Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

actualités - Page 44

  • CHAVEZ: qu'en dit Hugo?

    Drôle de zig cet Hugo Chavez.

    Issu du peuple, vraiment de tout en bas, il est devenu parachutiste, après être entré dans l’armée, probablement parce que dans cette militairement exotique Amérique du sud, c’est très souvent, la seule manière de manger convenablement.

    Puis, il est entré en politique.

    Parce que…bis.

    Manger certes, mais plus que les autres aussi.

    Car, en uniforme, dans cette même Amérique du sud, c’est une bonne manière de s’imposer dans un marigot de gros mangeurs, assiégés par le grouillement de ceux qui veulent manger à leur place.

    Bingo : le pétrole s’est mis à couler au Vénézuela.

    Bingo mais problèmes.

    D’abord parce que notre parachuté du petit peuple a été fricoter avec un autre, un Cubain du même calibre mais au pratiques autrement plus contestables.

    De quoi mettre en émoi le petit monde des producteurs, vendeurs, acheteurs et trafiquants du pétrole pour qui le petit peuple n’est digne d’intérêt que dans la mesure où il paye cher ce qui coûte bien moins à lui vendre.

    Et puis, si les pétrodollars ont commencé à sérieusement alimenter le budget national, ils ont accru, aussi, l’avidité, non de ceux qui n’ont rien à manger, mais, bien plus, de ceux qui mangent déjà bien mais en veulent toujours plus.

    Parmi eux, non seulement les notables du pays, mais également les sociétés pétrolières internationales, elles le sont toutes, dotées d’un odorat d’une délicatesse que l’on ne retrouve évidemment pas dans les méthodes qu’elles emploient pour s’assurer la maîtrise du si cher objet de leurs désirs jamais assouvis.

    Coïncidence heureuse : ces mêmes méthodes sont celles des notables en question qui, écartés de ces richesses auxquelles leur rang leur donne, paraît-il, naturellement droit, ne sauraient s’avouer vaincus.

    Et ont tout fait, depuis lors, pour évincer le parachutiste à qui, tout de même, la formation au combat rapproché à donné des armes pour se mesurer à ses ennemis sur un terrain où n’ont pas court les bons sentiments, démocratiques ou pas.

    POUR HUGO DE LA PART DE VICTOR

    Tout a, pourtant, été essayé contre lui.

    Ou presque.

    Jusqu’au soulèvement populaire, soulèvement tellement populaire et spontané, qu’il n’a pas réussi à convaincre un peuple, pris à la fois à témoin et en otage, et qui n’a pas suivi mais conforté Hugo Chavez dans sa situation et sa présidence.

    Au grand dam, donc, des notables et de leurs amis américains du Nord qui, une fois de plus, comme de coutume, ont montré les dents et afuté leurs armes, prêts à intervenir, voire à en découdre, pénétrés qu’ils sont de représenter les forces du Bien contre celles du Mal, lequel peut être défini comme toute personne ou organisation menaçant l’american way of life.

    Simple non ?

    Mais pourquoi faire compliqué alors que la simplicité biblique est bien plus claire à faire comprendre.

    Biblique ?

    Justement.

    Les forces du Bien s’y réfèrent.

    Donc, elles vont gagner !

    Comment ?

    Certes, le Vénézuéla n’est pas l’Irak, mais le Chili, l’Argentine, le Panama, et toutes les autres républiques sud américaines surtout celles que l’on dit bananières pour cause de mainmise sur les productions fruitières par General fruits, toutes ces contrées ne l’étaient pas non plus.

    Et ces pays ont du subir la lex et la pax americana.

    Il est vrai qu’ils avaient ‘’l’avantage’’ de se trouver à proximité des Etats-Unis, et de bénéficier d’une présence séculaire de leurs conseillers et amis, très occupés à maintenir sous leur coupe un continent qui, après tout, était géographiquement le leur et de veiller à des intérêts qui étaient, partout, les leurs aussi.

