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Politique - Page 17

  • ISF: y-a-t-il une vie après?

    Les îles française ont ceci de particulier que leurs habitants, d’insulaires lointains, voire attardés sinon sous-développés qu’ils étaient jusque là, sont devenus, par la grâce des élites parisiennes désireuses de goûter aux joies sereines de la vie calme de ces populations primitives et qui ont fait grimper les prix, des nababs…dans l’incapacité de payer leurs impôts locaux.

    Alors, notre ministre des Finances a décidé de supprimer l’ISF. Vu que c’est compliqué pour ces malheureux pauvres considérés comme des riches.

    A ceci près qu’il suffirait de prendre une simple mesure concernant ces cas précis. Faire du cousu main, au siècle de l’informatico-électronique, c’est à la portée du premier économiste venu.

    Demander aux inspecteurs des impôts, voire mieux, aux représentants syndicaux de la maison.

    Hélas : on voit bien le résultat voulu de la suppression en question : tous les super riches, proprios ou pas dans les îles, vont, eux, bénéficier de cette réduction des impôts de la France d’en haut, qu’attend, depuis trois ans de promesses non tenues, la vraiment malheureuse France d’en bas.

    Mais cette douloureuse - pour tous les revenus supérieurs à un ou deux millions d’euros - question mise à part, elle en soulève tout de même une autre.

    En effet, les îliens diablement embêtés par la montée des prix de leurs biens, le doivent à la ruée des nantis sur leurs patrimoines de famille qui, durant des décennies, leur ont rapporté quelques pommes de terre mais pas un radis.

    Du même genre est l’envahissement de sauterelles parisiennes, tout comme les anglaises, allemandes et autres néerlandaises, qui achètent à tour de bras et à n’importe quel prix et chassent de leurs terres les autochtones condamnés à aller habiter ailleurs.

    Effet domino en forme de constat et qui pose une autre question encore.

    Quel résultat de cette malsaine inondation ?

    Un curieux mouvement d’immigrations croisées sur la planète.

    Il se cristallise en France en particulier.

    D’un côté, les populations affamées qui déboulent à domicile pour y gratter quelques avantages, de l’autre, les nantis des pays plus riches qui s’imposent par l’argent et nous contraignent à l’exil…que certains de nos compatriotes, peu ou moyennement fortunés, choisissent en allant s’installer dans des pays plus pauvres où leurs modestes revenus leur permettront, pour quelques années encore, de vivre dans des conditions relativement acceptables.

    Une jolie pagaille.

    Qui détruit toute cohésion sociale, fondée sur la famille, les amis, les habitudes, les traditions, les coutumes…

    Rien à voir avec le nomadisme ancestral de certaines tribus qui ne sont que migrations sans cesse répétées dans des secteurs identiques.

    Non, il s’agit, en fait, d’un éclatement d’une société humaine qui devient de jour en jour plus vulnérable car perdant tous ses repères pour n’en garder qu’un seul, le besoin ou l’amour du fric, engendrant celui de la consommation, lien désormais commun entre tous les humains.

    Pour un beau bilan de notre civilisation, c’est un bien beau bilan.

    Re constat et re question.

    Quid du résultat ?

    Le matérialisme.

    Le but de la vie, désormais, du moins l’idée que nous en léguons à nos enfants, c’est l’argent, la maison, la télé, la bagnole, le boulot.

    Ne vous y trompez pas.

    Tous les mouvements de protection, sauvegarde, et autres mises en valeur du patrimoine de l’Humanité, ne sont que roupie de sansonnet et bavasseries de journalistes soucieux de dire ou d’écrire dans le sens de la bonne sousoupe libérale.

    Le Système EST la nouvelle religion.

    Et l’american way of life, le but ultime que doivent intégrer et promouvoir les citoyens de la démocratie désormais mondiale.

    Traditions, coutumes, cultures, voire, n’ayons pas peur des mots, spiritualité quelconque, pfuit ! Envolé tout ça !

    L’important n’est plus la vie c’est survivre. Dans les meilleures conditions. Avec l’eau, l’électricité et le gaz à tous les étages.

    Jusques et y compris chez les écolos les plus purs.

    Qui découvrent les pures joies de la cohabitation du Progrès (avec un P majuscule SVP) et de la protection de l’Environnement. De l’écologie et du libéralisme. Et du mariage, sans OGM, de la carpe et du lapin.

    -Et après ?

    -Après quoi ?

    -Après la vie ?

    -Personne ne se pose plus guère la question.

    Le paradis d’Allah ? Un chouïa bizarroïde non ? Des troupeaux de vierges. Pour quoi faire ?

    Celui des catholico-protesto-orthodoxes, au ‘’ciel’’ ? C’est où çà ? Un tantinet brouillasseux non ?

