menaces de supporters qui chante pareil sur l’air des lampions.

    Vous vous souvenez non: ‘’Ce soir on vous met le feu…’’.

    Fine plaisanterie hein ?

    Cela n’influe que les esprits faibles ?

    Ah bon ?

    Parce que ceux qui le mettent réellement le feu, n’en sont pas ?

    Certains diront que, de toutes manières, si la justice se permet de dire que de tels actes, l’incendie mortel en particulier, sont bien plus graves que ce qu’un vain peuple pense, eh bien il suffira d’une bonne manif devant le palais de justice pour apprendre à ces ringards de malappris de juges qu’il serait temps d’évoluer avec leur époque.

    Et le peuple, enfin ce qui en revendique le nom et la place, a toujours raison.

    Il est loin le temps où les malfaiteurs devaient payer.

    Désormais, la société étant consacrée responsable de tous nos malheurs et plus particulièrement des c…ies, et même des crimes de nos enfants en premier lieu, les juges doivent comprendre que leur rôle est non plus de stigmatiser mais d’aider les malheureux criminels qui ne sont de moins en moins responsables de leurs actes.

    Surtout, vous pensez bien, lorsqu’il s’agit d’enfants qui n’ont pas eu l’éducation qu’il fallait.

    Voili voilà.

    La fin de l’histoire ?

    Eh bien les gamines seront, peut-être, jugées.

    Et très certainement innocentées, du moins en grande partie.

    Leur âge vous comprenez, leur milieu, les difficultés économiques, leurs difficultés familiales, bref, elles seront installées en milieu rééducatif durant quelques années, puis libérées à leur majorité, et probablement bien avant.

    Il serait injuste de les priver de liberté plus longtemps, n’est-ce pas ?

    La liberté c’est le vie non ?

    A laquelle elles ont bien droit tout de même.

    D’ailleurs, les avocats et tous les medias le diront.

    Déduction : désormais, elles et pas mal de leurs copains et copines sauront, d’évidence, que tuer 17 personnes en les brûlant vifs, ne coûte pas cher.

    Que voulez-vous qu’ils et elles gardent d’autre exemple éducatif que la société leur aura enseigné durant quelques années de…rééducation éventuelle ?

    Et les 17 morts et leurs familles ?

    Ben, que voulez-vous qu’on y fasse.

    Ce n’est pas de raccourcir les gamines ou de les condamner à la prison à vie, qui va faire revivre les morts hein ?

    Donc, il ne faut plus sanctionner. Il suffit de rééduquer.

    D’ailleurs les psys sont là pour nous en convaincre.

    Même si les plus optimistes des études s’accordent à constater que les réinsertions des criminels, tous âges confondus, dépassent péniblement les 10 à 15%.