    Ces conditions sont toujours réunies.

    Et l’appétit américain est, lui, de plus en plus aiguisé.

    Quant au pouvoir qui vient du peuple, Hugo Chavez, le parachutiste président devrait tout de même se méfier.

    « Le peuple est un troupeau imbécile. Tantôt stupidement patient, tantôt férocement révolté. On lui dit ‘’ Amuse toi’’, et il s’amuse. On lui dit ‘‘Va te battre avec le voisin’’, et il le fait. On lui dit ‘’Vote pour l’empereur’’, il vote pour l’empereur. On lui dit ‘’Vote pour la République’’, et il vote pour la République. »

    De qui cette pensée ?

    De Hugo.

    Victor.

    Dans ‘’l’Année terrible’’.

  • PAKISTAN: responsabilités?

    Les sauveteurs n’en finissent pas de creuser, de dégager, de chercher beaucoup et de trouver, peu, de rescapés du séisme pakistanais.

    Ils n’en finiront, hélas, jamais.

    Dans un monde d’oublis, qui se souvient, de ces victimes d’autres séismes et catastrophes que lesdits sauveteurs ont, un jour, cessé de rechercher.

    ‘’Après une semaine, quinze jours, trois semaines, vous savez, il n’y a plus aucune chance de les retrouver vivants. Physiologiquement et même statistiquement vous comprenez.’’

    C’est en ces termes que les spécialistes, le visage justement compassé, répondent aux questions angoissées, aux demandes pressantes des survivants qui, eux, n’en finissent pas de chercher et d’espérer, encore et toujours.

    En attendant longtemps un signe, du ciel à défaut d’autre chose, voire un miracle. Qui survient quelquefois.

    Lors de la découverte d’un rescapé qui, d’une résistance peu commune ou ayant bénéficié d’un ensevelissement exceptionnellement protecteur, s’en sort vivant.

    Juste avant que les bulldozers ne l’enterrent pour tout de bon.

    SEMTEX ET KALACHNIKOV

    Mais notre propos n’est pas de faire pleurer Margot.

    Il y a la matière, malheureusement.

    Et malheureusement aussi pour cela, des medias spécialisés dans le choc des images ou le poids des photos. Et vice-versa.

    Par contre, nous avons récemment évoqué les relations entre les effets destructeurs des séismes, en particulier dans ces régions doublement déshéritées et la responsabilité directe des dirigeants de tout poil qui ne prennent aucune mesure préventive dont la mise en œuvre pourrait minimiser voire annuler le nombre de victimes de ces séismes tragiquement destructeurs.

    Destructeurs mais prévisibles, les seules actions pour combattre ces drames consistant à décréter des deuils nationaux d’au moins trois jours, et faire appel à la compassion et à l’aide internationales.

    Car continuer à construire fragile en ne légiférant, ni ne budgétisant les dépenses indispensables en matière préventive, est bien de l’entière responsabilité des gouvernants.

    Des politiques donc.

    Néanmoins, dans cette région où le pouvoir est aussi ailleurs, les religieux ne sauraient échapper à la critique.

    Le pays est, en effet, connu pour disposer de moyens, sinon occultes, du moins quelque peu collatéraux, qui se manifestent par une foultitude de réseaux, d’organisations, d’écoles et autres associations, chargées de venir en aide aux populations dans le besoin, mais aussi de tenir en main une clientèle qu’il importe de faire croître, et…d’utiliser dans des buts pas toujours avouables. Comme la formation de milices bien malfaisante expédiées aux quatre coins de la planète terroriste afin d’y porter la bonne parole SEMTEX et Kalachnikov à la main.

    Et, en tous cas, d’alimenter des budgets religieux qui seraient bien mieux employés à, entre autres tâches, améliorer la sécurité de zones éminemment dangereuses telles que celles dont il est question ces jours-ci.