    Le Nirvana ? En noir et blanc ou en couleurs ? Un petit peu vasouillard.

    Métempsycose, réincarnation ? En Gengis Khan, en mille pattes en caulerpa taxifolia ? Choix difficile n’est-il pas ?

    Le Paradis sur terre ? Ah chouette ! Nettement plus souriant par contre.

    Mais catastrophe !

     

    Il faudra y faire un sacré ménage.

    Qui va s’en charger ?

    Et par où commencer ?

    En supprimant l’ISF ?

    En changeant de ministres ?

    Constitution giscardienne ?

    Nouvel ordre US Bushien ?

    -Comment on se moque ? C’est bien LA solution que tous ces braves gens nous proposent non ?

  • J.O, G8, attentats, Srebrenica, etc...

    J.O, G8, attentats, Srebrenica, etc

    Les J.O nous auraient coûté très cher.

    Mais ils nous auront, quand même et déjà, coûté cher puisque tous les frais engagés pour promouvoir la candidature franç…pardon, en fait parisienne, l’auront été à fonds perdus.

    L’argent le plus aisément dépensé étant, on le sait, toujours celui des autres.

    Certes, il aurait bien fallu promouvoir, et la promotion a un prix.

    Justement : promouvoir c’est faire un choix et celui-là, de choix, les exemples, pitoyable d’Athènes qui n’en a pas fini pour trente ans de payer ses dettes, ou honteux de Salt Lake City, image enfin dévoilée de la corruption qui rôde autour des Jeux, auraient dû suffire à consacrer les deniers publics à des manques autrement plus criants en matière de développement sociaux, entre autres.

    Il n’en a rien été.

    Plus ça change…

    Que vient faire le G8 là-dedans ?

    Les bonne âmes réunies pour discuter du réchauffement de la planète et de la dette africaine, sans oublier de causer affaires entre gens sérieux, ont, certes, gommé les 40 milliards dues par les économies les plus pauvres de la Terre.

    Pas mal.

    Sauf que les EU et l’UE continuent à subventionner leurs agricultures à tour de bras, mettant les petits paysans africains sur la paille et condamnés à aller grossir les hordes de sinistrés économiques des grandes villes.

    Et qu'il a mieux valu éviter de poser ouvertement la question de savoir où ces 40 milliards étaient bien passés. Sur des comptes en Suisse, par exemple. 

    Et à qui les nouveaus subsides vont réellement profiter.

    Silence. 

    Plus ça change…

    Les attentats ?

    Aujourd’hui plus qu’hier et bien moins que demain ?

    On aura beau dire que la population londonienne est restée digne comme en 40, cela fait une belle jambe aux pères, mères, enfants maris et femmes qui ont tout perdu en perdant un des leurs, voire, tous les leurs.

    Les responsables ?

    Loin de nous la pensée d’exonérer les criminels sanguinaires et pervers quelles que puissent être leurs motivations.

    Néanmoins, s’il s’agit des représentants auto proclamés des pauvres parmi le plus pauvres, les dignes représentants du G8 auraient bien pu, une fois n’est pas coutume, prononcer quelques mots intelligents (on peut tout espérer) déclarant, implicitement pour ne pas froisser leur orgueil, que les ‘’messages’’ de mort - si l’on peut oser cet horrible rapprochement – du genre de ceux de Londres, étaient désormais sans objet puisque les nations riches, et leurs dirigeants, avaient (enfin) compris où était leur devoir : freiner un peu leur course au pouvoir et au fric et les partager avec les plus démunis.

    La solution commence par là : le premier imbécile venu sait que les révolutionnaires et les terroristes, les exécutants tout du moins, ont des idées aussi creuses que leur ventre.

    Cette évidence n’a pourtant pas encore percé les carapaces de suffisance et d’égoïsme des princes qui nous gouvernent, pour employer une expression de feu Michel Debré, qu’on ne pouvait, pourtant, qualifier de communiste révolutionnaire.

    Aussi, espérer que l’exploitation des plus faibles va cesser un jour…et pas seulement des Africains, des Asiatiques, mais également des Européens dans leurs pays respectifs…

    Plus ça change…

    Et Srebrenica ?

    Si Milosevic est bien au chaud à La Haye, où la barre internationale lui permet désormais, bien mieux qu’auparavant, de faire de la propagande pour ses idées ‘’novatrices’’, Mladic et Karadzic, bourreaux en chef de la mort de 8.000 musulmans dans la sinistre enclave, sont eux au chaud également.

    Bien planqués là où les regards inquisiteurs on vous jure, de l’ONU n’arrivent pas à les voir.

    La honte onusienne de Srebrenica à ceci de commun avec celles des américains et des européens, qu’elle est toujours aussi allègrement assumée. Pas encore revendiquée pais cela ne saurait tarder.

    Plus ça change…

    Et plus c’est pareil disait mon père.

    Foutus avions-nous dit ?

    Vous en doutez encore ?

    Ce n’est qu’un début.

  • MEDEF: PARISOT et nouveaux rapports sociaux

    Laurence Parisot, la nouvelle patronne des patrons, a dit  en substance:

    ‘’L’actuel Code du Travail est absurde…il faudra en élaborer un qui permette l’épanouissement de l’entreprise et protège l’individu.’’

    Merveilleux non ?

    Question : quel individu le Code va-t-il protéger ?

    Le patron ou l’employé ?

    Nous n’avons, évidemment, pas l’intention, vulgairement populiste évidemment, de les opposer l’un à l’autre, mais, côté motivations et intérêts, on peut tout de même se poser quelques questions.

    Vont-ils vraiment dans le même sens ?

    Au fait, autre question : pourquoi Mme Parisot ne donne-t-elle pas le bon exemple en acceptant de travailler au SMIC ?

    Avec tous les frais de représentation et de déplacements compris bien entendu. Mais contrôlés, cela va de soi.

    A la place où elle bosse, cela, - frais et contrôles -, se justifie.

    Idiot ?

    Pourquoi ?

    Monsieur Seillières, dont Mme Parisot ne saurait désavouer les pratiques ni les oukases, avait bien dit que les Français bénéficiaient de SMIC somptuaires.

    Des hommes politiques, plus raisonnables - il y en a - avaient estimé, eux, que le SMIC était convenable puisqu’il permettait de vivre.

    Enfin de survivre.

    Nous préférons l’avis du baron, expert en somptuosités.

    Donc, si le SMIC est somptuaire, Mme Parisot ne saurait souffrir d’un salaire aussi mirifique.

    Si même il ne lui permet que de vivre, tout simplement, cela lui permettra de donner l’exemple dans un mandat dont elle a promis qu’il allait marquer, du moins de son côté, une volonté indéfectible de donner naissance à de nouveaux rapports sociaux.

    On en frémit d’avance.

    D’aise bien sûr.

  • Information, inondation

    Abasourdis !

    Inondés !

    Emberlificotés !

    Clafis d’informations, de paroles, de discours, de promesses (non tenues) et de parlotes aussi diverses que nombreuses et inutiles : voilà ce que nous sommes au siècle, dit-on, de l’information.

    Complètement emmouscaillés !

    Informés ?

    A sens unique oui.

    Etes-vous informés par la télévision à laquelle vous ne pouvez pas répondre ou contre qui rouspéter lorsqu’elle vous abreuve d’insanités ?

    Zapper ?

    Pour aller ailleurs entendre le même discours ? Les mêmes âneries ? Les mêmes propos mi-compote mi-confiture, mi-logorrhée mi-diarrhée verbale, vous offrant le choix entre Charybde et Scylla, ou glorifiant la dernière nouveauté et ressassant les dernières nouvelles sur le récent jumelage de Sodome et Gomorrhe ?

    Comment choisir ?

    Distinguer le vrai du faux là où tout est faux et rien n’est vrai ?

    Ou faux vrai quand ce n’est pas vrai faux ?

    Effets d’annonces, pensée unique, déclarations officielles, communiqués à grands renforts de trompe, politiquement correct dont tout le monde se plaint mais qui plaît à tout le monde, droit à la différence mais bien- pensance moutonnière et raisonnement dans le sens du vent même s’il tourne là où il faut diriger les oreilles.

    Le plus pire du pire, est bien que cela ne semble pas lasser : X millions de téléspectateurs, X millions d’auditeurs, chiffres d’affaires en hausse, parallèlement au prix des minutes de pub et vice-versa.

    Personne ne croit mais tout le monde pratique.

    Les sectes ? Et celle-là de secte, elle ne fait pas des ravages ? La secte des téléspectateurs-auditeurs-lecteurs ? Qui écoute des stupidités, remplacées par des cochonneries, précédées de balourdises et suivies d’insanités…et qui se fait une idée, construit sa vie et ses choix sur les paroles de ces nouveaux évangélistes ?

    Un seul espoir. Ceux qui n’écoutent pas et, plus nombreux, ceux qui zappent.

    Zapper la TV, la radio, les journaux (mais nettement plus cher).

    Mais qui donc inventera la zapette pour changer, à volonté, au-delà de leurs moyens de nous formater, de nous conditionner, tous ceux qui causent dans les postes ou écrivent dans les canards (hélas pas ‘’Enchaîné’’), définitivement aveugles et muets à ce que pourtant tous les humains désirent, et attendent en vain, la vérité ?

    Problème : leurs grandes idées sont comme tous les zèbres qui nous en font part.

    Interchangeables.

     

  • Richesse démocratique

    On y va tout droit on vous dit !

    Ben oui. A la paupérisation de la planète !