    Et on retrouve le même cas de figure au niveau gouvernemental du pays qui ne cesse de s’armer et de surarmer, nucléairement en premier lieu, pour des raisons de sempiternel conflit…religieux avec l’Inde, laquelle, pour les mêmes raisons, s’évertue à faire de même, pour les mêmes raisons, et suivant les mêmes schémas.

    Améliorer la sécurité face aux catastrophes naturelles de façon préventive ?

    Pensez donc !

    Mieux vaut, pour ces gouvernants politiques et religieux, gaspiller des sommes folles à améliorer la sécurité face à des catastrophes évidemment possibles voire probables, qu’ils savent, eux-mêmes, si bien inventer.

    Mais une fois qu’elles seront arrivées.

    Tout comme les naturelles qu’il sera toujours temps de mettre sur le dos de la fatalité.

    Voire, religieusement encore, sur le compte des croyants eux-mêmes, accusés de ne pas l’avoir été assez.

    Mieux vaut donc laisser ainsi croire aux miséreux que grâce à des guides si bons, les malheureux sont si bien défendus.

  • Autoroutes: ça démarre!

    Il fallait bien s’y attendre mais, tout de même, cette fois ils n’ont pas traîné.

    Une autoroute desservant Rouen vient d’être inaugurée.

    Longueur, 110 kilomètres, prix de passage, 10 euros.

    Tant qu’à pratiquer des augmentations de tarifs, autant y aller d’un bon coup.

    Plus c’est gros, mieux ça passe.

    Et puis l’automobiliste, n’est-ce pas, en a l’habitude maintenant.

    Prix au kilomètre pour l’automobiliste, environ dix centimes d’euro, soit 0,66 francs !

    Rapportés à ce pris, un Paris-Marseille coûterait, coûtera à terme, 529 euros !

    Soit près de…3.500 Frs !

    Plus de deux fois le prix d’un aller-retour en avion !

    Et encore, en première classe !

    Vous vous étonnez, vous, de la prestesse avec laquelle les autoroutes ont été bradés, en douce, au privé, sans appel d’offre, et sans débat au parlement ?

    Pour une bonne affaire c’en est une non,

    Et qui prive donc l’Etat, comme l’ont souligné des parlementaires et même des ministres…des Transports en plus, de la possibilité de construire et de moderniser l’infrastructure routière et autoroutière qui, comme chacun sait, en a bien besoin et constitue le système vital de circulation économique de notre pays.

    Mais on se doute bien que nantis (c‘est le cas de le dire) de ces splendides bijoux de famille achetés à  prix d’amis, les sociétés privées ne feront pas beaucoup d’efforts pour moderniser vu qu’elles seront en situation de monopole et que le budget de l’Etat ne va pas forcer beaucoup sur l’entretien du simple réseau routier, le laissant aux régions qui n’en pourront pas plus.

    C’était pas un bon coup cette affaire d’autoroutes ?

    Sûr qu’avec ça, notre économie va devenir d’une compétitivité dont on ne vous dit que ça.

    Du genre de celle du réseau ferré britannique dans les cinq ans qui ont suivi, a établi un record toutes catégories non seulement de retards mais aussi, de morts et de blessés dans les accidents, découlant directement de l’état déplorable des infrastructures ferroviaires.

    C’était notre chronique aujourd’hui c’est déjà le paradis mais demain ce sera pire.

  • Chine: c'est Versailles!

    Le taux de croissance de l’économie chinoise frôle les 11%.

    De quoi en laisser baba tous nos distingués économistes et autres patrons, amoureux transis des bénéfices maximaux et des charges sociales minimales.

    Taux de croissance qui, vu l’écart entre les riches mandarins et les pauvres coolies, explique les fortunes colossales, édifiées sur l’exploitation de l’homme par l’homme que stigmatisait violemment le petit livre rouge.

    Toujours en vigueur.

    Dans les bibliothèques.