    -Comment on y est déjà ?

    -Eh oui, dear. Les statistiques ( qui les fait au fait ?) nous disent qu’il y a de plus en plus de riches…mais que les pauvres sont de plus en plus pauvres, que les classes moyennes disparaissent, certains grimpant dans le compartiment des riches qui sentent bon, la majorité des autres rejoignant, manu militari, le fourgon à bagages, celui des pauvres qui puent la sueur, en attendant de courir derrière le TGV du Progrès..

    -Ca alors ! C’est vrai ce que vous dites.

    -Eh oui. Ainsi, en Espagne, ‘’El Periodico de Catalunya’’, cité par le N° 765 de Courier International nous affirme que c’est bien ce qu’on constate dans ce pays.

    -Eh oh !

    -Si si. C’est affirmé par un super grand économiste très distingué de l’Université de Barcelone. On peut l’innocenter : il s’en inquiète.

    -Oui mais nous, ce qui nous inquiète nous ce sont deux choses.

    Premièrement : que lui s’inquiète de la chose qu’il vient seulement de découvrir.

    Comme si, avec son expérience de super grand d’économiste distingué de l’Université de Barcelone, il lui avait fallu au minimum une trentaine, voire une quarantaine ou une cinquantaine d’années pour s’apercevoir qu’en sortant dans la rue Emuerte La vacca qui longe l’Université de Barcelone, il y avait dans l’Espagne où il vit, bien moins de riches que de pauvres, voire bien plus de pauvres que de riches.

    Deuxièmement : que dans ses cours puis ses recherches personnelles, voire dans ses stages dans d’autres Universités tout aussi prestigieuses, il n’avait pas entendu dire, voire qu’il n’avait pas fini par comprendre que les riches vivaient sur le dos des pauvres mais que, à cette situation, il ne pouvait y avoir de vice-versa.

    Cerise sur le château, les riches qui, à partir des années 1900 et surtout après 1917, ont commencé à avoir la tremblote des prolos mal lavés, ont accepté d’être ‘’vraiment humains et chrétiennement sociaux’’ jusqu’en 1989 environ.

    Et même un peu avant car ils étaient plus au courant que vous et moi du fait que l’Empire du Mal de l’époque, les ROUGES brrr !, n’en avait plus pour longtemps.

    Depuis lors, qu’est-ce que vous croyez qu’ils font les riches?

    Eh bien ils pédalent sec pour rattraper le temps perdu.

    Parce que vous croyiez, vous, que la vie de château (celui de la cerise) allait continuer encore longtemps ?

    Ou qu’on verrait un pays ou deux mettre leur point d’honneur à bravement résister pour faire triompher sinon la liberté, l’égalité et la fraternité républicaines, du moins la charité chrétienne?

    Pour des nations de tradition éponyme, c’eut été opportun non ?

    Voire que quelques états auraient eu à cœur de faire honneur à lezur image de marque qu’ils sont toujours aussi fiers d’afficher ?

    Du genre internationale socialo ou communo ?

    Pour voir on a vu.

    La social démocratie virer à la démocratie chrétienne en Allemagne. Qui va, d’ailleurs, mieux se faire comprendre encore par la grâce de la future chancelière qui cultive les vertus propres à une fille de pasteur qui vient de l’Est avec une certaine rogne à assouvir sur tout ce qui ressemble au socialisme à casquette.

    On a vu, aussi et surtout, le blairisme de gauche, virer au blairisme de droite sans même passer par le blairisme du centre façon autoproclamée troisième voie.

    Du genre voie étroite bien sûr.

    Du même genre, d’ailleurs, que notre socialisme qui n’en était pas un tout en en étant un, sans en avoir toutes les apparences en faisant, on vous jure la main sur la rose, son possible pour les avoir, et que le monde entier nous envie tant ça le fait rigoler.

    On a même vu le communisme le plus planétairement dangereux, le Chinois, continuer à adorer le drapeau rouge jusques et y compris dans des béhèmes climatisées.

    On vous passe toutes les démocraties votées des deux mains, ou des deux pieds au derrière, si belles que ceux qui n’en veulent pas vont se les prendre quand même en pleine tronche puisque Debeuliou et ses pétroliers pétroleurs l’ont décidé.

    Démocraties qui, une fois en place, n’ont rien de plus pressé qui de rejoindre les cohortes de multinationales qui savent si bien gérer les régimes en question. Surtout pour en faire des régimes minceur.

    Démocratie signifie, si vous ne l’aviez  pas compris, gouvernement du peuple pour le peuple.

    A ceci près, puisque les pauvres sont nettement plus nombreux que les riches et qu’en démocratie c’est le plus grand nombre qui gagne, que démocratie veut désormais dire gouvernement des pauvres pour les pauvres.

    Pourquoi vous riez ?