    Vous vous en souvenez bien de ce catéchisme de Mao qui a fait vibrer nos merveilleux et faméliques intellos soixante-huitards, aujourd’hui recasés dans les hautes sphères bien nourries de la finance et de l’industrie…

    Vous vous en souvenez de cette manière nouvelle de construire une société pure et dure et partageuse et égalitaire, qui inspira certain films dont celui de Godard, et moult articles vantant la chinese way of happyness.

    Rappelez vous donc cette flambée de violence inouïe qui caractérisa  cette guerre des jeunes chinois contre leurs aînés, coupables, du fait de leur âge, d’être des décadents corrompus, dignes de la pendaison, au mieux et au pire de la mort par cuisson vapeur ou en brochettes.

    COMME LOUIS XIV

    Eh bien, pas plus que nos intellos qui ont viré ploutocrates, ces gardes rouges, comme on les appelait, ne sont pas morts, ils sont même bien vivants et en très bonne santé.

    Physique et surtout économique.

    Ainsi d’un des petits chefs de l’époque qui a tant fait fortune dans les affaires, qu’il vient de se faire construire un vrai Versailles en pleine Chine nouvelle.

    Un vrai de vrai château comme le nôtre. Aussi grand et aussi détaillé et précis. A la statue près.

    Coût : 3 à 4 milliards de francs.

    Une paille non ?

    Car pas cher.

    Vu l’aide, il est vrai, et à coups de pompes dans le train, (la manière chinoise eh oui), fournie par une flopée de ces fourmis si joliment industrieuses que sont les miséreux, à un euro la semaine (ou le mois on ne sait plus), sur qui le taux de croissance chinois est solidement bâti.

    Solidement car avant d’avoir crevé de travail les 6 à 700 millions de taillables et corvéables, on a le temps.

    En Chine, se faire construire le palais de Versailles, c'est facile, c'est Byzance quoi!

    Pourquoi cet ahurissant désir de gloire matérialiste, capitaliste en somme, de la part d’un ex candidat à la gloire populaire ?

    Oh simplement parce que les idéologies passent mais que l’amour du pouvoir demeure.

    Et qu’il passe par des renoncements pour le moins spectaculaires.

    Des renoncements à eux-mêmes, à leurs aspirations de jeunesses, à leurs espoirs déçus, mais aussi à leurs promesses de façade et à leurs mensonges soigneusement distillés et à leurs retournements de veste opportuns.

    En Chine surtout, ils demandent une habileté toute chinoise.

    Conclusion : ils peuvent être fichûment pervers ces Chinois, et pourris quelque part, et salement exploiteurs du peuple et corrompus aux moelles et bassement matérialistes et indécrottables ploutocrates tout en restant communistes.

    Faut le faire non ?

    En deux mots comme en cent, c’est incroyable ce que ces Chinois peuvent être menteurs et profiteurs comme rarement vu dans l’Histoire et dans le monde.

    Et qui se prennent tous, enfin tous les riches, pour Louis XIV.

    Comme chez nous alors ?

     

  • Grandes surfaces: la gangrène

    Pourquoi, à votre avis, les surfaces de distribution, s’appellent-elles grandes ?

    Pour leur taille ?

    Bien vu barbu.

    Mais assurément pas pour celle des vertus civiques et a fortiori morales, dont les patrons de ces ensembles se parent automatiquement, dès qu’ils sont soupçonnés de pratiquer leur activité de façons pas très convenable.

    Pourtant, il n’est que de consulter le livre de Jean Botorel ainsi que le spécial du ‘’Canard Enchaîné’’ qui viennent de sortir ces temps derniers, pour être sacrément édifié quant aux manières de ces patrons d’un système qui gangrène la société humaine.

    Gangrène ?

    Pas moinsse, mon cher, pas moinsse.

    NAUSEABOND

    Marges arrière étranglant les producteurs, fausses baisses, vraies et énormes hausses, en particulier au moment du passage à l’euro, prix d’appel sur des produits scandaleusement bas de gamme, exploitation des employés, tactiques perverses et inquiétantes appliquées à modeler le comportement des consommateurs, création de besoins, modelage de l’esprit humain, on trouve de tout et surtout du bien nauséabond dans les façons de faire de ces patrons et de leurs sbires, ligotés eux aussi dans un immense système dont l’Humanité entière ne peut pas plus se passer qu’elle ne peut s’empêcher de manger, de boire, en fait, de vivre.

    Et dans la brochette des pontes épinglés, aucun ne manque, pas même Michel Edouard Leclerc qui, s’il se situe parmi les ‘’moins chers’’, n’en exploite pas moins et ses fournisseurs et ses clients, avec les mêmes tactiques que les autres.

    Sans oublier la stratégie d’occupation du territoire, français et mondial, qui ne saurait se faire sans la corruption des hommes politiques voire des fonctionnaires, tous sollicités afin d’en obtenir des autorisations indispensables à l’agrandissement des surfaces qui, de grandes, deviennent gigantesques.

    Certes nécessaires dans le cadre de la civilisation actuelle qui a enlevé aux hommes tous leurs pouvoirs et savoir faire, les grandes surfaces ont remplacé les petits commerces, lesquels, déjà, rendaient les populations quelque peu captives au sortir des époques ‘’d’obscurantisme’’, où les gens savaient, encore, faire pousser leurs patates et leurs salades, fabriquer leurs vêtements, construire leurs maisons, bref, savaient et pouvaient se suffire à eux-mêmes.

    Elle est bien, non, notre civilisation qui a rendu les humains non pas libres en étant dépendants les uns des autres mais prisonniers des grandes surfaces ?

    GASPILLAGE

    Cela n’a évidemment pas suffi à nos geôliers de grande taille qui, sans cesse, s’étendent et raffinent dans les méthodes de persuasion afin que le consommateurs, désormais quasiment élevés en batteries eux aussi, viennent et achète de plus en plus souvent, ce qui signifie, corollairement, qu’ils gaspillent de manière exponentielle.

    Car à côté de leurs ‘’efforts’’, aussi médiatisés que possible, de participation à la protection de l’Environnement, nos grandes surfaces, enfin ceux qui les dirigent, ont mis en place et nourrissent un système qui les contraint eux-mêmes, à ne cesser de grandir sous peine de disparaître… puisque les concurrents, font de même.

    Et, de ce fait, puisent de manière exponentielle aussi, dans les réserves naturelles de l’Environnement, créent du chômage en automatisant leur fonctionnement, à s’installer loin des villes en empiétant sur les terres agricoles, poussent à la dépense de carburants fossiles, achetent à bas prix dans les pays pauvres, condamnent à mort les producteurs locaux, incitent à la surconsommation, au gaspillage etc.

    Et le plus grave réside dans la malléabilité des consommateurs dont le système grandes surfaces, finit par les convaincre non de la nécessité d’achats équilibrés, mais, au contraire, d’une obligation de consommation, à coups de tentations, d’artifices, voire d’escroqueries diverses.

    Malléabilité ? Crédulité ? Paresse intellectuelle ? Fatigue interdisant les choix ? Tout concourt, d’une manière ou d’une autre, à transformer l’humain en bétail consentant qui se presse en foule dans ces centres de décervelage chargés de lui concéder un peu de son pain quotidien en lui fauchant beaucoup de son blé.

    Quand j’étais gamin, notre professeur d’éducation civique nous a dit un jour, en forme de boutade: ’’Dites moi quelle est la différence entre un humain et un mouton ?’’

    Chacun y est, évidemment, allé de ses bèèè ! et de ses hihan ! en passant par les quolibets sur la tête du malheureux albinos qui avait, en plus, le tort absolu d’avoir des cheveux bouclés.

    Jusqu’au moment où notre mentor en blouse grise nous a livré la réponse :

    ‘’C’est simple nous a-t-il dit, les deux finiront un jour par être boulottés par quelqu’un mais des deux, seuls l’un humain peut choisir par qui et comment.’’

    Mon prof ne connaissait pas encore les Grandes Surfaces.